Manon – Guillot de Morfontaine
Opéra National de Paris (Bastille), 2022
« Rodolphe Briand se moule à merveille dans les habits de Guillot de Morfontaine avec ses prétentions sur la belle et sa vengeance contre elle. » Paul Fourier – TouteLaCulture
« Guillot de Morfontaine joué par Rodolphe Briand est le premier à chanter dans le spectacle, projetant d’emblée ses accents très articulés et d’une couleur lumineuse. » Charles Arden – Olyrix
« Un Brétigny (Marc Labonnette) et un Guillot (Rodolphe Briand) crédibles et à la diction irréprochable. » Stéphane Lelièvre – Bachtrack
« A notable mention must go to Rodolph Briand for his portrayal of Guillot. His role as an aging rake was superbly convincing. » Miho Uchida – PlayToSee
« On retrouve un français remarquable avec […] le parfait Guillot de Rodolphe Briand. » Catherine Scholler – Opéra Magazine
Opéra de Monte Carlo, 2017
« Ce couple de dernière minute, d’autant plus méritant qu’il n’a disposé que d’une matinée de répétition pour apprendre à se connaître, peut compter sur l’appui de seconds rôles solides : Lionel Lhote (Lescaut), Marc Barrard (le Comte Des Grieux), Rodolphe Briand (Guillot de Mortfontaine), Pierre Doyen (Brétigny), tous exemplaires d’articulation, de style et – ce qui est essentiel dans cet ouvrage fragmentaire – tous capables d’imposer leur personnage en quelques répliques et de faire comprendre, par le geste et le chant conjugués, la cupidité débonnaire de l’un, la dignité orgueilleuse de l’autre, la suffisance malfaisante du troisième ou la noblesse du dernier. » Christophe Rizoud – Forum Opéra
« Les chanteurs principaux sont soutenus par des chanteurs superbes, qui sont aussi des comédiens talentueux et plein d’esprit : Lionel Lhote (Lescaut), Rodolphe Briand (Guillot) et Pierre Doyen (De Brétigny). » Jacqueline Letzler & Robert Adelson – ClassicAgenda
« Fort heureusement, le reste de la distribution n’attire que des éloges en raison du choix judicieux d’une équipe franco-belge rompue au style de l’opéra hexagonal. Diction impeccable chez tous, sourires grinçants du Guillot de Rodolphe Briand […] » ConcertoNet
« Mais les seconds rôles sont également tous parfaits, physiquement autant que vocalement, ce qui contribue à donner à toutes les scènes de genre une nervosité de touche très éloignée du pittoresque traditionnel des opéras comiques. Guillot de Morfontaine a ainsi l’abattage scénique et le métier très sûr de Rodolphe Briand. » Emmanuel Andrieu – Opera Online
« Une distribution bien équilibrée où l’on apprécie […] la présence, enfin, de Rodolphe Briand, diabolique incarnation de Guillot pertinemment présenté comme l’instrument du destin fatal, celui par qui tout commence (la chaise de poste qu’il offre à Manon) et par qui tout finit (la dénonciation) » Gérard Condé – L’Avant-scène Opéra
« Le reste de la distribution, parfaitement homogène, a le mérite de proposer des chanteurs dont l’articulation française et la diction sont irréprochables : […] avec une mention spéciale à Rodolphe Briand qui, en Guillot, donne une véritable leçon de théâtre musical. » Christian Jarniat – Metamag
« Molto positiva anche la prova del baritono Pierre Doyen nei panni di Brétigny e quella del tenore Rodolphe Briand in quelli di Guillot de Morfontaine che nei loro interventi sono stati un’unione di musicalità ed ars scenica. » Simone Tomei – Gli amici della musica
« On ne peut rêver meilleur Guillot de Morfontaine que celui du ténor de caractère Rodolphe Briand » François Jestin – Scènes Magazine
Grand Théâtre de Genève, 2016
« Parfaitement à l’aise sous les traits du vil Guillot, Rodolphe Briand se montre un formidable serviteur du mélodrame français, pourtant si difficile dans son exigence de justesse de ton. » Jonathan Parisi – Forum Opéra
« Le Guillot de Morfontaine de Rodolphe Briand est infatué et vipérin à souhait, inspirant ainsi toute l’inquiétude et le dégoût que doit susciter ce personnage. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online
« Rodolphe Briand, excellent comédien et ténor à la voix « de caractère », [campe] un Gillot de Morfontaine venimeux. » Bruno Serrou – La Croix
« Vocalement, cette production s’avère d’un très bon niveau (particulièrement dans le choix de chanteurs dominant –pour la majeure partie- l’idiome du français) avec pétillant Rodolphe Briand (Gillot de Morfontaine) […] » Jacques Schmitt – ResMusica
« Rodolphe Briand et Marc Mazuir incarnent respectivement un Gillot de Morfontaine et un Monsieur de Brétigny truculents, hauts en couleur et parfaitement idiomatiques » Claudio Poloni – ConcertoNet
« Parfait d’aigreur et de naturel scénique, Rodolphe Briand incarne un Guillot idéal » Sylvie Bonier – Le Temps
« Parfait […], à l’instar d’un Rodolphe Briand plus inquiétant que jamais en Guillot. » Richard Martet – Opéra Magazine
Opéra de Marseille, 2015
« Rodolphe Briand caractérise excellemment son Guillot tantôt franchement comique, tantôt réellement menaçant. » Catherine Scholler – Opéra Magazine
« Rodolphe Briand fait de son Guillot autosatisfait et vindicatif un véritable protagoniste » Maurice Salles – Forum Opéra
« Les seconds rôles masculins et féminins sont presque tous parfaits : […] le ténor Rodolphe Briand en burlesque Guillot de Morfontaine bientôt fou de jalousie » Christine Ducq – La Revue du Spectacle
« Enfin, le Guillot de Morfontaine de Rodolphe Briand s’avère tout aussi crédible tant sur le plan vocal que scénique. » Sébastien Herbecq – Bachtrack
« Une mention particulière pour le ténor Rodolphe Briand — hier Tiberge, aujourd’hui Guillot de Morfontaine — dont le dynamisme vocal et scénique ne cède en rien à l’irréprochable diction : un modèle du genre dont d’autres feraient bien de s’inspirer. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org
« Rodolphe Briand fait une composition de Guillot de Morfontaine très réussie. Il incarne avec un beau talent théâtral cet homme qui pense pouvoir tout acheter, aussi viveur que méchant et rancunier. Sans surjouer, il anime certaines scènes par petites touches. » GBOpera
La Vie parisienne – Gardefeu
Opéra de Tours, 2021
« Dans la partie de Gardefeu, Rodolphe Briand fait preuve de son ardeur coutumière, avec son jeu fringant et sa voix bien projetée. Il forme avec le Bobinet de Laurent Deleuil un couple épatant […]. » Emmanuel Andrieu – Classic News
Falstaff – Bardolfo
Opéra National de Lyon, 2021
« Le Bardolfo de Rodolphe Briand est un serviteur zélé et dévoué comme un animal de compagnie. La voix surgit ainsi, sans avoir peur du jappement et de divers effets vocaux comiques (comme pour ses camarades au plateau) mais de fait avec un appui sûr et un timbre précis. » Charles Arden – Olyrix
Opéra de Monte-Carlo, 2019
« Les deux compères Rodolphe Briand (Bardolfo) et Patrick Bolleire (Pistola) marquent les esprits par leur précision rythmique et leur énergie constante. »Bachtrack
Opéra national de Paris, 2017
« Rodolphe Briand montre qu’il est un habitué des lieux, avec son aisance scénique et sa rondeur vocale. » Charles Arden – Ôlyrix
« Des trois gredins – Cajus, Bardolpho et Pistola – se détachent en volume les ténors de caractère : Graham Clark et Rodolphe Briand, qui interprètera prochainement les quatre valets dans Les Contes d’Hoffmann à Monte-Carlo. » Christophe Rizoud – Forum Opéra
« Dans les rôles de Cajus et Bardolfo respectivement, Graham Clark et Rodolphe Briand sont deux ténors de caractère très convaincants. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack
Opéra de Monte-Carlo, 2010
« Bardolfo absolument épatant de verve et de santé vocale »
Richard Martet – Opera Magazine
Opéra du Rhin, 2009
« Rodolphe Briand est aussi bon comédien qu’excellent chanteur et chacune de ses interventions fait mouche. »
Sergio Albertinie – Opéra Magazine
Les Contes d’Hoffmann – Les Valets / Spalanzani
Opéra National de Paris, 2020
« Les seconds rôles sont tous excellents, citons l’impeccable Rodolphe Briand en Spalanzani.» Brigitte Maroillat – Forum Opéra
« Le plateau est complété par Rodolphe Briand, Spalanzani de grande tradition comique » José Pons – Olyrix
«L’on doit citer également Rodolphe Briand, Jean-Luc Ballestra, Hyun-Jong Roh et Olivier Ayault qui complètent cette distribution en tous points exemplaire.» Quentin Laurens – WebThéâtre
Opéra de Monte-Carlo, 2018
« De toutes les productions pour ce type de second rôle (Goro dans Madama Butterfly ou Bardolfo dans Falstaff, égal à lui-même pour notre plus grand plaisir, Rodolphe Briand campe de savoureux caractères (Andrès, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio).»
Jean-Luc Vannier – Musicologie.org
« On ne peut qu’admirer Rodolphe Briand, truculent dans les quatre rôles de valet. »
Claudio Poloni – Concerto.Net
« Rodolphe Briand est excellent dans les quatre valets, comique sans excès, inquiétant dans l’acte de Venise. » Jean-Michel Pennetier – Forum Opéra
«Quatre rôles enfin (décidément une spécificité de cet opéra) pour l’Andrès/Cochenille/Frantz/Pitichinaccio de l’excellent Rodolphe Briand. »
Jean-Luc Clairet – ResMusica
« Comiques parfaits de Rodolphe Briand. » Didier Van Moere – Diapason
« Excellents seconds rôles (…) Rodolphe Briand se montre ainsi impayable dans le quadruple rôle de valets (surtout en Frantz). »
Emmanuel Andrieu – Opera Online
« Andres, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio sont tenus par le ténor Rodolphe Briand, mime vocal qui sait jubiler de tous ses instruments de scène. »
Florence Lethurgez – Ôlyrix
« Dans une distribution homogène, on distinguera tout particulièrement l’excellent Rodolphe Briand dans les quatre valets »
Christian Jarniat – metamag
« Déjà présent en 2010, Rodolphe Briand demeure épatant dans les quatre « valets » (…) » Richard Martet – Opéra Magazine
Opéra-Théâtre de Metz, 2017
« Rodolphe Briand nous vaut un beau Spalanzani, vocalement et dramatiquement » Yvan Beuvard – Forum Opéra
Opéra National de Paris, 2010
« Rodolphe Briand was a perfectly competent Spalanzani » James Sohre – Opera Today
« On distingue l’amusant et bien chantant Spalanzani de Rodolphe Briand. » Brigitte Cormier – Forum Opera
Théâtre du Capitole de Toulouse, 2008
« On note avec quel doigté Rodolphe Briand donne vie aux quatre personnages comiques » Pierre Cardas – Opera Magazine
« le reste du plateau ne mérite que des éloges. Rodolphe Briand donne tout le relief et le pittoresque désirable aux quatre serviteurs. » Maurice Salles – Forum Opéra
Milano Teatro alla Scala, 2004
« […] Di alto livello il consistente cast dei comprimari… il divertente ed efficace Rodolphe Briand (Andrès, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio) » Nicola Salmoiraghi – Opera
« […] Rodolphe Briand canta con molto garbo i couplets di Franz. » Paolo Isotta, -Corriere della sera
Nozze di Figaro – Curzio
Théâtre des Champs-Elysées, 2019
« Les belles interventions de Matthieu Lécroart et Rodolphe Briand complètent avantageusement le plateau. » Steeve Boscardin – ResMusica
Gala des 10 ans du Palazetto Bru Zane
Théâtre des Champs-Elysées, 2019
« Rodolphe Briand donne la réplique avec autant de verve que dans « J’viens d’perdr’ mon gibus », chanson délicieusement absurde de Félix Chaudoir. » Laurent Bury – Forum Opera
« Rodolphe Briand, dont la voix claire et franche ainsi que la diction théâtrale sont appréciées » Damien Dutilleul – Olyrix
Forza del destino – Trabuco
Opéra National de Paris, 2019
» Rodolphe Briand interprète Mastro Trabuco avec sa gouaille et son ténor de caractère. » Damien Dutilleul – Olyrix
« Des seconds rôles tous irréprochables, relevons le Trabuco imperturbable de Rodolphe Briand » Christian Peter – Forum Opera
Opéra National de Paris, 2012
« Rodolphe Briand contributed a memorable turn as Trabuco. »
« Parmi les seconds rôles, Rodolphe Briand mérite une mention pour le relief qu’il donne à Trabuco » Richard Martet – Opéra Magazine
James Sohre – Opera Today
Tosca – Spoletta
Opéra National de Paris, 2019
« Très placé sur les croches et les consonnes, soufflant et persiflant, Rodolphe Briand est à la fois sonore et sournois, cruel et moqueur en s’amusant de l’éventail qui causera la mort des protagonistes. » Charles Arden – Olyrix
Turandot – Altoum
Opéra de Marseille, 2019
« Rodolphe Briand parvient à démarquer le personnage d’Altoum des autres rôles de ténors de la partition, sans en faire un empereur falot. » Yannick Boussaert – Forum Opéra
Barkouf (Offenbach) – Bababeck
Opéra National du Rhin, 2018
« Offenbach a voulu quatre ténors, qui sont ici bien caractérisés : Rodolphe Briand est parfaitement à sa place dans le personnage du vizir, qui exige plus de l’acteur que du chanteur, bien que celui-ci soit loin d’être oublié » Laurent Bury – Forum Opéra
« Dans le rôle du cynique Bababeck, Rodolphe Briand excelle par son théâtre et son aisance comique. Dans les parties chantées, son ténor de caractère est projeté avec franchise et un vibrato assez doux. » Damien Dutilleul – Ôlyrix
« Rodolphe Briand est un parfait ténor de caractère et s’impose en Bababeck burlesque et omniprésent. » Michel Thomé – ResMusica
« Ainsi de l’irrésistible abattage comique de Rodolphe Briand (Bababeck) […] ses qualités théâtrales forcent l’admiration. » Florent Coudeyrat – Classique News
Carmen – Le Remendado
Grand Théâtre de Genève, 2018
« Ivan Thirion et Rodolphe Briand sont de savoureux contrebandiers. » Laurent Bury – Forum Opéra
« On savoure le Dancaïre d’Ivan Thirion, associé à l’amusant Remendado de Rodolphe Briand, dans des dialogues qui sonnent vrai. » Catherine Scholler – Opéra Magazine
« Les deux brigands forment un duo de corsaires tout de noir vêtus, un Dancaïre (Ivan Thirion) sûr de son rôle et un Remendado (Rodolphe Briand) à l’impeccable articulation. » Charles Arden – Ôlyrix
Venise Teatro la Fenice, 2012
« Le baryton belgo-polonais Francis Dudziak (Le Dancaïre) et le ténor français Rodolphe Briand (Le Remendado), sont d’excellents contrebandiers. » Brigitte Cormier – Forum Opéra
Benvenuto Cellini – Pompeo
Opéra National de Paris, 2018
« (…) il devrait prendre modèle sur le Pompeo de Rodolphe Briand, le meilleur des petits rôles et le seul, de tous les chanteurs, à la diction exemplaire. »
Bertrand Renard – Culturebox
« En seconds rôles, Vincent Delhoume, Luc Bertin-Hugault et Rodolphe Briand font honneur à l’école française. » Catherine Scholler – ResMusica
« Chez (…) Rodolphe Briand (Pompeo), on apprécie la clarté et l’articulation soignée de ce dernier. » Laurent Bernach – Anaclase
Le Chanteur de Mexico – Bilou
Opéra de Lausanne, 2017
« Rodolphe Briand (Bilou) assure une solide assise tant vocalement que théâtralement. » Alan Humerose – ResMusica
«Cartoni l’imprésario et le bon copain malheureux en amour Bilou, campés respectivement par Frédéric Longbois et Rodolphe Briand, convainquent. » Virginie Nussbaum – Le Temps
Die Zauberflöte – Monostatos
Sanxay, Théâtre gallo-romain, 2017
« Monostatos convaincant de Rodolphe Briand » Thierry Guyenne – Opéra magazine
« Leather-clad Monostatos was sung by Rodolphe Briand, who gave a tremendous piece of character singing and acting. Fingers wriggling constantly with suppressed lust and glee, Briand wheedled and scuttled to superb effect. »
Monostatos de cuir vêtu était chanté par Rodolphe Briand, qui a composé un fantastique personnage à la fois dans le jeu et dans la voix. Les doigts se tortillant constamment réprimant son désir et sa joie, Briand flattant et détalant ; du meilleur effet.
Dominic Lowe – Bachtrack
« Rodolphe Briand seemed to be channelling his inner Mime as the lascivious Monostatos. »
Rodolphe Briand paraissait contenir son Mime intérieur en Monostatos lubrique
Jim Pritchard – Seen and Heard International
Madame Chrysanthème (Messager) – Monsieur Kangourou / Charles
Opéra de Marseille, 2016
« Rodolphe Briand, enfin, nourrit de sa verve le cynique Kangourou, le dynamique entrepreneur proxénète. » Maurice Salles – Forum Opéra
Madama Butterfly – Goro
Opéra de Marseille, 2016
« Goro, l’entremetteur, est parfaitement incarné par Rodolphe Briand. » Michel Egea – Destimed
« Ce dosage équilibré entre effronterie et servilité, Rodolphe Briand en Goro le réalise avec une maestria légère qui rendrait presque sympathique cet ignoble commerçant. » Maurice Salles – Forum Opéra
Werther – Schmidt
Opéra de Paris, 2016
« Paul Gay (le Bailli), Lionel Lhote (Johann) et Rodolphe Briand (Schmidt) enfin partagent le même souci de l’intelligibilité du texte » Antoine Brunetto – Forum Opéra
« Paul Gay (le bailli), Rodolphe Briand (Schmidt) et Lionel Lhote (Johann) servent leurs personnages avec beaucoup de justesse. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack
« Les autres protagonistes, le bailli de Paul Gay, les joyeux drilles Rodolphe Briand et Lionel Lhote, font très bien ce qu’ils ont à faire. » Culturebox
« Rodolphe Briand and Lionel Lhote play comic roles Schmidt and Johann without a trace of “drunk acting,” relying solely on the heart and good will of these jovial men. » Simon Parris – Man in Chair
«Les Alsaciens (Rodolphe Briand et Lionel Lhote), le Bailli (Paul Gay) nous font un parfait ensemble de comprimarii. » André Tubeuf – L’Oeil et l’Oreille
Le Portrait de Manon – Tiberge
Opéra de Marseille, 2015
« Tandis que Rodolphe Briand est hilarant dans le personnage de Tiberge, l’entremetteur, amical et vulgaire. » Catherine Scholler – Opéra Magazine
La Grande Duchesse de Gerolstein – Prince Paul
Grand Théâtre de Genève – 2014
« On mentionnera également l’excellent Prince Paul de Rodolphe Briand. » Claudio Poloni – Concertonet
« [le] Prince Paul de Rodolphe Briand, qui phrase joliment ses couplets. » Emmanuel Andrieux – Opera Online
« In the small role of Prince Paul, Rodolphe Briand had a nice balance between clarity of words and line. » Antoine Leboyer – Seen and heard international
« on apprécie le ténor français Rodolphe Briand (Le Prince Paul) personnifiant idéalement le type de personnage comique et pathétique de « cocu magnifique » qu’on retrouve dans pratiquement toutes les comédies de cette époque. » Jacques Schmitt, Resmusica
Das Rheingold – Mime
Opéra de Monte-Carlo, 2014
« Rodolphe Briand dont c’est la prise de rôle en Mime est un néophyte dans le répertoire wagnérien : son répertoire inattendu va de Serge Reggiani au Roi Pétaud de Leo Delibe. Néanmoins, il semble être depuis longtemps titulaire de ce rôle tant il lui colle à la peau. Sa belle voix, fraîche et éclatante, rajeunit Mime et le rend presque sympathique. » Elisabeth Bouillon – Forumopera
« Excellent Mime de Rodolphe Briand, dans un emploi sortant de son répertoire habituel » Richard Martet – Opér Magazine
« Mime (…) ici particulièrement bien chanté par Rodolphe Briand. » Vincent Guillemin – Anaclase
JJR
Grand Théâtre de Genève, 2012
« On ne peut que saluer les performances du ténor Rodolphe Briand tant dans les nombreux passages parlés que dans les passages chantés d’une voix ample, robuste et dotée d’un timbre clair. » Fabrice Malkani – Forumopera
« le ténor Rodolphe Briand est parfait de présence et de diction » Christian Wasselin – Opéra Magazine
La Belle Hélène – Ménélas
Grand Théâtre de Bordeaux, 2011
« Après tant de ténors à bout de souffle, Ménélas chante, ô miracle, par la voix saine et sonore de Rodolphe Briand. » Diapason