Kresimir Spicer – Revue de presse

Der Rosenkavalier – Valzacchi 

Opéra Grand Avignon, 2022

« Belle surprise que d’entendre l’excellent Krešimir Špicer luxueusement distribué en Valzacchi auquel il prête la clarté du timbre, la puissance de la projection et la souplesse de l’instrument. » Bertrand Bolognesi – Anaclase

« la puissance de Kresimir Spicer (Valzacchi) impressionne dans ses courtes interventions » Première Loge

« Le ténor croate Krešimir Špicer interprète l’intrigant Valzacchi, et montre, malgré ses courtes interventions, sa grande qualité vocale : une voix solide et très puissante, qui dépasse facilement ses collègues, avec un timbre chaud et un phrasé très élégant. » Moisés Ordóñez AlarcónÔlyrix

« Valzacchi de luxe de Krešimir Spicer » Jean-Luc Clairet – ResMusica

 

Idomeneo – Rôle-titre 

Opéra de Massy, 2022

« Idoménée, Roi de Crète, est incarné par le ténor Krešimir Špicer, dont le timbre très chaleureux pourrait faire croire qu’il est baryton. Sa présence scénique et vocale ne manque pas d’effets puissants. Ses phrasés savent se faire très nuancés et très tendres mais, très souvent, son rôle de monarque dépassé par les évènements le porte à faire démonstration de la musculature vocale. Le public est visiblement admiratif de cette présence, et l’artiste est fort applaudi. » Emmanuel Deroeux – Olyrix

Opéra-théâtre de Metz, 2022

« Souverain déchiré, Kresimir Spicer impose une présence, une pertinence stylistique, un sens du mot, une agilité dans le redoutable « Fuor del mar ». » Didier Van Moere – DiapasonMag

« Kresimir Spicer est probablement celui qui en joue le mieux, voix naturellement ample, qu’un centre de gravité assez bas prédispose au rôle-titre, dont il possède la stature, l’éloquence, et l’agilité même. » Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine

Opéra de Lille, 2015 

« Kresimir Spicer chante le rôle-titre de tout son cœur, avec un mélange d’animalité et de tourments très touchant » Emmanuel Dupuy,  Diapason 

« Krešimir Špicer a fait définitivement sien un rôle qu’il habite dans toutes ses contradictions : humble et orgueilleux, fort et fragile, pitoyable et héroïque, flexible et inflexible. Un habile usage des registres de tête et de poitrine aide le ténor à passer sans transition ou presque, d’un état à l’autre. Le dosage du volume peaufine cette interprétation cyclothymique (…). Plus que la virtuosité, c’est par la noblesse du métal et par le soin porté à chaque mot, récitatifs compris, que ce roi est grand. » Christophe Rizoud, Forum Opéra 

« Un royal Idomeneo  (le ténor croate Kresimir Spicer) » La Voix du Nord 

 

Il Primo Omicidio – Adam

Opéra de Montpellier, 2021

« Tandis que l’Adam de Kresimir Spicer confère au premier des hommes un statut à la fois viril et compassionnel, dans le malheur comme dans la joie. Aigus corsés, projection maîtrisée, le ténor croate sortira victorieux des terrifiantes vocalises que suscitent en lui craintes et remords (« Mi balena ancor sul ciglio »). » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Dans le rôle d’Adam, le ténor Kresimir Spicer nous offre une projection vocale exemplaire et habitée. » Cecile Glaenzer – ResMusica

 

Il Ritorno d’Ulisse in patria – Eumée

Théâtre des Champs-Elysées, 2017

« Il est entouré d’une demi-douzaine de ténors qui sont, eux, en pleine possession de leurs moyens, à commencer par l’excellent Kresimir Spicer » Laurent Bury, Forum Opera

« Kresimir Spicer est un bel Eumée, humble et loyal, doté d’un timbre clair et d’une voix douce, également capable de grands effets de puissance : il allège alors ses fins de phrases afin de rendre la simplicité de son personnage. » Damien Dutilleul, Olyrix

« Eumée, le brave, le loyal hérite de la douceur persuasive de Kresimir Spicer » Caroline Alexander, Webthéâtre

« Et puis, au milieu de ce plateau déjà haut en couleurs, un miracle : Kresimir Spicer. Il est familier du rôle d’Ulysse qu’il a chanté à Aix-en-Provence en 2000 et repris à maintes occasions. (…) Il incarne le rôle du berger au grand cœur, acteur parfait, voix tendre et suave, aucun artifice, des gestes francs, des phrasés à faire pleurer les pierres. Le métier d’artiste lyrique est tellement exigeant, les contraintes à gérer sont si grandes qu’une prestation simplement juste dans tous les sens du terme fait l’effet d’un choc. » Kevin Lerou, Opera Online 

« N’empêche : quand Ulysse, déguisé en vieillard, croise le chemin du rayonnant Eumée campé par Kresimir Spicer,  difficile de ne pas se dire qu’un échange des rôles entre les deux ténors arrangerait bien nos oreilles. On se console avec les personnages « secondaires », qui deviennent essentiels : la chaleur de Kresimir Spicer (…) » Marie-Aude Roux, Le Monde

« L’excellent Kresimir Spicer, habitué de ce répertoire, est un Eumete percutant. » Michel Parouty, Wanderer

« L’Eumée de Kresimir Spicer ranime les mânes de son inoubliable Ulysse aixois » David Verdier, altamusica.com 

« Kresimir Spicer was a very striking Eumete: a big (unexpectedly so), strong, bright voice. » We left at the interval…

« Le berger Eumée de Kresimir Spicer possède la majesté qui manque au roi d’Ithaque, tant par l’émission radieuse et ample que par la finesse du phrasé. » 

 

Il Ritorno d’Ulisse in patria – Ulisse

Innsbrucker Festwochen, 2017

« Kresimir Spicer, Ulisse, è stato un cantante molto morbido e stilizzato trovando colori e accenti felici. » Lukas Franceschini, OperaeOpera

« fanno eccezione il bravissimo protagonista croato Kresimir Spicer, che ha interpretato il ruolo d’Ulisse ormai più di centoquaranta volte conferendogli un piglio entusiasta e ancora giovanile » Vittorio Mascherpa, OperaClick

« Und als sich die stimmlich hochexpressive, szenisch nobel passive Christine Rice (Penelope) und der ungemein sanft und warm mit gezielt eingesetzter Virilität singende Kresimir Spicer (Ulisse) schließlich für immer in die Arme fallen dürfen, entschreiten sie über die Bühne auf der Bühne in Richtung Hinterausgang. Sie gehen, doch ihre Liebe bleibt: Göttliches für Sterbliche. » Daniel Ender, derStandard

Den Norske Opera, 2016

« As Ulisse, Krešimir Špicer gave an athletic performance, in every sense of the word, including a wrestling match, singlet and all. His opening scene was one of searing intensity, but a more comic side soon appeared, when he disguised himself as a beggar. His switching between the roles of tragic hero and comic stock character was nothing short of impressive. » Aksel Tollåli, Bachtrack

 

Rodelinda – Grimoaldo

Versailles, 2017

« De la disponibilité, il en fallait à Krešimir Špicer pour se substituer in extremis à John Mark Ainsley initialement prévu. Quel luxe d’avoir pu compter sur ce ténor au chant généreux, souple et naturel, capable d’une telle morbidezza dans le piano, et qu’il est doux d’entendre dans le répertoire baroque ces qualités « à l’ancienne » ! Laurent Bury, Forum Opéra

« Dans le rôle du tyran rejeté, Grimoaldo, Kresimir Spicer remplace John Mark Ainsley, souffrant. Très à l’aise, il joue avec ses partenaires et tourne littéralement autour d’Inga Kalna, partition (allégée de deux airs) dans les mains et sourire narquois aux coins des lèvres. Sa voix se caractérise par une grande clarté dans le registre médian, un timbre resplendissant et une puissance imposante, notamment lorsqu’il fait remonter sa voix depuis sa poitrine jusqu’à sa gorge. Surtout, le ténor nuance ses intonations, alternant des expressions autoritaires et des notes d’une infinie douceur, comme lorsqu’il tient longuement sa note en voix de tête, les yeux fermés, les mains proche de la poitrine, tenant sa partition fermée. Les airs ayant une structure ABA’, il apporte dans la reprise du thème principal des intentions différentes, montrant les évolutions de l’état d’esprit de son personnage. » Damien Dutilleul, Olyrix

 

Lucio Silla – rôle-titre

Teatro alla Scala, 2015

« Kresmir Spicer sostituisce in tutte le recite l’annunciato Rolando Villazón (protagonista a Salisburgo dove lo spettacolo ha debuttato) e convince il pubblico con una prestazione improntata alla forza e alla protervia, un Lucio Silla irascibile e violento. » Francesco Rapaccioni, Teatro.it

Opera Atelier, 2016

« Kresimir Spicer, in his sixth role with OA, a chance to tone down his explosive characterization and commune directly with the audience. » Michael Johnson, ConcertoNet

« Spicer, in the title role, gives a highly watchable performance that moves from bratty petulance to thoughtful fortitude; initially all flailing limbs and grand gestures, the tenor settles into a less grandiose expression that underlines the character’s emotional and spiritual maturing. » 

« Krešimir Spicer was an exceptionally sweet toned Silla (…) and a delight to listen to. » Opera Ramblings

« Tenor Kresimir Spicer was admirable as Lucio Silla, a Roman dictator characterized by librettist Giovanni de Gamerra as having a good angel sitting on one shoulder and the Devil on the other. Like most of the other cast members, Spicer has appeared in previous Opera Atelier productions, and has grown impressively in vocal control and artistry. » John Terauds, Musical Toronto 

 

Theodora – Septimius

Théâtre des Champs-Elysées, 2015

« Du côté des rôles principaux, la palme de l’aisance scénique et vocale revenait, le soir de la première, au Septimius de Kresimir Spicer, doté (…) d’airs particulièrement beaux et spectaculaires, et qui rendit au centuple ce que la partition lui offrait, notamment dans l’ébouriffant Though the honours, chanté en jouant (pas mal du tout !) aux fléchettes. » Sophie Bourdais,



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