Hélène Carpentier – Revue de presse

L’Africaine (Meyerbeer) – Inès

Opéra de Marseille, 2023

« Ayant découvert la toute jeune et timide Hélène Carpentier lors du Concours Raymond Duffaut Jeunes espoirs d’Avignon en 2017, puis retrouvée au concert des lauréats du Concours des Voix nouvelles à Marseille en 2018, nous la découvrons ici transformée, dans une pleine maturité artistique. Incarnant le personnage difficile d’Inès, toujours tenté par la fadeur lénifiante, Hélène Charpentier ne tombe jamais dans ce travers; elle rayonne; sa voix s’est naturellement élargie, sa palette s’est diversifiée, et, même spectatrice muette, sa présence en impose. » Classique En Provence

« A ses côtés, Hélène Carpentier se devait d’être une Inès exemplaire et elle le fut. Diction parfaite, aisance sur la totalité du registre, chant sensible et présence scénique, la soprano a joué, vocalement, à égalité avec sa rivale en amour, conférant une belle homogénéité à l’intrigue. » Michel Egea – Concert Classic

« Autre bonne surprise, la soprano Hélène Carpentier – dont l’ardente Electre dans Idoménée de Campra à Lille il y a deux ans nous avait impressionnés – campe une parfaite Inès, avec son timbre lumineux et pur, qui traduit idéalement le caractère virginal de l’héroïne. » Emmanuel Andrieu – ClassicNews

« Seconde dame, donc après la prima donna de la convention de l’opéra. Hélène Carpentier en Inès fiancée de Vasco et rivale de la reine esclave, démontre aussi qu’elle peut être première dans un rôle ajusté à sa voix claire, égale sur tout le registre, conduite avec maîtrise, actrice sensible et crédible, à la parfaite diction. » Benito Pelegrin – Chroniques

« A ses côtés, Hélène Carpentier n’a aucune difficulté pour imposer une Inès délicate, victime par amour, libérée par la suite avec la complicité de sa rivale. La soprano possède un chant élégant, une belle personnalité et une diction parfaite. » Michel Egea – DestiMed

« Hélène Carpentier incarne une Inès amoureuse et sensible, au chant parfaitement musical […] La beauté de ses demi-teintes enchante sa romance d’entrée Adieu, mon doux rivage. » José Pons – Classykeo

« L’autre soprano, Hélène Carpentier en Inès, elle offre un beau contraste avec sa rivale Selika et honore un rôle de soprano qui n’est pas des plus faciles. » Jean-Pierre Bacot – Lyrica Massilia

« C’est simple, efficace, et cela place Hélène Carpentier dans les meilleures conditions. […] la voix s’élance alors librement et se déploie dans son étendue, comme on l’attend pour cette effusion. » Maurice Salles – Forum Opéra

« Hélène Carpentier apporte à Ines une ingénuité juvénile par ses moues et ses postures donnant au personnage une certaine naïveté. Sa voix, au contraire, est plus mûre. Longue et froide,  […] elle a déjà un instrument de tragédienne. Ses lignes sont construites avec musicalité, s’accordant à la sensibilité de cette femme au destin sacrificiel. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Premier Prix du concours Voix Nouvelles en 2018 à 22 ans, Hélène Carpentier délivre en Ines une voix de soprano lyrique de belle extension doublée d’un style accompli. » Christian Jarnat – Résonances lyriques

 

Cendrillon (Massenet) – rôle-titre

Opéra de Limoges, 2023

« Magiques sont également les voix proposées ce soir dans une homogénéité parfaite. Hélène Carpentier offre un chant d’une suprême élégance, délicat, fragile dans les moments interrogatifs mais aussi puissant dans sa projection dans les passages plus dramatiques. Homogène sur l’ensemble de la tessiture, ce soprano est une merveille dans le chant français, où l’émission, la prosodie et la clarté sont si importants. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Ce portait majeur est rejoint par celui qu’Hélène Carpentier. La soprano picarde nous a ébahis en Cendrillon. Sa présence scénique, la qualité de son phrasé, de sa diction, sa maîtrise absolue de l’ambitus du rôle, sa technique accomplie qui lui permet des vocalises aisées, l’intensité émotionnelle de l’incarnation l’imposent d’emblée comme la meilleure titulaire possible du rôle aujourd’hui. Quel travail sur la longueur du souffle, qui arrondit les fins de phrase avec grâce ! Quel abandon dans « Résigne‑toi, Cendrille » au premier acte ! Quel diminuendo dans « je suis le rêve » au bal… Sa maîtrise totale des données du rôle éclate dans une scène du retour du bal magistrale : la délicatesse de « quel effroi » montre une palette de nuances quasi infinie, la tendresse absolue qu’exprime alors la reprise de « Résigne‑toi » en messa di voce étant parfaitement équilibrée par l’angoisse exprimée dans « A l’heure dite je fuyais parmi les noires avenues », rehaussé par les jeux d’ombres de Toffolutti, et par les éclats fortissimo de « reprends courage ! » qui ne manquent pas de largeur d’aigu. Et la scène où Cendrillon décide de fuir est au même niveau : pas une phrase qui échappe à un dosage parfait de la gradation des émotions, le déchirement intérieur de « Ah comme on aime ce que l’on quitte » jusqu’aux aigus dardés de « J’irai mourir sous le chêne des fées ! » Le jeu naturel de la soprano, aussi crédible dans ses haillons gris que dans sa robe blanche de style Empire, et la direction d’acteurs, achèvent de faire de ces scènes de grands moments de théâtre chanté, rejoints au sommet par les duos. » Philippe Manoli – ConcertoNet

« Le rôle-titre revient à Hélène Carpentier dont le soprano s’épanouit avec ampleur, dans un soin constant porté à la qualité de la ligne de chant, et une justesse pour faire siens les émois traversant le personnage. L’impeccable prosodie sert la restitution d’un fragile « petit grillon » condamné à un triste sort. Dans une approche bien plus fougueuse et tourmentée, son « Enfin, je suis ici » voit des notes qui bondissent et des aigus aussi hardis qu’entend alors l’être cette Cendrillon. » Pierre Géraudie – Ôlyrix

« Quant à Hélène Carpentier, elle poursuit la trajectoire exemplaire qui est la sienne, avec un rôle dont les exigences sont heureusement moins lourdes que l’Iphigénie de Gluck où elle s’était illustrée à Rouen la saison dernière, mais qui n’est pas pour autant une promenade de santé, Massenet exigeant de l’héroïne de compétences variées. » Laurent Bury – Concert Classic

 

Fidelio – Marzelline

Bozar (Bruxelles), Barbican Center (Londres), La Seine Musicale, 2022

« Hélène Carpentier campe une Marzelline légère et sensible. Les aigus puissants, limpides et clairs de la soprano sont expressifs, marqués d’une souple ondulation, le souffle allant et venant avec grâce. Elle reste sincère dans le jeu, constante et très maitrisée. » Soline Heurtebise – Olyrix

« Quant à Hélène Carpentier, elle confirme la très belle impression laissée par son Iphigénie rouennaise, avec une voix ronde et chaleureuse, projetée avec aisance, loin des timbres frêles et acidulés qu’on entend parfois dans le rôle de Marcelline. » Stéphane Lelièvre – Premièreloge

« Hélène Carpentier confirme en Marzelline l’excellente impression de sa Despina niçoise. » Jean-Luc Clairet – Resmusica

 

Requiem (Mozart)

Opéra National de Bordeaux, 2023

« Le compositeur est campé par Hélène Carpentier, soprano du quatuor de solistes du Requiem. Seule à évoluer, au début du spectacle, dans un impeccable costume d’époque quand tous les autres sont vêtus de haillons, son apparition dans l’Introït est angélique. Sa voix souple et puissante lui permet de planer au-dessus de la masse chorale dans un contrepoint lumineux qui retranscrit pleinement l’ambivalence de l’œuvre, entre révolte et abandon. » Olivier Delaunay – Olyrix

« Du côté des solistes, on sort impressionné par (…) mais surtout par la soprano Hélène Carpentier, voix onctueuse et planante qui illumine le plateau avec beaucoup d’élégance. » Steeve Boscardin – ResMusica

La Seine musicale, 2019

« La soprano soliste Hélène Carpentier déploie une voix très vibrée, à la fois suave et douce, sombre et lumineuse, très nette dans le phrasé mais avec des ornements délicats, posée sur une caresse vocale, résonant d’un aigu preste et clair. » Charles Arden – Olyrix

 

Ariane et Bacchus (Marin Marais) – Terpsichore, Dircée, Un Songe

Théâtre des Champs-Elysées, 2022

« Hélène Carpentier prête sa voix de soprano au rôle de Dircée dans une expressivité touchante. Sa ligne vocale s’épanouit dans une projection vibrante lorsqu’elle découvre qu’Adraste lui préfère Ariane.  » Frédérique EpinÔlyrix

« Hélène Carpentier offre à Dircée une densité presque inattendue  » Laurent Bury – Concert Classic

« Et quelques mentions bien spéciales […] et surtout Marie Perbost et Hélène Carpentier. […] La seconde offre à Dircée une voix, ductile et expressive, à la tension émotionnelle communicative » Diapason Mag

 

Iphigénie en Tauride – Rôle-titre 

Opéra de Rouen, 2022

« Hélène Carpentier déploie son soprano lyrique, large, aisé, étendu, avec superbe dans les aigus […]. La palette dynamique s’étendant du pianissimo au fortissimo lui permet de peindre une Iphigénie dans toutes les nuances de son parcours pathétique. Le timbre est très chaleureux, et lumineux tout au long de ce rôle au jeu scénique très exigeant. » Joël Heuillon – Olyrix

« La soprano Hélène Carpentier dans le rôle-titre séduit par sa prestation scénique et vocale […]. » Patrice Imbaud – Resmusica

« Hélène Carpentier est une véritable révélation. Ce n’était pas prévu ainsi mais, après avoir été cet automne Electre dans l’Idoménée de Campra, elle devient l’Iphigénie la plus incarnée, la plus ardente qui soit, sans rencontrer de difficulté apparente dans cette tessiture pourtant si exigeante. » Laurent Bury –Concertclassic

« Le plateau quant à lui présente des individualités de tout premier plan, à commencer par un rôle-titre assuré à la dernière minute par Hélène Carpentier. Âgée de 26 ans, la jeune soprano a relevé le défi d’apprendre ce rôle monumental en deux jours seulement. Le pari était ambitieux et le résultats au-delà des attentes, avec une façon de déployer toute l’étendue de sa palette vocale en assurant un diction et un sens du phrasé capable de rendre l’entière véhémence et la blessure intérieure du personnage (Ô toi qui prolongeas mes jours). Entendue récemment à Lille dans Electrede Campra ou à Lyon en Mélisande dans Ariane et Barbe-Bleue, il faut entendre la façon dont cette lauréate du concours Voix Nouvelles prend à bras-le-corps et comme une future grande, le périlleux Ô malheureuse Iphigénie… » David Verdier – Wanderersite

« Given the complexities of the production, Carpentier’s complete command both of the role and its physical incarnation was seriously impressive.  The winner of the first prize of the Concours Voix Nouvelles, the 26-year-old soprano already has a burgeoning career in lighter roles such as Zerlina and Marzelline.  Iphigénie is therefore a big assignment for her.  There are signs of a well-schooled technique there, evident in an admirably smooth legato in ‘Ô malheureuse Iphigénie’  […]. What also distinguished her performance, was the sheer clarity of the text and willingness to use it to truly live her character – astounding when one considers how quickly she prepared the role.  This was an auspicious debit for a singer with much promise. » Operatraveller – Operatraveller

« Après les renoncements de deux chanteuses particulièrement capées, il fallait une sorte de folie pour confier le rôle d’Iphigénie à une jeune chanteuse de 26 ans débarquée sur les bords de la Seine à peine huit jours avant la première du spectacle sans connaitre la moindre note de ce rôle écrasant ! Force est cependant de reconnaître que Loïc Lachenal a gagné son pari et qu’il a fait preuve d’un flaire dont bien des directeurs de maisons d’opéra pourraient s’inspirer.

Hélène Carpentier n’est pas inconnue du public rouennais : lauréate en 2018 du concours Voix Nouvelles, elle s’est déjà produite au théâtre des Arts dans le rôle léger de Madeleine du Postillon de Lonjumeau d’Adolphe Adam mais rien ne la prédestinait à endosser aussi vite la chlamyde de la tragédienne. Apprendre le rôle d’Iphigénie en 48 heures est déjà en soi une gageure mais réussir à l’incarner de manière aussi aboutie dénote chez cette jeune chanteuse un tempérament de grande artiste. À l’image du rôle de Norma dont les premiers accents, « Sediziose voci, voci di guerra » permettent immédiatement de poser le personnage, celui d’Iphigénie est tout entier contenu dans sa première imprécation, « Grands dieux ! Soyez-nous secourables ». Lorsqu’Hélène Carpentier la prononce au milieu du fracas tempétueux de l’orchestre, toute Iphigénie est déjà là, noblesse altière et fragilité de femme en proie au fatum. Dotée d’un large soprano dramatique et d’une voix ample, au timbre charnu, la chanteuse impose d’emblée un personnage d’héroïne antique taillé dans le plus beau marbre. Comme Véronique Gens qu’elle remplace au pied levé, et dans la grande tradition de Régine Crespin, Hélène Carpentier s’avère une diseuse exemplaire : de sa bouche, les alexandrins de Nicolas-François Guillard coulent avec limpidité, parfaitement intelligibles, et la totalité des liaisons, si piégeuses dans le chant français, sont respectées. De tous les airs et ensembles que chante Iphigénie, celui qui clôt le deuxième acte est le plus bouleversant : dans « Vous n’avez plus de roi, je n’ai plus de parents », Hélène Carpentier livre un chant dépouillé de tout artifice, pur comme la langue française du Grand Siècle. » Nicolas Le Clerre – Première Loge

« C’est finalement la jeune Hélène Carpentier (née en 1996), révélation classique de l’Adami en 2018, qui fait ses débuts dans ce rôle ô combien délicat, appris en seulement deux jours pour pouvoir commencer les répétitions avec toute l’équipe. Le pari est relevé haut la main, tant la soprano fait valoir une musicalité et une présence saisissante tout du long (…). Quelle assurance dans la projection parfaitement maîtrisée sur toute la tessiture, tandis que la rondeur d’émission et l’incarnation dramatique expliquent logiquement l’ovation reçue en fin de soirée ! » Florent Coudeyrat – Concertonet

 

Carmen – Micaëla

Opéra d’Avignon, 2022

« La Micaëla de la soprano Hélène Carpentier […] propose un jeu assuré mais aussi volontairement sensible, avec un discours vocal poignant et sincère. Sa voix fine et langoureuse, dans les doux moments comme le duo avec Don José, sait aussi se montrer autoritaire. » Marjorie Cabrol – Olyrix

« Et que dire de la prestation d’Hélène Carpentier, parfaite dans le rôle de Micaëla […]. » Jacques Jarmasson – Projecteur TV

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

« La Micaëla d’Hélène Carpentier convainc par sa présence scénique et son timbre très lumineux, au vibrato assez serré. » Matthieu Wagner – Opéra Magazine

 

Idoménée – Électre

Opéra de Lille, 2021

«  Le personnage d’Électre [est] fabuleusement interprété par la soprano Hélène Carpentier. Cette dernière termine le premier acte avec une scène de vengeance où elle fait preuve d’un grand dynamisme musical et interprétatif, ne s’agissant pas uniquement d’un air de fureur typiquement agité, mais au contraire d’une scène où elle est confrontée à des forts contrastes, plus musicaux que poétiques en vérité. A la fin du 2e acte, Électre rejetée prie Vénus, qui décide à son tour d’invoquer la Jalousie pour les aider, en un tableau parmi les plus spectaculaires de l’œuvre » Sabino Pena Arcia – Classic News

« On découvre avec plaisir le soprano plein de tempérament d’Hélène Carpentier » Sophie Bourdais – Télérama 

« Électre altière et sculpturale, Hélène Carpentier darde à l’envi un soprano coruscant qui impressionne dans ses appels à la vengeance, mais qu’elle parvient aussi à alléger lorsque un espoir trompeur l’adoucit (« Venez, répondez à mes désirs, volez, favorables Zéphirs »), avant de redoubler de fureur. » Bernard Schreuders – Forum Opéra 

« La jeune interprète est ici piquée de l’élégance furibonde faisant l’essence du personnage. […] Cette Électre [est] survoltée, tant dans la hardiesse de la rage que des élans amoureux. Le soliloque de la fin du premier acte « Fureurs ! Je m’abandonne à vous… Eclatez, servez ma vengeance ! » offre à la jeune soprano une démonstration de l’amplitude de sa tessiture avec des aigus éclatants et aisés. » Fantine Douilly –  Olyrix

« La jeune Hélène Carpentier (Électre) nous offre de beaux moments de douceur et de délicatesse au IV également, mais son potentiel dramatique lui permet également de grands moments de fureur à l’acte 1 » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Des deux sopranos, Hélène Carpentier, par sa voix riche et sa belle présence, donne corps à une impérieuse Électre, qui parvient à se plier aux mélismes amoureux de « Venez répondre à nos désirs ». » Thiery Guyenne – Opéra Magazine

 

Cosi fan tutte – Despina

Opéra de Nice, 2020

« le timbre clair de la jeune soprano française Hélène Carpentier convient bien au rôle. » Matthieu Wagner – Opéra Magazine

« En Despina, Hélène Carpentier est très convaincue, avec la légèreté, mais aussi, un touchant soupçon de gravité. Les travestissements de la voix sont bien là comme il faut, mais jamais vulgaires ni clichés. La voix n’est cependant pas celle d’une soubrette, et tire vers le lyrique léger, avec de délicieux sons dans le haut medium et l’aigu (Una donna di quindici anni…). Elle assume pleinement tous les aspects scéniques requis par la production, toujours avec une présence sonore dans les ensembles. » Joël Heuillon – Olyrix

« une distribution encore bien verte, où s’imposent réellement la Despina charnue d’Hélène Carpentier » Jean-Luc Clairet – Resmusica

 

Le postillon de Lonjumeau – Madeleine / Madame de Latour

Opéra de Rouen, 2019

« Sans rivale côté féminin, la jeune soprano Hélène Carpentier, lauréate du concours « Voix Nouvelles 2018 », incarne Madeleine puis Madame de Latour. La fraîcheur de son chant et l’intelligence sensible de son interprétation charment l’auditoire autant que ses partenaires. C’est une cantatrice à suivre. »  Brigitte Cormier – Forum Opéra

« Hélène Carpentier, elle aussi, possède un timbre agréable, sans la moindre stridence. Au II, elle accomplit un parcours sans faute dans la grande scène de Madeleine/Madame de Latour, brillante et touchante à la fois, avec des vocalises émises avec autant de charme que d’apparente facilité. » Jacques Bonnaure – Opéra Magazine

« Hélène Carpentier dans le rôle de Madeleine/Madame de Latour est une soprano à la voix élastique qui livre sans grandes difficultés des vocalises rapides et techniquement exigeantes, préservant la justesse du ton et la longueur du souffle. Par ailleurs, ses phrases sont colorées d’un vibrato et d’un timbre à la fois clair et métallique. La souplesse de sa voix légère trouve son épanouissement dans les aigus (…). la soprano assied toutefois une solide voix poitrinée. Le jeu d’acteur de ce double rôle est plutôt convaincu et la prononciation théâtrale à la XVIIIe siècle visiblement travaillée, ce qui lui vaut (entre autres) les plus grands applaudissements à l’issue de la représentation. » Vojin Jaglicic – Olyrix

 

Pomme d’Api – Catherine

Festival de Montpellier, 2019

« Un nom à retenir : Hélène Carpentier, la jeune soprano, déjà lauréate de nombreux prix, lui prête sa voix et son sens du théâtre pour notre plus grand bonheur. La fraîcheur de l’émission, la finesse du jeu, la drôlerie nous séduisent. » Yvan Beuvard – ForumOpera

« Hélène Carpentier, premier prix des Voix Nouvelles 2018, possède un timbre léger qui conserve son caractère juvénile jusque dans le registre aigu […]. Les trois facettes du personnage (fausse ingénuité : « Bonjour monsieur, je suis la bonne », caractère bien trempé : « J’en prendrai un, deux, trois… », amoureuse nostalgique : « Et je vois, l’un près de l’autre / Nos deux noms… ») sont rendues avec efficacité. » Stéphane Lelièvre – Olyrix

 

Messe (Clémence de Grandval)

Théâtre des Bouffes du Nord, 2019

« La soprano lyrique Hélène Carpentier se distingue par la douceur dont est capable sa voix pour magnifier les nuances piano et pianissimo. Les aigus sont bien présents, pleins de panaches et sculptés par une diction méticuleuse. » Mathieu Sariman – Olyrix

 

La Donna del Lago – Albina

Opéra de Marseille, 2018

« La ravissante Hélène Carpentier lauréate de nombreux concours (elle a obtenu le Grand Prix du 3ème Concours « Voix Nouvelles » en février dernier) est une perle pour interpréter Albina. » François Lesueur – Concertclassic

« [Les rôles] sont interprétés respectivement par le ténor Rémy Mathieu et la soprano Hélène Carpentier, qui exploitent au mieux ces utilités et font apprécier la netteté de leur timbre et la qualité de leur projection. » Maurice Salles – Forum Opera

« La jeune Hélène Carpentier  est une délicieuse Albina. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Die Schöpfung – Gabriel & Eve

Arsenal de Metz, 2018

« Voix féminine du trio, la jeune et prometteuse soprano Hélène Carpentier est Gabriel puis Ève en dernière partie. La lauréate du concours Voix nouvelles 2018 déploie une pureté de timbre renforcée par le chœur pour son solo « Mit Staunen sieht das Wunderwerk». Elle s’élève au-dessus de l’orchestre et du chœur avec grâce, tient ses aigus sans le moindre accroc. La diction, impeccable, termine de magnifier un timbre presque rieur sur l’air de Gabriel « Auf starkem Fittiche ». Les trilles voltigent, les montées dans les aigus comme dans les nuances sont naturelles. » Céline Wadoux – Olyrix

 

Concert des lauréats Voix Nouvelles

Théâtre des Champs-Élysées, 2018

« Le premier prix a été attribué à Hélène Carpentier qui expose un chant délicat et élégant dans l’air extrait de L’Elixir d’amour de Donizetti. On y admire une belle projection sur l’ensemble de la tessiture […]. » Steeve Boscardin – Resmusica

Opéra de Marseille, 2018

« Enfin, première lauréate et benjamine des finalistes du Concours, la soprano lyrique Hélène Carpentier (22 ans) se montre insolemment à l’aise à chacun de ses passages sur scène : elle joue de sa jeunesse innocente sur l’air des Bijoux de Faust, puis déploie des aigus faciles sur « Prendi per me sei libero ». On en vient presque à regretter de ne la voir que sur deux airs et demi, puisqu’elle partage la Violetta du Brindisi final avec ses consœurs Eva Zaïcik et Caroline Jestaedt. » Paul Canessa – Olyrix

 

Concours « Voix Nouvelles 2018 »

Opéra Comique, Paris, 2018

« Benjamine de la compétition, la soprano Hélène Carpentier remporte à l’unanimité le Premier Prix du Concours Voix Nouvelles 2018, surclassant ses concurrents en réunissant un rare ensemble de qualités, ce malgré la présence en  face d’elle de réelles personnalités. […] En première place donc, la soprano Hélène Carpentier (22 ans), par ailleurs  couronnée du Prix de la meilleure interprète du répertoire français, révèle une superbe voix lumineuse de soprano lyrique prête sans conteste pour affronter la scène : l’aigu apparaît particulièrement brillant, d’une rare aisance, la demi-teinte rayonnante ne peut que séduire. Plus encore que dans l’air extrait des Puritani de Donizetti « Qui la voce sua soave…Vien  diletto », déjà de grande facture, l’artiste s’épanouit pleinement avec « Dieu, quel frisson… Amour, ranime mon courage » de Roméo et Juliette de Gounod. Dans cette page magnifique, certainement l’une des plus parfaites du compositeur, Hélène Carpentier conquiert toute la salle et le jury par son implication, la séduction dont  elle imprègne son chant et des accents de sincérité justes, dramatiquement en place. » José Pons – Olyrix

« Le premier prix a récompensé la benjamine des finalistes, également lauréate du prix du chant français, Hélène Carpentier, 22 ans seulement, qui a époustouflé la salle Favart par la puissance de ses aigus dans l’air de Juliette (« Dieu, quel frisson »). » Audrey Bouctot- Forum Opera

 

Concours Opéra Raymond Duffaut « Jeunes Espoirs »

Avignon, 2017

« Hélène Carpentier,  soprano  française de 22 ans, a fait sensation en Musetta (La Bohème), puis Norina (Don Pasquale). Rien de surprenant à ce qu’elle ait été, elle aussi, doublement récompensée, par le Prix « Meilleur(e) Interprète du répertoire italien » et le Grand prix « Région Provence-Alpes-Côte d’Azur ». » François Lesueur – Opéra Magazine

 

 



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