Antoinette Dennefeld – Revue de presse

La Périchole – Rôle-titre

Théâtre des Champs-Elysées, Opéra de Toulon, 2022 & Opéra de Dijon 2023

« La Périchole féline d’Antoinette Dennefeld, voix chaude et veloutée, ne manque pas de mordant. Gentiment canaille dans sa veste de cuir au I, très chic en robe fourreau et rivière de diamant au II, la mezzo pourrait avoir l’ébriété un peu plus marquée dans l’ariette de la Griserie – mais ce doigt en l’air pour enjoindre au maestro de l’attendre, comme si elle rassemblait ses mots, est, là encore, bien vu. » François Laurent – Diapason Mag

« Antoinette Dennefeld threw herself into the sassy and somewhat punk persona of Périchole, streetwise and sarcastic but with a heart of gold, a rough diamond who can none the less win us over with a romantic ballad. » David Karlin – Bachtrack

« A ses côtés, Antoinette Dennefeld tire son épingle du jeu en incarnant une Périchole piquante et volontaire, la voix est fraîche et bien conduite, le timbre est clair […]. Sa lettre est déclamée avec beaucoup de sensibilité, son air de la griserie avec toute la gouaille nécessaire, sans tomber dans la caricature. […] Enfin, très à l’aise sur le plateau, la soprano se révèle fine comédienne. » Christian Peter – Forum Opéra

« Dans le rôle-titre, qu’elle a déjà tenu au TCE le mois dernier, la mezzo alsacienne Antoinette Dennefeld prête à la Périchole son timbre de velours, jouant autant de sensibilité que de verve. » Emmanuel Andrieu – Classique News

« La Périchole est la mezzo-soprano française Antoinette Dennefeld. La voix est en place, délurée ou précieuse, en cuir punk comme en fourreau fuchsia et vison blanc, dans ses accents parlés ou expressifs, enrobant les contours de ses lignes par un solide vibrato, qui s’assouplit avec le temps. S’y adosse un timbre rond, mordoré, caramélisé, qui se laisse denteler par des aigus de grande franchise, à l’abri de toute stylisation ampoulée. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

« A Toulon, le faux couple comique formé par Antoinette Dennefeld et Alexandre Duhamel n’est pas loin de voler la vedette au vrai couple de l’histoire. La mezzo strasbourgeoise tire son épingle du jeu en Périchole. D’une grande élégance, elle ne tente pas de surjouer la supposée vulgarité de la chanteuse des rues, et elle excelle à jouer quand elle ne chante pas. Mais après une lettre de belle facture, et un air de la griserie parfaitement maîtrisé, elle donne toute sa mesure d’abord à l’acte deux dans la contrariété de « Que veulent dire ces colères », où son sens des couleurs lié à un legato d’école pimentent le discours, et surtout à l’acte trois dans la geôle lors des couplets de l’aveu (« Je t’adore, brigand »), où son grave se fait sensuel, où sa mezza voce sur « l’avouer » se teinte d’une mélancolie prenante, et le métal que l’on perçoit dans « Ô joie extrême ! » fait vibrer le spectateur. » Philippe Manoli – Toute La Culture

« Familière du rôle de Périchole qu’elle a récemment chanté en alternance avec Marina Viotti durant la série de représentations parisiennes, Antoinette Dennefeld brûle les planches et empoigne à bras-le-corps ce personnage pour lequel elle semble avoir une vraie tendresse. Gouailleuse lorsque la réécriture des dialogues de Henri Meilhac et Ludovic Halévy par Agathe Mélinand l’oblige à assumer des propos un peu crus (pas de quoi fouetter un chat cependant ! La tradition de réécrire en partie les dialogues parlés des opéras bouffes a toujours prévalu), la mezzo alsacienne se révèle surtout une fine musicienne et une interprète madrée de cette chanteuse des rues inspirée par la figure historique de Micaëlla Villegas que les Péruviens surnommaient « la perra chola » (la chienne métisse). Si la rigueur de l’articulation et la rondeur du medium sont des qualités techniques sur lesquelles l’artiste peut s’appuyer de confiance, ce sont aussi ses qualités d’actrice qui lui permettent d’incarner une Périchole crédible et touchante. La partition lui offre d’ailleurs à chanter du nanan : qu’il s’agisse de l’air de la lettre, de la griserie de la fin du premier acte ou des couplets « Mon Dieu ! que les hommes sont bêtes », Antoinette Dennefeld trouve toujours le ton juste et l’intonation idoine, gagnant progressivement ses galons de grande interprète du répertoire d’Offenbach. » Nicolas Le Clerre – Première Loge Opéra

« Après avoir partagé l’affiche en alternance avec Marina Viotti au Théâtre des Champs Elysées à l’automne, Antoinette Dennefeld s’empare ici à nouveau avec assurance du rôle titre. Le mezzo se fait ample et généreux en sonorité, avec un medium de belle rondeur, et  les principaux airs du rôle sont interprétés avec tout l’entrain de rigueur. Mais, quand tout par ailleurs n’appelle que le burlesque, cette punk qui a du chien et du cœur use aussi d’une belle capacité à tirer la corde de la sensibilité sans tomber dans un excessif pathos, comme dans un touchant air de la Lettre. » Pierre Géraudie – Ôlyrix

 

La Princesse de Trébizonde – Régina

Opera Rara, 2022

« Opera Rara assembled a largely French cast, led by Belgian soprano Anne-Catherine Gillet as Zanetta, who with Virginie Verrez’ Prince Raphaël and Antoinette Dennefeld as Zanetta’s sister Régina had the lion’s share of the solo numbers, all performed with style and wit. » Matthew Rye – Bachtrack

« Antoinette Dennefeld was luxury casting as Régina, and excelled » Colin Clarke – Seen and Heard International

 

Le Songe d‘une nuit d’été – Hermia

Opéra de Lille, 2022

« velours du mezzo d’Antoinette Dennefeld (Hermia pleine de charme) » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Les amoureux, eux aussi, sont parfaitement appariés : d’une part Antoinette Dennefeld (Hermia) et David Portillo (Lysander), mezzo aux charmes veloutés et ténor plein fougue » Emmanuel Dupuis – Diapason

« Antoinette Dennefeld est Hermia la belle, à la belle voix de mezzo-soprano, capiteuse, lyrique, bien menée, déployée efficacement (et désopilante dans la scène où, se croyant victime d’Helena, elle se plaint de la taille de sa poitrine comparée à celle d’Helena) » Joëlle Heuillon – Ôlyrix

« les scènes entre les amoureux ont toute la drôlerie attendue, sans excès toutefois. Au mezzo délié d’Antoinette Dennefeld répond le soprano charpenté de Louise Kemény » Laurent Bury – Concert Classic

 

Werther – Charlotte

Opéra de Marseille, 2022

« Charlotte interprétée par la mezzo-soprano française Antoinette Dennefeld assume ses différents rôles et caractères en un personnage. Elle entre sur la scène comme dans la matière sonore avec une qualité pénétrante suivant toutes les vagues orchestrales, en surnageant avec la grâce de sa prosodie pour faire atterrir ses phrases sur du velours. » Florence Lethurgez – Olyrix

« La sûreté technique, la fraîcheur du timbre, la grâce caractérisent l’interprétation de Charlotte par Antoinette Dennefeld. » Patrice Henriot – Opéra Magazine

« Quant à Antoinette Dennefeld, au delà de son charme, son chant est tout d’élégance et de nuances, avec une réelle qualité de diction et un pouvoir émotionnel hors du commun. Son duo final avec Werther est de toute beauté. » Destimed

« A ses côtés, pour donner vie à Charlotte, c’est Antoinette Dennefeld qui officie. Quel charme, quelle présence dans ce rôle où la densité romantique est intériorisée, ou tous les non-dits doivent être compris le temps d’une attitude, d’un regard. La mezzo excelle dans ce registre avec d’autant plus de facilité que son chant est à l’unisson. Précision, limpidité, diction parfaite, projection : rien ne manque et c’est une Charlotte triomphante qui recueille les bravi d’un public séduit à juste titre. » Michel Egea – Concertclassic

« Strasbourg born, Lausanne finished mezzo soprano Antoinette Dennefeld suffered, with Massenet, mightily in the heroic struggles of her third act dilemmas, her voice fulfilling easily and forcefully the mid-voice demands of the role. Mme. Dennefeld sang the fourth act (death of Werther) wonderfully full voiced to Werther ’s mezza voce, choked utterances — we ached to experience his agony in full tenor vocal regalia. » Michael Milenski – Opera Today

« Cette sobriété se fait un écrin idéal pour l’investissement des interprètes, en premier lieu la Charlotte d’Antoinette Dennefeld. La franchise d’une alchimie entre féminité et pudeur jusqu’au bout de la ligne vocale sert une incarnation d’une émouvante sincérité. La fraîcheur d’un timbre rond, au medium aéré, sait se voiler délicatement pour faire affleurer l’indicible, avec un calibrage naturel et instinctif de l’affect, sans intellectualisme. » Gilles Charlassier – Première loge

 

Carmen – Rôle titre

Opéra National du Rhin (Strasbourg), 2021

« Alternant avec Stéphanie d’Oustrac […] la jeune mezzo-soprano strasbourgeoise Antoinette Dennefeld propose de son personnage un portrait très recherché. Arborant fièrement sa riche chevelure blonde, elle est une Carmen mystérieuse et énigmatique, à mille lieues des séductrices ou des femmes fatales habituelles. Éprise de liberté, c’est un personnage de notre temps qui clame haut et fort son droit de vivre comme elle l’entend, et qui assume calmement mais fermement ses choix. […] Les aigus forte sont riches, droits et vibrants, le legato planant dans le haut médium est fort esthétique. » Pierre Degott – Olyrix

Opéra de Dijon, 2019

« Formidable Carmen que celle d’Antoinette Dennefeld, qui incarne idéalement son personnage, allant bien au-delà de la lecture un peu fade de la mise en scène. (…) Depuis son entrée (avec des pop-corns) jusqu’au paroxysme de sa révolte finale, le parcours est admirable. La voix, sonore, aisée dans l’aigu, a un bas medium et des graves ronds et solides. » Yvan Beuvard – Forum Opera

« Antoinette Dennefeld est une Carmen somptueuse. Sa prise de rôle est vraiment réussie. (…)
La mezzo française montre une belle personnalité en scène, et une voix charnue, puissante, expressive qui s’impose. Avec un bel air des cartes, très senti, très intense, et un dernier acte réussi (…). Un rôle se mûrit d’étape en étape, et c’est déjà une Carmen imposante, qui se taille un vrai triomphe mérité. » Guy Cherqui – Wanderer

« Diction de velours et sans afféteries, Antoinette Dennefeld a tout d’une Carmen. » Jean-Luc Clairet – ResMusica

« Antoinette Dennefeld est familière de Carmen. On se souvient de sa Mercédès, dans la production de Calixto Bieito, à l’Opéra-Bastille, en 2017. Après des figures mozartiennes abouties (Donna Elvira, Annio de La Clemenza di Tito, Dorabella, puis Cherubino), notre mezzo passe au premier rôle, confirmant sa progression vocale et dramatique. Une sensualité naturelle, qui s’exprime par un chant opulent, sans poitrinage ni gouaille. » Albert Dacheux – Classique News

« Antoinette Dennefeld a toutes les qualités requises pour interpréter le rôle-titre » Isabelle Truchon – Le Bien public

 » Antoinette Dennefeld qui, si elle connaissait la partition pour avoir déjà interprété Mercedes, endosse ici pour la première fois le rôle-titre. Avec sensualité et assurance, elle dépeint cette femme fatale aux tendances égoïstes, assumant ses choix et ses envies sans se préoccuper des conséquences. (…) La voix est ample, aux teintes ambrées, avec un beau médium, et servie par une prononciation exemplaire. La mezzo-soprano parvient à donner vie à cet avatar, cette Carmen aux allures de double opposé de Micaëla mais qui, finalement, la dépasse et échappe à tout(e touche) contrôle. » Elodie Martinez – Opera Online

« Antoinette Dennefeld  incarne intelligemment une Carmen en constante évolution, ce que traduisent ses costumes. La voix est chaude, nuancée, une nuance de vibrato bien maîtrisée lui conférant une fragilité bienvenue. » Jean-Marc Proust – Opéra Magazine

 

Falstaff – Meg Page

Opéra National de Lyon, 2021

« La voix d’Antoinette Dennefeld en Mrs Page s’appuie sur un médium à l’image de son jeu, impliqué et contrôlé » Charles Arden – Olyrix

 

Cendrillon (Massenet) – Le Prince charmant

Opéra national de Lorraine (Nancy), 2019

« Dans le rôle du Prince charmant, Antoinette Dennefeld est épatante tant en adolescent ronchon et mal dans sa peau qu’en amoureux ardent. Sa voix riche, colorée et d’une parfaite homogénéité des registres se marie idéalement à celle de Cendrillon. » Michel Thomé – ResMusica

« Mais l’événement de la matinée a été pour beaucoup de spectateurs la découverte d’Antoinette Dennefeld en Prince charmant. La mezzo strasbourgeoise joue un ado à tendance gothique dont le mal de vivre est pleinement touchant, et l’éclat fulgurant de son mezzo clair emporte le public dès son premier air « Cœur sans amour ». Ce portrait d’un jeune homme torturé mais sachant répondre à l’appel de la beauté sincère émeut profondément par toutes les ressources d’un jeu théâtral accompli, sans une seconde de relâchement, et par les charmes d’une voix idéalement projetée et dont la palette de couleurs semble infinie. » Philippe Manoli – ConcertoNet

 

L’Heure espagnole – Concepcion 

Teatro Grande di Brescia, Teatro Fraschini de Pavia, 2019

« Sensuale scenicamente e vocalmente spigliata e la protagonista Antoinette Dennefeld, mezzosoprano francese che conferisce adeguato rilievo alla parola, elemento cardine su cui Ravel costruisce la sua trama sonora. » Fabio Larovere – Connessi all’opera

 

Concert Mozart (Orchestre de chambre de Paris)

Cour des Gobelins, 2019

« La voix s’y rapporte, riche et ornée. Le large vibrato accroît la projection sans perdre la ligne mélodique ni l’ancrage légèrement poitriné, pas davantage que les intentions dramatiques et la résonance très sûre, mettant toute la bouche à profit. La prononciation italienne reste limpide, du lento au presto […]. » Charles Arden – Olyrix

 

Les Folies d’Offenbach 

Les Folies lyriques, Montpellier, 2019

« Quant à Antoinette Dennefeld, sa voix, égale sur toute la tessiture, sa technique sans faille et sa diction limpide en font une interprète plus que précieuse dans ce répertoire. Son invocation à Vénus offre un modèle de musicalité et de phrasé. » Stéphane Lelièvre – Olyrix

 

Maître Péronilla (Offenbach) – Frimouskino

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

« Antoinette Dennefeld brille en Frimouskino, au regard malicieux. Sa voix douce et suave est bien ancrée (…) Elle la projette avec éclat et finesse, son vibrato appuyé apportant du relief à l’interprétation. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Le personnage central, Frimouskino, bénéficie de l’aura fraîche d’Antoinette Dennefeld (sortie tout juste de sa Carmen en réalité virtuelle à Dijon), comme un envol sacré. Le plaisir total d’écoute est dû à l’attendrissement et à la fragilité qu’il inspire, élargis à de vifs traits de caractère bien trempé que la voix illustre parfaitement dans un souffle et un soutien éloquents. » Thibault Vicq- Opera Online

« Le fringant Frimouskino d’Antoinette Dennefeld » Alain Cochard – Concertclassic

« Le Palazzetto Bru Zane a fait appel à une très belle équipe de chanteurs dominée par l’éblouissant Frimouskino d’Antoinette Dennefeld. Dans son personnage de jeune clerc, la mezzo se montre ardente, juvénile et pleine de tendresse. Très en voix, elle vole presque la vedette à l’autre rôle travesti, le « vrai mari » et maître de musique Alvarès. » Louis Bilodeau – Avant Scène Opéra

« Le piquant Frimouskino d’Antoinette Dennefeld » Sophie Bourdais – Télérama

« Antoinette Dennefeld (Frimouskino), dont le mezzo soprano parfaitement projeté enlumine tout ce qu’elle touche, dès son air d’entrée qui met en chauffe le concert. » Jean-Pierre Robert – On Mag

« Véritable rôle pivot et deus ex machina de l’intrigue, le Frimouskino d’Antoinette Dennefeld pétille comme un cœur, modulant sa voix chaude avec ironie et délicatesse, que ce soit dans un rondo-galop enfourché en un rythme effréné ou dans la réminiscence de baisers à lui non destinés. » JdeB – ODB

« Antoinette Dennefeld un Frimouskino spirituel et virtuose, notamment dans le difficile rondeau « Je cours, je vais, je vole », particulièrement réussi. » Apolline Gouzi – Bachtrack

« Antoinette Dennefeld, qui vient d’interpréter une magnifique Carmen à Dijon, est aisée dans l’aigu et séduisante dans les graves ronds et chaud. » Brigitte Maroillat – Forum Opera

« Antoinette Dennefeld hat schon bei ihrer Auftrittsarie den ganzen Saal im Griff, singt wunderbar souverän mit Witz und Humor und bekommt den meisten Szenen-Applaus (weil Offenbach eben für sie am meisten komponiert hat). » Waldemar Kramer – Online Merker

 

 

Le Nozze di Figaro – Cherubino

Opéra de Marseille, 2019

« Le Cherubino d’ Antoinette Dennefeld ne mérite que des louanges car tant scéniquement que vocalement le personnage est incarné avec la vivacité nécessaire. »Maurice Salles – Forum Opera 

« En Cherubino, Antoinette Dennefeld fait montre d’une belle sensibilité et de beaucoup d’assurance. »Paul Canessa – Olyrix

« Antoinette Dennefeld incarne un Chérubin idéal »Catherine Scholler – Resmusica

« Antoinette Dennefeld est un Cherubino savoureux, à la voix pleine et au bas médium velouté. Dès le début, elle incarne un page très ambigu, presque féminin. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Le Domino Noir – Brigitte de San Lucar

Opéra-Comique de Paris, 2018

« Antoinette Dennefeld (Brigitte, compagne et confidente d’Angèle) n’en brille pas moins dans les ensembles du premier acte et dans son air au dernier acte, grâce à son mezzo chaleureux et sonore. » Antoine Brunetto – ForumOpera

« Antoinette Dennefeld est une Brigitte de San Lucar affublée en mimosa charmante et à la voix très belle. » Pedro Octavio Diaz – ClassiqueNews

« Antoinette Dennefeld, dans le rôle de Brigitte, l’amie et complice d’Angèle, chante de façon particulièrement pétillante toute sa partie. »   José Pons – Olyrix

Opéra Royal de Wallonie-Liège, 2018

« Antoinette Dennefeld (…) è una deliziosa Brigitte-mimosa. »
Antoinette Dennefeld est une délicieuse Brigitte-mimosa.
Alma Torretta – Giornaledellamusica.it

« Antoinette Dennefeld apporte son incroyable présence ainsi que sa voix ronde et chaude au personnage de Brigitte » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Rôle de Brigitte, brillamment ciselé par la voix gracile et pétillante d’Antoinette Dennefeld. » David Verdier – Wanderer

« François Rougier en Juliano, Antoinette Dennefeld en Brigitte, Laurent Kubla en Gil Perez n’appellent que des éloges » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Le Juliano de François Rougier a du caractère, tout comme la Brigitte d’Antoinette Dennefeld (la bonne amie d’Angèle). » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Antoinette Dennefeld chante le rôle de Brigitte, l’amie d’Angèle, dans une sorte de réminiscence de ses Mousquetaires au couvent du Comique, avec son habituel jeu pétillant et sa voix ronde et douce » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Antoinette Dennefeld est une Brigitte pleine de tempérament » Alain Cochard – Concertclassic.com

 

La Clemenza di Tito – Annio

Opéra Garnier, 2017

« Le timbre rond et chaud d’Antoinette Dennefeld (Annio) trouve un beau miroir dans la pulpe de celui de Valentina Nafornita (Servilia). Elles forment un beau couple qui rivalise de pianos disséminés avec science. » Yannick Boussaert – Forum Opéra

« Antoinette Dennefeld (…) redouble de chaleur et de douceur sur son duo avec Servilia, un duo merveilleusement chanté qui est aussi un exemple d’efficacité scénique (…) Dennefeld ira enfin jusqu’à éblouir sur son air « Tu fosti tradito » enjoignant autant qu’implorant la clémence de Titus, d’un grave enveloppant emporté jusqu’à des aigus grandioses levant les bravi du public. » Charles Arden – Ôlyrix

Opéra de Montpellier, 2015

« Beau succès aussi, et justifié, pour Antoinette Dennefeld, Annio juvénile, dévoué et sympathique qui forme avec la gracieuse Servilia de Christina Gansch un couple  aussi séduisant scéniquement que vocalement. » Maurice Salles – Forum Opera

« Le chant assez droit d’Antoinette Dennefeld (Annio) offre dans Torna di Tito a lato une belle palette expressive avec des couleurs très surveillées. » David Verdier – Wanderer

 

Carmen – Mercedes

Opéra National de Paris, 2017

« C’est un balai de Mercedes défraîchies sous un immense taureau ibérique qui nous médusent au troisième acte. […] Frasquita – Vannina Santoni – et MercédèsAntoinette Dennefeld – mènent le numéro réjouissant des prostituées ivres en fin de soirée. Sans réserve, elles mènent leur entreprise de grand dépoussiérage de ce classique avec humour et précision. » Emmanuel Nidd – Toutelaculture.com

« Avec Vanina Santoni (Frasquita), Antoinette Dennefeld (Mercedès), François Lis (Zuniga) ou encore Jean-Luc Ballestra (Moralès), les petits rôles ont été finement distribués, à la gloire du chant français. » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Frasquita (Vannina Santoni) et Mercédès (Antoinette Dennefeld) tout ce qu’il y a de plus racées dans le chant et délurées dans le jeu. » Chantal Cazaux – Avant-Scène Opéra

« Vannina Santoni et Antoinette Dennefeld s’en sortent plutôt bien grâce à l’expressivité de leur jolie voix. » Claude Helleu – Altamusica

« La distribution des seconds rôles a été particulièrement soignée ce qui est heureux car beaucoup de la réussite du spectacle repose sur leurs épaules : […] lyriques et pétillantes Frasquita et Mercédès de Vannina Santoni et d’Antoinette Dennefeld. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Vanina Santoni (Frasquita) et Antoinette Dennefeld (Mercédès) s’appropriant sans difficulté leurs personnages de filles légères et vulgaires. » François Lesueur – ConcertClassic

« …Surtout le couple étourdissant formé par la Frasquita de Vannina Santoni (…), et par la Mercédès d’Antoinette Dennefeld, dont les couleurs délicatement ambrées en font une des mezzos intéressantes de la nouvelle génération française. » Alain Duault – Opera Online

 

Un Dîner avec Jacques – Mezzo-soprano

Auditorium du Musée d’Orsay, 2016

« Côté voix, Vannina Santoni, Antoinette Dennefeld, Yann Beuron, Jean-Sébastien Bou et Franck Leguérinel, tous dans une épatante forme. » Alain Cochard – Concertclassic

« La mezzo-soprano Antoinette Dennefeld n’est pas en reste, et nous offre notamment deux moments désopilants : l’air du mal de dents, extrait de La Princesse de Trébizonde et le célébrissime « Ah ! Quel dîner je viens de faire » de La Périchole. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

« Quant à la future victime des arracheurs de dents, Antoinette Dennefeld, elle finit par calmer sa denture souffreteuse dans un magnifique trébuchement éthylique, dont l’équilibre précaire ne nuit en rien à une musicalité gouailleuse. » ODB OPERA

 

Cavalleria rusticana – Lola

Opéra de Paris, 2016

« Enfin la Lola mutine et sensuelle d’Antoinette Dennefeld ne passe pas inaperçue. » Christian Peter – Forum Opéra

« On retiendra aussi la très jolie performance de la jeune mezzo française Antoinette Dennefeld qui offre avec Lola un portrait beaucoup plus habité qu’à l’ordinaire, plus consistant, mettant en valeur un timbre coloré et élégant et un sens du phrasé expressif qui vaut qu’on suive cette jeune artiste. » Alain Duault – Opéra Online

« Antoinette Dennefeld est une superbe Lola au timbre pulpeux et à l’articulation parfaite. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Seule Antoinette Dennefeld incarne assez son personnage de Lola pour proposer [à Elina Garanča] une confrontation crédible. » Charles Arden – Ôlyrix

 

Le Portrait de Manon – Jean

Opéra de Marseille, 2015

« De la distribution, on retiendra, en premier lieu, l’adorable Antoinette Dennefeld, qui porte le travesti à ravir, dans le rôle de Jean. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

 

Les Mousquetaires au Couvent – Louise

Opéra Comique, 2015

« Tout comme Antoinette Dennefeld qui, dans l’espièglerie de Louise, montre un fort beau tempérament. » José Pons – Opéra Magazine

Opéra de Lausanne, 2013

« La mezzo soprano laisse enfin éclater tout son talent, son aisance vocale, sa diction exemplaire et la touche mutine de son jeu. » Matthieu Chenal – le 24 heures

 

Le Roi Carotte (Offenbach) – La Princesse Cunégonde

Opéra national de Lyon, 2015

« Victoire aussi pour Antoinette Dennefeld, la méchante princesse, et Chloé Briot, la gentille, qui tiennent chacune leur rang avec un tempérament et des charmes bien différenciés. » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

« Antoinette Dennefeld apporte à sa Cunégonde l’effronterie que l’on avait notamment appréciée dans les Mousquetaires au Couvent. Sa performance est impeccable, avec une mention particulière pour sa scène de rires (dans le duo avec Yann Beuron précédemment cité), très convaincante et drôle. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« la pétulante Princesse Cunégonde, impayable Antoinette Dennefeld » David Verdier – ResMusica

« la mezzo-soprano Antoinette Dennefeld, découverte avec bonheur dans Les Mousquetaires au couvent à l’Opéra-Comique en juin, confirme son excellence vocale et scénique en Cunégonde, roucoulant avec aisance et parlant avec gouaille. » Clément Rochefort – La Lettre du Musicien

« On saluera particulièrement Antoinette Dennefeld, Cunégonde qui passe avec aisance de la vulgarité à la romance – son duo avec Fridolin, dans lequel elle feint de l’aimer pour mieux lui arracher son anneau, est peut-être le passage où affleure le plus, paradoxalement, l’émotion exprimée par le chant et la musique. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Antoinette Dennefeld als rotzfreche Cunégonde, die ihren ausgestellten Reifrockkleid mit Turnschuhen darunter Lügen straft » Sabine Weber – Die deutsche Bühne
Antoinette Dennefeld, qui derrière sa robe à crinoline et ses chaussures de sport, cache une Cunégonde impertinente et sans-gêne.

« Les voix féminines ne déméritent en rien, faisant preuve d’abattage ou d’aisance, que ce soit la rouée Cunégonde d’Antoinette Dennefeld […] ou le déluré Robin-Luron de Julie Boulianne. » Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, Lyon-Newsletter

« Yann Beuron (Fridolin), Chloé Briot (Rosée du Soir) et Antoinette Dennefeld (Cunégonde) dominent un plateau joyeux et bondissant » Antonio Mafra – Le Progrès

« N’oublions pas […] Antoinette Dennefeld, princesse Cunégonde dérouillée par la vie parisienne » Philippe Venturini – Les Echos

« Antoinette Dennefeld apporte à sa Cunégonde l’effronterie que l’on avait notamment appréciée dans les Mousquetaires au Couvent. Sa performance est impeccable, avec une mention particulière pour sa scène de rires, très convaincante et drôle. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Es ist auch einem erstklassigen Sängerensemble zu verdanken, in dem Antoinette Dennefeld als freche Cunégonde in Reifrock und Turnschuhen überzeugt » Dieter David Scholtz – Neue Musikzeitung
Il faut aussi remercier des chateurs de premier rang, parmi lesquels Antoinette Dennefeld, qui convainc dans le rôle de l’impertinente Cunégonde, en robe à crinoline et chaussure de sport.

« Les interprètes des rôles principaux sont à la hauteur de cette direction tonique. Yann Beuron (Fridolin), Chloé Briot (Rosée-du-soir), Julie Boulianne (Robin-Luron) et Antoinette Dennefeld (Cunégonde) ont particulièrement investi leurs personnages présents sur tous les fronts portant une musique d’Offenbach pur jus… de carotte bien évidemment. » Franck Giroud – Culturebox

« La mezzo-soprano Antoinette Dennefeld se taille la part du lion dans le rôle omniprésent de Cunégonde. Au coquin Rondeau, bien enlevé, elle donne une verve impertinente qui sert bien le propos et ses Couplets du panache sont particulièrement revigorants. » Baronne Samedi

« La distribution réunie (Beuron, Mortagne, Boulianne, Dennefeld) est impeccable et, comme il se doit, entièrement francophone. » Nicolas Blanmont – La Libre

« Aussi parfait que l’est Cunégonde, alias Antoinette Dennefeld. Son pétulant mezzo-soprano, également rompu à l’opéra bouffe, est chaleureux, son jeu frais et impertinent. » Beate Langenbruch – Bachtrack

« Antoinette Dennefeld sang mit schönem, rundem Mezzosopran die freche Prinzessin Cunégonde. » Walter Nowotny – Online Merker
Antoinette Dennefeld avec son beau et rond mezzosoprano interprète l’insolente princesse Cunégonde.

« Antoinette Dennefeld donne ses lettres de noblesse scéniques et musicales à une Cunégonde aussi éloquente dans son entrée que dans son (faux) grand duo d’amour. » Didier Roumilhac – Opérette

 

Le Comte Ory – Isolier

Opéra de Lyon, 2014

« Tout de fraîcheur et de conviction s’avère l’Isolier d’Antoinette Dennefeld. Déjà remarquée in loco dans L’Enfant et les sortilèges de Ravel la saison dernière, la mezzo alsacienne nous gratifie encore ce soir de ses nombreux atouts: grande sensibilité, registre grave nourri, chaleur du timbre, justesse irréprochable et diction à l’avenant. Un pur régal ! » Emmanuel Andrieu – www.opera-online.com

« Antoinette Dennefeld en page aguicheur déploie les velours de sa voix de mezzo avec une verve confondante et un charme fou. » Caroline Alexander – www.webthea.com

 

Cléopâtre – Charmion

Opéra de Marseille, 2013

« Révélation avec la Charmion d’Antoinette Dennefeld, mezzo-soprano originaire de Strasbourg, au timbre chaud, aux accents expressifs et à la présence rayonnante. » Richard Martet – Opéra Magazine

 

L’Aiglon – Fanny Elssler

Opéra de Lausanne, 2013

« …et la surprenante Fanny Elssler d’Antoinette Dennefeld, dont la formation lui permet de chanter très joliment, tout en dansant fort élégamment sur les pointes. » François Lehel – Opéra Magazine

 

L’Enfant et les Sortilèges – La chatte, L’écureuil

Opéra de Lyon, 2012

« Le duo miaulé (Antoinette Dennefeld et Jean-Gabriel Saint-Martin) est très réussi, ainsi que la prestation de l’Écureuil (Antoinette Dennefeld encore), tant dans la gestuelle que dans la voix. » Fabrice Malkani – Forumopera

 

Roméo et Juliette – Stephano

Opéra de Lausanne, 2011

« On retiendra d’abord le Stéphano d’Antoinette Dennefeld. Dans la chanson du troisième acte, le mezzo français fait preuve d’une maîtrise impecable sur toute la tessiture de ce rôle sopranisant. » Gilles Charlassier – Anaclase.com

 

« Antoinette Dennefeld détaille avec sensibilité son air « de la tourterelle ». »Bruno Villien – Opéra Magazine



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