Anaïk Morel – Revue de presse

Armide (Gluck) – La Haine

Opéra Comique, 2022

« Anaïk Morel was a powerful figure of Hate » David Karlin – Bachtrack

« Anaïk Morel met au service du personnage de La Haine toute la détermination de sa voix de mezzo-soprano de grand caractère, puissamment ancrée sur ses bases et assez large. La prestation et la figure sont rendues puissantes et inquiétantes avec son maquillage appuyé proche du tatouage et sa vêture aux larges pans qui enserreront Armide, la momifiant presque (matériellement et symboliquement dans ce même sentiment de haine). » José Pons – Ôlyrix

« impressionnante Haine de Anaïk Morel » Nicolas d’Estienne d’Orves – Transfuge

« La Haine d’Anaïk Morel est très adaptée au rôle difficile avec des écarts de tessiture redoutables et la nécessité de dominer un chœur imposant. Elle rend les aspects pernicieux de la personnification des Enfers, avec un rythme musical pris à un galop infernal. » Alain Attyasse – ResMusica

« Impressionnante dans l’un des rôles les plus marquants de l’ouvrage, Anaïk Morel donne à sa Haine une jeunesse vocale rayonnante, surtout dans l’aigu, mêlant à sa prestation des regards hallucinés » Florent Coudeyrat – ClassiqueNews

« Anaïk Morel (outrageusement maquillée) offre une Haine puissante, sonore, inquiétante et fière, aux sonorités riches et denses. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Another special mention goes to Anaïk Morel’s La Haine (Hate). When she enters the stage dressed as knowledge itself—her whole body is covered with book inscriptions in many different alphabets, making it possible to read the hate as source of knowledge—, it is evident that she is going to be a remarkable presence. Morel sings the role with much strength, though with some issues in the projection in the faster tempos. » João Marcos Copertino – Opera Wire

« La Haine d’Anaïk Morel, d’une nervosité et d’une virtuosité acerbes, emporte l’auditeur dans son tourbillon d’imprécations, et parvient avec ses chœurs de démons à effrayer Armide elle-même qui revient sur sa décision face à l’horreur noire qui se profile. » Viet-Linh Nguyen – Muse Baroque

 

Lancelot – Guinèvre

Opéra de Saint-Etienne, 2022

« Il n’y a en revanche que des éloges à formuler pour les deux titulaires féminines, la mezzo Anaïk Morel (Guinèvre) et la soprano Olivia Doray (Elaine), deux timbres très beaux et expressifs, projetés avec force. Les deux interprètes sont investies dans leur jeu et dégagent de l’émotion, tout en veillant également à une bonne prononciation du texte. » Irma Foletti – Bachtrack

« En Guinèvre, Anaïk Morel est royale d’allure et vocalement d’une beauté plastique des plus séduisantes. Cette égalité de registre sur toute la tessiture du rôle ne laisse pas de subjuguer. » Romaric Hubert – Première Loge 

« Dans un rôle porté à la scène par la légendaire contralto Marie Delna, celui de la Reine Guinèvre, Anaïk Morel développe une voix de mezzo-soprano large et irisée, dotée d’un aigu franc et direct. Elle donne beaucoup de caractère à cette Reine malheureuse […]. » José Pons – Olyrix

« Anaïk Morel fait preuve d’une belle maîtrise et donne vie à Guinèvre, l’émission est sonore, ronde. La sûreté des moyens, dans sa plus large tessiture de mezzo, lui permet de traduire avec justesse toutes les émotions et les tourments que traverse cette reine déchue. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Celle-ci est très bien défendue par la mezzo Anaïk Morel (envoûtant air d’amour du premier acte), voix à la fois juvénile et charnue […]. » Jean-François Lattarico –  ClassiqueNews

« Anaïk Morel est bien le mezzo-soprano qu’exige le personnage de Guinèvre […]. » Laurent Bury – ConcertClassic 

« Guinèvre trouve en Anaïk Morel une interprète d’un relief saisissant. Le velours de la voix, la facilité et la puissance de l’aigu, la rondeur du grave se déploient idéalement dans cette tessiture, augurant le meilleur pour Brangäne (Tristan und Isolde) et Ortrud (Lohengrin), prévues les saisons prochaines, au Théâtre du Capitole de Toulouse et à l’Opéra national du Rhin. » Richard Martet – Opéra Magazine

 

Ariane et Barbe-Bleue – La Nourrice

Opéra National de Lorraine (Nancy), 2022

« Anaïk Morel laisse ici plus encore s’épanouir sa grande voix charnue de mezzo-soprano […]. Elle campe une Nourrice complice mais aussi effrayée par la volonté sans faille de sa maîtresse. » José Pons – Olyrix

« Anaïk Morel imprime toute la crainte et les jubilations de la Nourrice grâce à son mezzo clair et sonore. » Yannick Boussaert – Forum Opéra

« Anaïk Morel témoigne elle aussi d’une implication vocale grandeur nature : sa Nourrice poétique et approfondie commente l’action en la pensant. » Thibault Vicq – Operaonline

 

L’Enfant et les Sortilèges – La Bergère, la Chatte, l’Écureuil, un Pâtre

Philharmonie de Paris, 2021

« La mezzo-soprano Anaïk Morel interprète la Bergère (le meuble), la Chatte, l’Ecureuil et un Pâtre avec un timbre agréablement velouté aidé d’un vibrato bien dosé. » Emmanuel Deroeux – Ôlyrix

« Anaïk Morel est une solide Bergère, et révèle toute la beauté de son timbre de mezzo dans le récit de l’Ecureuil.  » Alexandre Jamar – Forum Opéra

 

L’Ile du rêve – Princesse Oréna & Mélodies

Prinzregententheater München, 2020

« Anaïk Morel offre une prestation particulièrement remarquée. Dans le rôle de la Princesse Oréna, elle convainc Mahénu de rester à Bora-Bora sans forcer la voix, d’un ton maternel à l’autorité naturelle (« Enfant, retourne auprès de ton vieux père« ). Détachée de la partition qu’elle consulte comme un simple mémo, la mezzo suspend l’auditeur à ses lèvres. « D’une prison » (Hahn) en récital, elle laisse éclore un timbre de mezzo filé jusqu’aux aigus, les médiums décloisonnés, puis incarne « Le poète et le fantôme » (Massenet) alternant successivement entre des aigus inquiets et des graves souterrains lorsque parle le fantôme, puisant alors le son au fond de la gorge. » Nicolas Mathieu – Ôlyrix

« Vient ensuite Anaïk Morel, et l’enchantement ne se poursuit pas moins […] : on admire notamment les notes spectrales confiées au Souvenir dans « Le poète et le fantôme », où la ferveur qui se révèle à la toute fin du badinage d’ « On dit ». […] Anaïk Morel royale en princesse Oréna. » Laurent Bury – Forum Opéra

 

Dialogues des Carmélites – Mère Marie

Théâtre du Capitole de Toulouse, 2019

« Anaïk Morel campe une Mère Marie à l’âme apparemment intransigeante, orgueilleuse, mais aussi capable de souffrir. Son beau mezzo-soprano rend justice à ce rôle difficile par ses écarts et ses extrêmes. » José Pons – Ôlyrix

« De son côté, Anaïk Morel aborde la partie de Mère Marie avec l’impétuosité de sa jeunesse, et dessine parfaitement la fierté et la rigidité du personnage. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

 

Opéra National de Lyon, 2013

« Lauriers aussi pour la Mère Marie d’Anaïk Morel, bien campée sur son fier mezzo » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Anaïk Morel […] campe une Mère Marie d’une grande autorité scénique et vocale. »Erna Metdepenninghen – Crescendo Magazine

« Loin des mezzos en fin de carrière auxquelles on donne souvent le rôle, c’est avec toute l’impétuosité de sa jeunesse qu’Anaïk Morel endosse les habits de Mère Marie. Rendant parfaitement la fierté et la rigidité du personnage, elle trouve là un emploi parfaitement adapté à ses moyens. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

 

Œdipe – Jocaste

Salzburger Festspiele, 2019

« Belle Jocaste très engagée aussi d’Anaïk Morel […] très expressive, juvénile aussi (alors qu’elle est la maman de son époux…). » Guy Cherqui – Wanderer

« La Jocaste d’Anaïk Morel est également très investie vocalement, avec une parfaite justesse de ton. » Claude Jottrand – Forum Opéra

« [Le quintette] est luxueusement complété par le mezzo-soprano généreux d’Anaïk Morel en Jocaste fulgurante » Bertrand Bolognesi – Anaclase

« Anaïk Morel, cette habituée de Carmen et Charlotte, sait où puiser pour donner à Jocaste l’humanité de cette mère et femme malmenée. » Paul Fourier – Toute la culture

« Anaïk Morel, vibrante Jocaste » Emmanuel Dupuis – Diapason

« the lush-voiced mezzo-soprano Anaïk Morel » Classical Voice America

« Bravissima è pure la Jocaste di Anaïk Morel. » Alessandro di Profio – Connessi all’Opera

 

Carmen – Rôle-titre

Royal Opera House Covent Garden, 2019

« In the end though Carmen is about the voices – Anaïk Morel provides a beautifully sung and communicated account of the title-role, and as she is a French singer it feels absolutely authentic: the voice is agile and alluring and she invests totally in the staging, even with her first appearance in a gorilla suit. Her colourful vocals also blends well with Jacquelyn Stucker’s brilliantly forthright Frasquita and Hongni Wu’s likeable, mettlesome Mercédès. » Alexander Campbell – Classical Source

« Only Anaïk Morel’s Carmen is up to the challenge, a mesmerising cocktail of cherubic innocence, sexiness and danger. […] Musically, things are more successful. Complementing Morel’s rich-voiced gypsy heroine are Ailyn Perez’s impassioned Micaela, Bryan Hymel’s fluently powerful Don Jose and Luca Pisaroni’s suave Escamillo. » Graham Rogers – The Stage

« Anaïk Morel gives us a heroine of two halves. Sexy and sassy in Acts One and Two, her impatience with her lover, Don José, flares almost instantly after the interval, making her appear capricious and flighty, rather than committed to her gypsy blood. But an unexpected denouement might just suggest that she staged it all – Carmen is nothing if not a show(wo)man after all.
Morel has the voice of course and does some of her best acting while standing slightly aside from the action, observing, assessing, deciding how to manipulate these men, while staying true to her own credo of the pursuit of hedonism. » Gary Naylor – Broadway World

 

Opéra de Montpellier, 2018

« Après son récent triomphe en Charlotte (Werther) à l’Opéra national du Rhin, la mezzo française Anaïk Morel campe une tout aussi formidable Carmen, à la voix souple et à l’interprétation variée, aussi à l’aise dans la couleur sombre de l’air des cartes que dans les mélismes sensuels de la Séguedille. Surtout, elle fait preuve de musicalité et de retenue, en ne surchargeant jamais son interprétation, à l’image de son personnage de reine digne et fière. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Si la mise en scène pose quelques questions, difficile de s’interroger sur les voix tant elles sont admirables, à commencer par Anaïk Morel dans le rôle-titre. Outre une prestance digne de la reine/déesse qu’elle incarne, la voix est sûre, les graves sombres n’ayant d’égal que la sensualité de la ligne de chant parfaitement assurée où projection et diction sont excellentes. » Elodie Martinez – Toute la culture

« Dans le rôle-titre, Anaïk Morel est confrontée à la gageure d’interpréter une Carmen-Reine de glace, dépouillée, donc, de toute sensualité. C’est ainsi droite et immobile qu’elle doit chanter une Habanera au tempo peu allant. Sa voix fine aux graves chauds et cuivrés et à la projection percutante offre de somptueux passages et des piani délicats » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Anaïk Morel chante Carmen avec des moyens naturels, sans poitrinage ni fulgurance particulière, mais avec une grande musicalité et en s’appliquant sur l’articulation. » Irma Foletti – Anaclase

« L’immobilité inédite imposée au rôle-titre ne gêne en rien la Carmen en tous points remarquable d’Anaïk Morel. » Jean-Luc Clairet – ResMusica

 

Opernhaus Zürich, 2016

« Morel has the vocal and dramatic savvy, as well as the benefit of multiple performances, to put her stamp on the role, even without the benefit of rehearsal. She wrapped her beautiful, lyric mezzo around Bizet’s melodies, imbuing them with sensuality and abandon. This Carmen did not want to die, but she could not argue with the fate the cards dictated, and would never acquiesce to any man out of mere fear. When she entered on Escamillo’s arm to the cheers of the crowd in the last act, triumph shined in her face, totally in keeping with her character and justifiably proud of her success. » Rick Perdian – Seen and heard International

 

Ariadne auf Naxos – Komponist

Théâtre du Capitole de Toulouse, 2019

« Anaïk Morel [maîtrise] avec assurance les tensions et les écarts de l’écriture, portés à ébullition par son mezzo lumineux et ardent. Elle porte d’ailleurs le Prologue quasiment à elle seule. » Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine

« Anaïk Morel nous gratifie déjà d’un compositeur de premier ordre. La tessiture du rôle lui tombe dans la gorge jusque dans les aigus les plus exposés et les phrases les plus tendues. Le timbre rond et chaud se pare des couleurs adéquates pour exprimer le désarroi, le dépit et la colère rentrée de ce personnage si attachant. » Yannick Boussaert – Forum Opéra

« Dans le Prologue, la mezzo lyonnaise Anaïk Morel prend le rôle du Compositeur. Étincelante du haut en bas de la tessiture, sa voix est projetée vers des aigus expansifs et remplit la salle, exprimant sans équivoque sa passion, son impatience et son désespoir. » Paula Gaubert – Ôlyrix

« La jaquette du Compositeur semble être cousue selon ses dimensions tant la justesse d’Anaïk Morel porte son personnage sous des traits particulièrement convaincants. Le timbre embrasé de son mezzo-soprano donne du relief à l’effervescence et à l’ambition du musicien qu’elle incarne, alors que l’agilité de son phrasé exacerbe l’idéalisme d’une jeunesse pleine d’appétit, contrebalancée par la maîtrise de l’expérience de Werner Van Mechelen en sérieux Maître de musique, et l’attachement du grotesque Maître à danser de Manuel Nuñez Camelino. » Charlotte Saulneron – ResMusica

« Prise de rôle également pour Anaïk Morel qui d’emblée trouve le ton juste, qui donne au Compositeur sa dimension à la fois juvénile, impétueuse et idéaliste. » Pierre Cadars – Concert Classic

« En Compositeur, Anaïk Morel témoigne d’une projection saine, sans afféteries inutiles. Elle cisèle les tourments du jeune créateur avec une indéniable fraîcheur expressive : un tel aboutissement dans l’incarnation des contradictions du serviteur de l’art n’avait pas été entendu, depuis, peut-être, Sophie Koch, il y a une quinzaine d’années. » Gilles Charlassier – Anaclase

« Côté voix, c’est aussi un enchantement, avec – comme il se doit- une omniprésence fascinante et acclamée de Anaïk Morel en compositeur dans le prologue » Yaël Hirsch – Toute la culture

« Par la vivacité du chant et du verbe, Anaïk Morel triomphe » Emmanuel Dupuy – Diapason

 

Dido and Aeneas – Dido

Festival d’Aix-en-Provence, 2018

« Ce soir, c’est une prise de rôle pour Anaïk Morel qui remplace dans le rôle de Didon Kelebogile Pearl Besong, souffrante. […] Didon gagne en assurance au fil des actes jusqu’à se révéler au moment tant attendu de sa mort et de nous offrir alors un air d’une très belle intensité dramatique. Beaucoup d’émotion dans cette voix, sublimée par l’accompagnement subtil de la harpe. » Cécile Glaenzer – ResMusica

« Anaïk Morel, a very late replacement in the title role, coped well in the emergency circumstances: her portrayal was admirable” Opera News

« Le festival n’a pas eu de chance avec la fugace apparition de Kelebogile Pearl Besong, remplacée par la jeune Anaïk Morel qui a dû s’insérer dans le spectacle. Le timbre est homogène et beau, la voix présente, l’assurance vient peu à peu. » Guy Cherqui – Wanderer

« C’est donc [Anaïk Morel] que nous avons entendue le lendemain : belle voix ample et grande dignité d’intentions » Chantal Cazaux – Avant-Scène Opéra

 

Werther – Charlotte

Opéra du Rhin, 2018

« Dans le rôle de Charlotte, la mezzo française Anaïk Morel ne lui cède en rien, faisant valoir un timbre aussi homogène que superbe, ainsi qu’un volume et une ampleur impressionnants. […] sa Charlotte a quelque chose de fondamentalement voluptueux, ce qui ajoute de la crédibilité à la passion dévastatrice du héros. Nous trépignons d’impatience de la retrouver dans le rôle de Carmen le mois prochain à l’Opéra de Montpellier, où la flamboyance de sa voix et de son tempérament devrait en faire une héroïne idéale pour le chef d’œuvre de Bizet. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Anaïk Morel […] campe une Charlotte résignée, puis révoltée, avec un timbre clair et une élocution parfaite. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

« La distribution fait la part belle à des voix fraîches et juvéniles, qui participent au succès de cette production. On placera très haut l’interprétation d’Anaïk Morel, Charlotte à la fois ardente et pudique dans l’expression amoureuse. La belle projection de « Va, laisse couler mes larmes » n’a pas besoin d’un vibrato excessif pour émouvoir. » David Verdier – Wanderer

« La mezzo-soprano Anaik Morel porte la multiplicité de Charlotte dans sa gestuelle et dans sa voix. Qu’elle piétine les boules de Noël, se recroqueville en position fœtale sur le sol, se dégage, écœurée, de l’étreinte forcée d’Albert, son articulation et sa puissance vocale ne faillissent pas. Elles sont magnifiées par des graves bien implantés au moment de la séparation forcée d’avec Werther, des aigus puissants lorsque son courage l’abandonne, un timbre bouleversant lorsqu’elle évoque la mort de sa mère. » Céline Wadoux – Ôlyrix

« Anaïk Morel met son riche instrument au service d’une caractérisation très fouillé » Alain Cochard – Concert Classic

« Après sa prise de rôle toute récente à Klagenfurt, Anaïk Morel est une Charlotte puissamment émouvante et d’un engagement total […] Le timbre de la voix est prenant, rond et enveloppant, les graves superbes et chaleureux. » Michel Thomé – ResMusica

 

Elias (Mendelssohn) – L’Ange, La Reine Jézabel

Ensemble Pygmalion – Philharmonie de Paris, 2016

« Anaïk Morel, mezzo profond homogène et stylé, incarne aussi bien ferveur de l’Ange que les fureurs de la reine Jézabel » Didier van Moere – ConcertoNet

« Quant à notre compatriote Anaïk Morel, sa carrière qui se déroule en majeure partie en terres germanophones lui permet de chanter l’allemand comme elle respire, mais nous donne des regrets de ne pas pouvoir applaudir plus souvent dans son pays natal une artiste capable, en plus de ses diverses interventions, de nous faire frémir dans les quelques minutes où elle parvient en trois phrases à incarner une redoutable Jézabel. » Laurent Bury – Forum Opéra

« La mezzo-soprano Anaïk Morel, tantôt l’ange, tantôt la reine, est une belle interprète au timbre chaud. » Frédérique Epin – Ôlyrix

« Anaïk Morel sait tenir de l’ange comme du démon. Sa courte intervention en reine colérique est un moment de pur théâtre. » Hubert Stoecklin – Classique News

 


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