Rodolphe Briand – Press review

La Bohème – Parpignol

Théâtre des Champs-Elysées, 2023

« Les autres rôles : Rodolphe Briand au timbre clair (Parpignol), Arthur Cady à la voix caverneuse (Un sergent des douanes), Théo Kneppert (Un douanier) et Simon Bièche (Le vendeur ambulant) reçoivent également leur part méritée des éloges. » CJM – Ôlyrix

« Rodolphe Briand, par exemple, fait une apparition remarquée en Parpignol » Philippe Manoli – Toute la Culture

 

Le Rossignol / Les Mamelles de Tirésias – 3e émissaire japonais / Le Fils, Une grosse dame

Théâtre des Champs-Elysées, 2023

« Rodolphe Briand (3e émissaire japonais / Le Fils / Une grosse dame) est un acteur averti, qui entraîne sa complicité avec le public, ce qui se sent et est apprécié dès sa première apparition mais aussi et surtout dans le rôle grotesque de la Grosse dame où le jeu avec les faux (énormes) seins, l’allaitement grand-guignolesque et la démarche pataude du personnage déclenchent l’hilarité de la salle. La voix, modulable, sert efficacement la caractérisation des rôles, passant en tête pour la Grosse dame ou devenant criarde pour l’enfant-lapin. » GMA – Ôlyrix

« Rodolphe Briand s’amuse à moduler le timbre de sa voix, acteur et chanteur désopilant, travesti en grosse dame décomplexée les (faux) seins à l’air, ou en lapin-fils impertinent. » Jany Campello – ResMusica

« seconds rôles, bien distribués, dont se détache le désopilant Rodolphe Briand. » Florent Coudeyrat – Classique News

« Rodolphe Briand promène sa dégaine impayable, mi-grosse dame mi-lapin géant » David Verdier – Altamusica

« Rodolphe Briand se taille un beau succès en Fils et en Grosse Dame » Laurent Bury – Concert Classic

« Victor Sicard,  le Gendarme amateur de SM et Rodolphe Briand,  une Grosse Dame dans la robe jaune-jonquille et un masque de lapin rose, livrent chacun un spectacle à eux seuls » Victoria Okada – Toute la Culture

 

La Périchole – Comte Miguel de Panatellas

Théâtre des Champs-Elysées, Opéra de Toulon, 2022 & Opéra de Dijon 2023

« Lionel Lhote et Rodolphe Briand, respectivement Don Pedro de Hinoyosa sonore et bien ancré et le Comte Miguel de Panatellas léger mais sans nasalité, avec un chant mixte doux et agréable, apportent à leur duo comique un jeu vif et une complicité qui, bien qu’harmonieuse, fonctionnent parfaitement avec l’accumulation de gags qui leur sont attribués. » GMA – Ôlyrix

« Les seconds rôles : Chloé Briot, Alix Le Saux et Eléonore Pancrazi en pétillantes trois cousines, tout comme le duo de courtisans obséquieux (Rodolphe Briand et Lionel Lhote) ou encore les notaires intempérants (Mitesh Khatri et Jean-Philippe Fourcade) sans oublier Natalie Pérez en courtisane délurée et l’excellent Chœur de l’Opéra national de Bordeaux complètent avec bonheur cette distribution qui échappe à toute critique. » Patrice Imbaud – ResMusica

« Rodolphe Briand et Lionel Lhote campent deux sbires impeccables de drôlerie, en t-shirt et casquette, en smoking ou en uniforme de soldat. » François Laurent – Diapason Mag

« Just about every one of the cast deserves a name-check for great comic acting and enjoyable singing, but I’ll limit myself to Rodolphe Briand and Lionel Lhote as the viceroy’s flunkeys » David Karlin – Bachtrack

« Rodolphe Briand et Lionel Lhote rivalisent de rouerie dans leur emploi de courtisans obséquieux et serviles et déclenchent les rires à chacune de leurs apparitions. » Christian Peter – Forum Opéra

« les deux nobles péruviens (Lionel Lhote et Rodolphe Briand) vocalement solides » Jacques Bonnaure – Classica

« De leur côté, le duo Don Miguel / Don Pedro campé par Rodolphe Briand et Lionel Lhote fonctionne également, et ne sont pas en reste pour actionner les zygomatiques des spectateurs. » Emmanuel Andrieu – Classique News

« Deux pantins, hommes à tout faire du Vice-roi, changeant de costume comme retournant leur veste, sont respectivement Don Pedro de Hinoyosa (le baryton Lionel Lhote) et Don Miguel de Panatellas (le ténor Rodolphe Briand) sans démériter sur le plan vocal. Le second, débonnaire, a un timbre lumineux tandis que le premier, plus sec et nerveux, est plus sombre. Ils expriment un réel plaisir à interpréter leur rôle, sans démériter vocalement, usant de leur diction impeccable et de leur plasticité physique pour faire avancer énergétiquement l’action. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

« Le duo de gentilshommes de cour formé par Lionel Lhote et Rodolphe Briand (Hinoyosa et Panatellas) mérite une mention toute particulière. Plus encore que dans l’immensité du TCE, leur duo de choc fait à Toulon des étincelles, tant dans l’élégance de leurs pas dansés que dans l’éclat de leur déclamation ouvragée (si difficile à maintenir au cours de tant de dialogues !) sans compter une incarnation particulièrement forte scéniquement et brillante vocalement, dans un équilibre parfait entre les deux personnalités, ténor et baryton, figures de gentilshommes benoites et pitoyables mais si humaines. Grâce à eux on sifflote les couplets-boléro («Les maris courbaient la tête») longtemps après la représentation. » Philippe Manoli – Toute La Culture

« Les talents de Rodolphe Briand et de Lionel Lhote se répondent parfaitement dans les rôles jumeaux de Don Miguel et Don Pedro, les deux sbires du vice-roi du Pérou. Courtisans velléitaires et serviles, les deux artistes ne craignent ni le ridicule des situations que leur impose le livret, ni les difficultés des airs et ensembles qu’Offenbach a composés pour eux et dans lesquels il s’agit à la fois d’être dramatiquement crédibles et musicalement justes. Habitué des rôles de caractère, Rodolphe Briand perpétue la tradition des chanteurs-acteurs que Jacques Offenbach appréciait tant » Nicolas Le Clerre – Première Loge Opéra

« Rodolphe Briand en Panatellas se démarque aussi par un ténor assuré et par le naturel de sa vis comica. » Pierre Géraudie – Ôlyrix

 

Manon – Guillot de Morfontaine

Opéra National de Paris (Bastille), 2022

« Rodolphe Briand se moule à merveille dans les habits de Guillot de Morfontaine avec ses prétentions sur la belle et sa vengeance contre elle. » Paul Fourier – TouteLaCulture

« Guillot de Morfontaine joué par Rodolphe Briand est le premier à chanter dans le spectacle, projetant d’emblée ses accents très articulés et d’une couleur lumineuse. » Charles Arden – Olyrix

« Un Brétigny (Marc Labonnette) et un Guillot (Rodolphe Briand) crédibles et à la diction irréprochable. » Stéphane Lelièvre – Bachtrack

« A notable mention must go to Rodolph Briand for his portrayal of Guillot. His role as an aging rake was superbly convincing. » Miho Uchida – PlayToSee

« On retrouve un français remarquable avec […] le parfait Guillot de Rodolphe Briand. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

Opéra de Monte Carlo, 2017

« Ce couple de dernière minute, d’autant plus méritant qu’il n’a disposé que d’une matinée de répétition pour apprendre à se connaître, peut compter sur l’appui de seconds rôles solides : Lionel Lhote (Lescaut), Marc Barrard (le Comte Des Grieux), Rodolphe Briand (Guillot de Mortfontaine), Pierre Doyen (Brétigny), tous exemplaires d’articulation, de style et – ce qui est essentiel dans cet ouvrage fragmentaire – tous capables d’imposer leur personnage en quelques répliques et de faire comprendre, par le geste et le chant conjugués, la cupidité débonnaire de l’un, la dignité orgueilleuse de l’autre, la suffisance malfaisante du troisième ou la noblesse du dernier. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Les chanteurs principaux sont soutenus par des chanteurs superbes, qui sont aussi des comédiens talentueux et plein d’esprit : Lionel Lhote (Lescaut), Rodolphe Briand (Guillot) et Pierre Doyen (De Brétigny). » Jacqueline Letzler & Robert Adelson – ClassicAgenda

« Fort heureusement, le reste de la distribution n’attire que des éloges en raison du choix judicieux d’une équipe franco-belge rompue au style de l’opéra hexagonal. Diction impeccable chez tous, sourires grinçants du Guillot de Rodolphe Briand […] » ConcertoNet

« Mais les seconds rôles sont également tous parfaits, physiquement autant que vocalement, ce qui contribue à donner à toutes les scènes de genre une nervosité de touche très éloignée du pittoresque traditionnel des opéras comiques. Guillot de Morfontaine a ainsi l’abattage scénique et le métier très sûr de Rodolphe Briand. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Une distribution bien équilibrée où l’on apprécie […] la présence, enfin, de Rodolphe Briand, diabolique incarnation de Guillot pertinemment présenté comme l’instrument du destin fatal, celui par qui tout commence (la chaise de poste qu’il offre à Manon) et par qui tout finit (la dénonciation) » Gérard Condé – L’Avant-scène Opéra

« Le reste de la distribution, parfaitement homogène, a le mérite de proposer des chanteurs dont l’articulation française et la diction sont irréprochables : […] avec une mention spéciale à Rodolphe Briand qui, en Guillot, donne une véritable leçon de théâtre musical. » Christian Jarniat – Metamag

« Molto positiva anche la prova del baritono Pierre Doyen nei panni di Brétigny e quella del tenore Rodolphe Briand in quelli di Guillot de Morfontaine che nei loro interventi sono stati un’unione di musicalità ed ars scenica. » Simone Tomei – Gli amici della musica

« On ne peut rêver meilleur Guillot de Morfontaine que celui du ténor de caractère Rodolphe Briand » François Jestin – Scènes Magazine

Grand Théâtre de Genève, 2016

« Parfaitement à l’aise sous les traits du vil GuillotRodolphe Briand se montre un formidable serviteur du mélodrame français, pourtant si difficile dans son exigence de justesse de ton. » Jonathan Parisi – Forum Opéra

« Le Guillot de Morfontaine de Rodolphe Briand est infatué et vipérin à souhait, inspirant ainsi toute l’inquiétude et le dégoût que doit susciter ce personnage. »  Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Rodolphe Briand, excellent comédien et ténor à la voix « de caractère », [campe] un Gillot de Morfontaine venimeux. » Bruno Serrou – La Croix

« Vocalement, cette production s’avère d’un très bon niveau (particulièrement dans le choix de chanteurs dominant –pour la majeure partie- l’idiome du français) avec pétillant Rodolphe Briand (Gillot de Morfontaine) […] » Jacques Schmitt – ResMusica

« Rodolphe Briand et Marc Mazuir incarnent respectivement un Gillot de Morfontaine et un Monsieur de Brétigny truculents, hauts en couleur et parfaitement idiomatiques » Claudio Poloni – ConcertoNet

« Parfait d’aigreur et de naturel scénique, Rodolphe Briand incarne un Guillot idéal » Sylvie Bonier – Le Temps 

« Parfait […], à l’instar d’un Rodolphe Briand plus inquiétant que jamais en Guillot. » Richard Martet – Opéra Magazine

Opéra de Marseille, 2015

« Rodolphe Briand caractérise excellemment son Guillot tantôt franchement comique, tantôt réellement menaçant. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

« Rodolphe Briand fait de son Guillot autosatisfait et vindicatif un véritable protagoniste » Maurice Salles – Forum Opéra

« Les seconds rôles masculins et féminins sont presque tous parfaits : […] le ténor Rodolphe Briand en burlesque Guillot de Morfontaine bientôt fou de jalousie » Christine Ducq – La Revue du Spectacle

« Enfin, le Guillot de Morfontaine de Rodolphe Briand s’avère tout aussi crédible tant sur le plan vocal que scénique. » Sébastien Herbecq – Bachtrack

« Une mention particulière pour le ténor Rodolphe Briand — hier Tiberge, aujourd’hui Guillot de Morfontaine — dont le dynamisme vocal et scénique ne cède en rien à l’irréprochable diction : un modèle du genre dont d’autres feraient bien de s’inspirer. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

« Rodolphe Briand fait une composition de Guillot de Morfontaine très réussie. Il incarne avec un beau talent théâtral cet homme qui pense pouvoir tout acheter, aussi viveur que méchant et rancunier.  Sans surjouer, il anime certaines scènes par petites touches. » GBOpera

 

La Vie parisienne – Gardefeu

Opéra de Tours, 2021

« Dans la partie de GardefeuRodolphe Briand fait preuve de son ardeur coutumière, avec son jeu fringant et sa voix bien projetée. Il forme avec le Bobinet de Laurent Deleuil un couple épatant […]. » Emmanuel Andrieu – Classic News

 

 

Falstaff – Bardolfo

Opéra National de Lyon, 2021

« Le Bardolfo de Rodolphe Briand est un serviteur zélé et dévoué comme un animal de compagnie. La voix surgit ainsi, sans avoir peur du jappement et de divers effets vocaux comiques (comme pour ses camarades au plateau) mais de fait avec un appui sûr et un timbre précis. » Charles Arden – Olyrix

Opéra de Monte-Carlo, 2019

“Les deux compères Rodolphe Briand (Bardolfo) et Patrick Bolleire (Pistola) marquent les esprits par leur précision rythmique et leur énergie constante.”Bachtrack

Opéra national de Paris, 2017

« Rodolphe Briand montre qu’il est un habitué des lieux, avec son aisance scénique et sa rondeur vocale. » Charles Arden – Ôlyrix

« Des trois gredins – Cajus, Bardolpho et Pistola – se détachent en volume les ténors de caractère : Graham Clark et Rodolphe Briand, qui interprètera prochainement les quatre valets dans Les Contes d’Hoffmann à Monte-Carlo. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Dans les rôles de Cajus et Bardolfo respectivement, Graham Clark et Rodolphe Briand sont deux ténors de caractère très convaincants. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

Opéra de Monte-Carlo, 2010

« Bardolfo absolument épatant de verve et de santé vocale »

Richard Martet – Opéra Magazine

Opéra du Rhin, 2009

« Rodolphe Briand est aussi bon comédien qu’excellent chanteur et chacune de ses interventions fait mouche. »

Sergio Albertinie – Opéra Magazine

 

 

Les Contes d’Hoffmann – Les Valets / Spalanzani

Opéra National de Paris, 2020

« Les seconds rôles sont tous excellents, citons  l’impeccable Rodolphe Briand en Spalanzani.» Brigitte Maroillat – Forum Opéra

« Le plateau est complété par Rodolphe Briand, Spalanzani de grande tradition comique » José Pons – Olyrix

«L’on doit citer également Rodolphe Briand, Jean-Luc Ballestra, Hyun-Jong Roh et Olivier Ayault qui complètent cette distribution en tous points exemplaire.» Quentin Laurens – WebThéâtre

Opéra de Monte-Carlo, 2018

« De toutes les productions pour ce type de second rôle (Goro dans Madama Butterfly ou Bardolfo dans Falstaff, égal à lui-même pour notre plus grand plaisir, Rodolphe Briand campe de savoureux caractères (Andrès, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio).»
Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

« On ne peut qu’admirer Rodolphe Briand, truculent dans les quatre rôles de valet. »
Claudio Poloni – Concerto.Net

« Rodolphe Briand est excellent dans les quatre valets, comique sans excès, inquiétant dans l’acte de Venise. » Jean-Michel Pennetier – Forum Opéra

«Quatre rôles enfin (décidément une spécificité de cet opéra) pour l’Andrès/Cochenille/Frantz/Pitichinaccio de l’excellent Rodolphe Briand. »
Jean-Luc Clairet – ResMusica

« Comiques parfaits de Rodolphe Briand. » Didier Van Moere – Diapason

« Excellents seconds rôles (…) Rodolphe Briand se montre ainsi impayable dans le quadruple rôle de valets (surtout en Frantz). »
Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Andres, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio sont tenus par le ténor Rodolphe Briand, mime vocal qui sait jubiler de tous ses instruments de scène. »
Florence Lethurgez – Ôlyrix

« Dans une distribution homogène, on distinguera tout particulièrement l’excellent Rodolphe Briand dans les quatre valets »
Christian Jarniat – metamag

« Déjà présent en 2010, Rodolphe Briand demeure épatant dans les quatre “valets” (…) » Richard Martet – Opéra Magazine

Opéra-Théâtre de Metz, 2017

« Rodolphe Briand nous vaut un beau Spalanzani, vocalement et dramatiquement » Yvan Beuvard – Forum Opéra

Opéra National de Paris, 2010

« Rodolphe Briand was a perfectly competent Spalanzani » James Sohre – Opera Today

« On distingue l’amusant et bien chantant Spalanzani de Rodolphe Briand. » Brigitte Cormier – Forum Opera

Théâtre du Capitole de Toulouse, 2008

« On note avec quel doigté Rodolphe Briand donne vie aux quatre personnages comiques » Pierre Cardas – Opera Magazine

« le reste du plateau ne mérite que des éloges. Rodolphe Briand donne tout le relief et le pittoresque désirable aux quatre serviteurs. » Maurice Salles – Forum Opéra

Milano Teatro alla Scala, 2004

« […] Di alto livello il consistente cast dei comprimari… il divertente ed efficace Rodolphe Briand (Andrès, Cochenille, Frantz, Pitichinaccio) » Nicola Salmoiraghi – Opera

« […] Rodolphe Briand canta con molto garbo i couplets di Franz. » Paolo Isotta, -Corriere della sera

 

 

Nozze di Figaro – Curzio

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

” Les belles interventions de Matthieu Lécroart et Rodolphe Briand complètent avantageusement le plateau.” Steeve Boscardin – ResMusica

 

 

Palazetto Bru Zane, 10 years Gala 

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

Rodolphe Briand donne la réplique avec autant de verve que dans « J’viens d’perdr’ mon gibus », chanson délicieusement absurde de Félix Chaudoir.” Laurent Bury – Forum Opera

Rodolphe Briand, dont la voix claire et franche ainsi que  la diction théâtrale sont appréciées” Damien Dutilleul – Olyrix

 

 

Forza del destino – Trabuco

Opéra National de Paris, 2019

Rodolphe Briand interprète Mastro Trabuco avec sa gouaille et son ténor de caractère.” Damien Dutilleul – Olyrix

“Des seconds rôles tous irréprochables, relevons le Trabuco imperturbable de Rodolphe Briand” Christian PeterForum Opera

Opéra National de Paris, 2012

« Rodolphe Briand contributed a memorable turn as Trabuco. »

« Parmi les seconds rôles, Rodolphe Briand mérite une mention pour le relief qu’il donne à Trabuco » Richard Martet – Opéra Magazine

James Sohre – Opera Today

 

 

Turandot – Altoum

Opéra de Marseille, 2019

“Rodolphe Briand parvient à démarquer le personnage d’Altoum des autres rôles de ténors de la partition, sans en faire un empereur falot.” Yannick Boussaert – Forum Opéra

 

 

Barkouf (Offenbach) – Bababeck

Opéra National du Rhin, 2018

« Offenbach a voulu quatre ténors, qui sont ici bien caractérisés : Rodolphe Briand est parfaitement à sa place dans le personnage du vizir, qui exige plus de l’acteur que du chanteur, bien que celui-ci soit loin d’être oublié » Laurent Bury – Forum Opéra

« Dans le rôle du cynique Bababeck, Rodolphe Briand excelle par son théâtre et son aisance comique. Dans les parties chantées, son ténor de caractère est projeté avec franchise et un vibrato assez doux. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Rodolphe Briand est un parfait ténor de caractère et s’impose en Bababeck burlesque et omniprésent. » Michel Thomé – ResMusica

« Ainsi de l’irrésistible abattage comique de Rodolphe Briand (Bababeck) […] ses qualités théâtrales forcent l’admiration. » Florent Coudeyrat – Classique News

 

 

Carmen – Le Remendado

Grand Théâtre de Genève, 2018

« Ivan Thirion et Rodolphe Briand sont de savoureux contrebandiers. » Laurent Bury – Forum Opéra

« On savoure le Dancaïre d’Ivan Thirion, associé à l’amusant Remendado de Rodolphe Briand, dans des dialogues qui sonnent vrai. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

« Les deux brigands forment un duo de corsaires tout de noir vêtus, un Dancaïre (Ivan Thirion) sûr de son rôle et un Remendado (Rodolphe Briand) à l’impeccable articulation. » Charles Arden – Ôlyrix

Venise Teatro la Fenice, 2012

« Le baryton belgo-polonais Francis Dudziak (Le Dancaïre) et le ténor français Rodolphe Briand (Le Remendado), sont d’excellents contrebandiers. » Brigitte Cormier – Forum Opéra

 

Le Chanteur de Mexico – Bilou

Opéra de Lausanne, 2017

« Rodolphe Briand (Bilou) assure une solide assise tant vocalement que théâtralement. » Alan Humerose – ResMusica

«Cartoni l’imprésario et le bon copain malheureux en amour Bilou, campés respectivement par Frédéric Longbois et Rodolphe Briand, convainquent. » Virginie Nussbaum – Le Temps

 

Die Zauberflöte – Monostatos

Sanxay, Théâtre gallo-romain, 2017

« Monostatos convaincant de Rodolphe Briand » Thierry Guyenne – Opéra magazine

« Leather-clad Monostatos was sung by Rodolphe Briand, who gave a tremendous piece of character singing and acting. Fingers wriggling constantly with suppressed lust and glee, Briand wheedled and scuttled to superb effect. » Dominic Lowe – Bachtrack

« Rodolphe Briand seemed to be channelling his inner Mime as the lascivious Monostatos. » Jim Pritchard – Seen and Heard International

 

Madame Chrysanthème (Messager) – Monsieur Kangourou / Charles

Opéra de Marseille, 2016

« Rodolphe Briand, enfin, nourrit de sa verve le cynique Kangourou, le dynamique entrepreneur proxénète. » Maurice Salles – Forum Opéra

 

Madama Butterfly – Goro

Opéra de Marseille, 2016

« Goro, l’entremetteur, est parfaitement incarné par Rodolphe Briand. » Michel Egea – Destimed

« Ce dosage équilibré entre effronterie et servilité, Rodolphe Briand en Goro le réalise avec une maestria légère qui rendrait presque sympathique cet ignoble commerçant. » Maurice Salles – Forum Opéra

 

Werther – Schmidt

Opéra de Paris, 2016

« Paul Gay (le Bailli), Lionel Lhote (Johann) et Rodolphe Briand (Schmidt) enfin partagent le même souci de l’intelligibilité du texte » Antoine Brunetto – Forum Opéra

« Paul Gay (le bailli), Rodolphe Briand (Schmidt) et Lionel Lhote (Johann) servent leurs personnages avec beaucoup de justesse. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

« Les autres protagonistes, le bailli de Paul Gay, les joyeux drilles Rodolphe Briand et Lionel Lhote, font très bien ce qu’ils ont à faire. » Culturebox

« Rodolphe Briand and Lionel Lhote play comic roles Schmidt and Johann without a trace of “drunk acting,” relying solely on the heart and good will of these jovial men. » Simon Parris – Man in Chair

«Les Alsaciens (Rodolphe Briand et Lionel Lhote), le Bailli (Paul Gay) nous font un parfait ensemble de comprimarii. » André Tubeuf – L’Oeil et l’Oreille 

 

Le Portrait de Manon – Tiberge

« Tandis que Rodolphe Briand est hilarant dans le personnage de Tiberge, l’entremetteur, amical et vulgaire. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

 

La Grande Duchesse de Gerolstein – Prince Paul

Grand Théâtre de Genève – 2014

« On mentionnera également l’excellent Prince Paul de Rodolphe Briand. » Claudio Poloni – Concertonet 

« [le] Prince Paul de Rodolphe Briand, qui phrase joliment ses couplets. » Emmanuel Andrieux – Opera Online

« In the small role of Prince Paul, Rodolphe Briand had a nice balance between clarity of words and line. » Antoine Leboyer – Seen and heard international

« on apprécie le ténor français Rodolphe Briand (Le Prince Paul) personnifiant idéalement le type de personnage comique et pathétique de « cocu magnifique » qu’on retrouve dans pratiquement toutes les comédies de cette époque. » Jacques Schmitt, Resmusica

 

Das Rheingold – Mime

Opéra de Monte-Carlo, 2014

« Rodolphe Briand dont c’est la prise de rôle en Mime est un néophyte dans le répertoire wagnérien : son répertoire inattendu va de Serge Reggiani au Roi Pétaud de Leo Delibe. Néanmoins, il semble être depuis longtemps titulaire de ce rôle tant il lui colle à la peau. Sa belle voix, fraîche et éclatante, rajeunit Mime et le rend presque sympathique. » Elisabeth Bouillon – Forumopera

« Excellent Mime de Rodolphe Briand, dans un emploi sortant de son répertoire habituel » Richard Martet – Opér Magazine

« Mime (…) ici particulièrement bien chanté par Rodolphe Briand. » Vincent Guillemin – Anaclase 

 

JJR

Grand Théâtre de Genève, 2012

« On ne peut que saluer les performances du ténor Rodolphe Briand tant dans les nombreux passages parlés que dans les passages chantés d’une voix ample, robuste et dotée d’un timbre clair. » Fabrice Malkani – Forumopera 

« le ténor Rodolphe Briand est parfait de présence et de diction » Christian Wasselin – Opéra Magazine

 

La Belle Hélène – Ménélas

Grand Théâtre de Bordeaux, 2011

« Après tant de ténors à bout de souffle, Ménélas chante, ô miracle, par la voix saine et sonore de Rodolphe Briand. » Diapason



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