Julie Boulianne – Press review

Dialogues des Carmélites – Mère Marie

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2023

« Julie Boulianne campe une Mère Marie moins intransigeante qu’à l’ordinaire, mais la tessiture tendue et les aigus percutants du rôle lui conviennent parfaitement. » José PonsÔlyrix

« La remarquable mezzo-soprano Julie Boulianne, très appréciée en Octavian voici peu à la Monnaie, donne toute l’autorité et la contrition voulues à son personnage de Mère Marie de l’Incarnation » Benedict Hévry – ResMusica

« Julie Boulianne, vocalement armée telle une Donna Anna de l’intransigeance, est également remarquée » Vincent Borel – Concert Classic

« Julie Boulianne apporte elle-aussi un éclairage original sur son personnage : loin de la figure d’autorité marmoréenne qu’est souvent Mère Marie de l’Incarnation, la mezzo québécoise réussit à y mettre une humanité bienveillante grâce à la chaleur de son timbre et à la douceur de ses inflexions. La fin de la scène du parloir gagne grâce à elle en poésie et en tendresse. » Première Loge Opéra

 

Iphigénie en Tauride – rôle-titre

Opéra National de Lorraine, 2023

« De la première à la dernière note (et pour chacune entre les deux), Julie Boulianne déploie dans le rôle-titre un investissement de tragédienne lyrique, marquant et appuyant chaque phrasé d’accents et d’élans surtout projetés vers les résonances aiguës (où les intenses vibrations plafonnant illustrent les aspirations et les souffrances). Ses plongées dans les graves en semblent d’autant plus creusées, tout comme, par contraste (et comme pour tout le reste du plateau), les rares passages consolateurs sont d’autant plus réconfortants qu’ils ne peuvent être présentés que dans une superlative douceur, passagère. » Charles Arden – Olyrix

« Le timbre homogène bien qu’un peu assombri, la belle palette expressive, l’attention au texte de Julie Boulianne servent à merveille une Iphigénie tour à tour dramatique et élégiaque. » Anne Ilbos-Augé – Diapason

« D’Iphigénie, Julie Boulianne a la noblesse d’accent, l’autorité des attaques et une expressivité qui font d’elle une aussi bonne diseuse que chanteuse. Les longs alexandrins du livret coulent naturellement de sa bouche et elle sait jouer de toute une palette d’émotions pour donner différentes couleurs au récit de son rêve (« Cette nuit j’ai revu le palais de mon père »), à son désespoir (« Ô toi qui prolongeas mes jours ») ou à l’introspection de ses tourments (« Ô malheureuse Iphigénie »). Dotée d’un vibrato serré qu’elle contrôle parfaitement, la chanteuse québécoise projette son instrument sans jamais donner le sentiment de forcer ni de produire des décibels inutiles, ce qui confère à sa prestation un naturel qui force l’admiration. » Première loge

« La mezzo québécoise Julie Boulianne entre admirablement dans l’option dramatique de la metteure en scène, d’un bout à l’autre extraordinairement concentrée, et s’avère une interprète idéale pour l’ouvrage de Gluck. Le style et le raffinement de la musicienne, son aisance dans la déclamation, l’incroyable beauté de son chant, dont chaque mesure est habitée avec intensité, font de son Iphigénie une composition inoubliable. » Emmanuel Andrieu – Classiquenews.com

 

Don Giovanni – Donna Elvira

Opéra de Québec, 2022

« Julie Boulianne, en Donna Elvira, a illuminé cette production non seulement par sa voix richement étoffée, mais par son costume d’un rouge étincelant. » Justin Bernard – Myscena

« Coup de cœur pour la mezzo-soprano Julie Boulianne, vocalement et scéniquement très à l’aise en la passionnée et malheureuse Donna Elvira (« Ah! fuggi il traditor! »), trahie mais toujours prête à donner une seconde chance à Don Giovanni. Elle a fait notamment une entrée remarquée avec l’air « Ah, chi mi dice mai » qui exprimait toute sa rage. » Irène Brisson – Revue l’Opéra 

Théâtre des Champs-Elysées, 2016

« Les autres personnages sont tout aussi finement dessinés, remarquablement chantés et bien incarnés, à commencer par la Donna Elvira de Julie Boulianne : la mezzo-soprano québécoise, que l’on n’avait pas revue depuis Le Roi Carotte, d’Offenbach, parvient à rendre crédibles et poignantes les ambivalences de cette amoureuse trahie, déchirée entre haine, amour et pitié. » Sophie Bourdais – Télérama

« La distribution est d’ailleurs le point fort de cette production. Les trois chanteuses sont admirables chacune dans leur timbre et leur caractérisation dramatique, clair et nerveux pour Myrto Papatanasiu (Donna Anna), charnu et déçu pour Julie Boulianne (Donna Elvira), léger et faussement ingénu pour Anna Grevelius (Zerlina). » Guillaume Tion – Libération

« Le trio des masques, impliquant Myrto Papatanasiu (Donna Anna), Julien Behr (Don Ottavio) et Julie Boulianne (Donna Elvira) fait passer un frisson dans le public : les trois voix se marient parfaitement et les interprètes jouent subtilement de leurs nuances individuelles pour atteindre un équilibre parfait.
[…] Enfin, la troisième, souvent travestie pour ses rôles, étale cette fois sa féminité. Grande satisfaction de la soirée, elle se montre très à l’aise dans les vocalises qu’elle projette puissamment. Ses graves sont ardents et sa voix charnue. Son jeu scénique est très convainquant : sa surprise et son désespoir mêlé de honte lorsqu’elle découvre qu’elle s’est jetée dans les bras (et, dans cette mise en scène, dans le lit) de Leporello sont ainsi stupéfiants. De même, elle communique une intense émotion lorsque, dans son air Mi tradi quell’alma ingrata, elle confronte son amour, sa haine et sa pitié pour Don Giovanni, prostrée, les mains jointes au- dessus de la tête. » Damien Dutilleul – Olyrix

« On lui préfère l’Elvira de Julie Boulianne, timbre gorgé de sève qui pourtant ne se répand pas au-delà d’une vocalité digne et jamais en défaut, au diapason d’un jeu tout intérieur et sans outrance. » Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra

« On devine dans la Donna Elvira de la solide Julie Boulianne les prémices de la folie, et ses successifs « Ah ! Chi mi dice mai » et « Mi tradi » disent eux aussi davantage la peur de l’abandon et le désir inassouvi que l’esprit vengeur, et l’éveil par cette fragilité de l’instinct de prédation de Leporello – seule vraie bonne idée de mise en scène. » Suzanne Lay – Bachtrack

« Emouvant « Mi tradi » de Julie Boulianne (Donna Elvira) » Philippe Thanh – La Lettre du Musicien

« En face, la charismatique Julie Boulianne campe une Dona Elvira vivante, puissante, amoureuse délaissée et vengeresse qui chante haut et fort sa révolte. » Yaël – Toute la Culture

« On fait connaissance volontiers avec l’Elvira acérée et tranchante de Julie Boulianne. » André Tubeuf – L’Oeil et l’oreille

« Du côté des dames, le plateau est de haut niveau […] l’Elvira autoritaire de Julie Boulianne. »  Frédéric Norac – Musicologie.org

 

La Damnation de Faust – Marguerite

Festival de Glyndebourne

“The best of the singers is Julie Boulianne, who sings Marguerite with a gleaming, elegant mezzo.” Richard Fairman – Financial Times 

Julie Boulianne’s Marguerite is gloriously sung, her sound replete with grace and power.” Michael Church – Independent

“There was also a lovely performance by mezzo-soprano Julie Boulianne, who transcended the note of caricature elsewhere to show Marguerite as an abused serving wench in Brander’s tavern: she sang ‘D’amour l’ardente flamme’ with passionate conviction.” Rupert Christiansen – The Telegraph

“The real revelation, though, is Boulianne, a distinguished mezzo with a velvety tone and a wonderful way with words. D’Amour l’Ardente Flamme, ravishingly done, is in many ways the evening’s high point.” Tim Ashley – The Guardian

Julie Boulianne captured Marguerite’s youth, beauty and vulnerability in her keenly focused mezzo” Peter Quantrill – The Arts Desk

 

Orchestre du Capitole de Toulouse, San Sebastian, 2014

« Merci Madame Boulianne

(…) Sin la menor duda la sorpresa de la noche fue la espléndida interpretación de la mezzo canadiense Julie Boulianne en la parte de Marguerite. Cantar, dicho así en mayúsculas, es exactamente lo que ella hizo en sus dos intervenciones solistas, la hermosa canción del rey de Thulé y la extraordinaria “D´amour l´ardente flamme”. Pocas cantantes reúnen, de una forma tan sencilla y natural, tal compendio de facultades: una voz pastosa, homogénea, bien cubierta y timbrada, agradable; una emisión dúctil, bien templada; un fraseo estupendo, con exquisita atención al texto, muy sensible. De lejos, ella fue lo más interesante de la velada. » Alejandro Martinez

Festival de Québec, 2013

«  Mais l’artiste qui nous impressionne le plus par la qualité de son timbre, par son jeu et sa sensibilité musicale, c’est la mezzo-soprano Julie Boulianne dans le rôle de Marguerite. Elle nous émeut immensément. On est suspendu dans le temps lors de ses airs et ses duos, entre autres. Cette Québécoise est parmi les meilleures chanteuses de sa génération. » Jacques Leclerc – Info-culture

« La Marguerite incarnée et fébrile de Julie Boulianne constitue le clou de la soirée. Adossée à une muraille de feu, la mezzo livre l’air D’amour, l’ardente flamme d’une voix riche, mais jamais lourde, dans un état d’abandon total. » Richard Boisvert – Le Soleil

« la soirée nous donne d’abord l’occasion d’entendre la première Marguerite de Julie Boulianne, mezzo à la voix parfaitement projetée et aux magnifiques couleurs sombres. Aussi bien dans la chanson gothique (Le Roi de Thulé) que dans son émouvante romance (« D’amour l’ardente flamme »), elle comprend à merveille le langage de Berlioz et traduit toute la richesse intérieure de son personnage. » Louis Bilodeau – Avant-Scène Opéra

La Divisione del mondo

Opéra National du Rhin, 2019

“Figure de douleur s’il en est, la mezzo-soprano Julie Boulianne est Junon, impétueuse et touchante. Perçante dans les aigus de sa hargne envers Jupiter, ses doutes quant à son pouvoir de séduction lui offrent un vibrato exprimant pleinement son angoisse, sa réconciliation avec son mari volage calme des médiums apaisants et une pose régalienne finale, matriarche sûre d’elle”Olyrix

“La mezzo-soprano Julie Boulianne incarne avec sensibilité une Junon qui se voit délaisser par son royal époux”Les Echos

Fauré – Complete songs for voice and piano (CD) 

H. Guilmette, J. Boulianne, A. Figueroa, M. Boucher, O. Godin, 2018 

« C’est aux dames qu’on doit la meilleure part du disque. […] La Tarentelle partagée avec Julie Boulianne ne se prend pas au sérieux, « saute et brille en frétillant ». La mezzo voile les Berceaux d’une superbe mélancolie, captive dans la Chanson d’Eve par sa sensualité plein d’élégance – ah ! ce lent crescendo forte qui porte Roses ardentes ! Et son Jardin clos, à la toute fin du quadruple album, file comme « le rapide éclair d’un rêve ». […] Reste à butiner sur les sites de téléchargement les merveilles que distillent Hélène Guilmette et Julie Boulianne. » François Laurent – Diapason

« On suit l’itinéraire de Fauré pas à pas, des pages mondaines aux cycles suspendus comme des jardins, du salon à l’univers, et l’on entend à mesure l’harmonie se creuser, la mélodie chercher la ligne infinie, la voix se faire archet, le romantisme céder devant un monde nouveau dont Fauré dans son grand âge et par-delà la surdité aura entendu les musiques inouïes. Impossible de détailler les qualités de chacun, mais ces quatre chanteurs soignent autant les vers de Marc Monnier que ceux de Verlaine et font entendre d’abord ce qu’entend le compositeur chez ses poètes. Courez au dernier disque où rayonne le spleenétique quatuor des opus ultimes : la Chanson d’Eve commencée en murmure, les mystères du Jardin Clos selon Julie Boulianne vous accompagneront longtemps, comme les Mirages, rendus à leur tessiture de soprano par Hélène Guilmette. » Jean-Charles Hoffelé – Classica

« Déjà complices d’une précédentes intégrale POULENC (2013), pianiste et chanteurs récidivent au bénéfice des nuances fin de siècles et Belle Époque de Gabriel Fauré.
Au total, 4 chanteurs jouent du dialogue voix et piano avec une décontraction heureuse qui stimule notre écoute pourtant grâce à la maîtrise collective dans l’art d’articuler et de faire chanter les textes et la musique : Hélène Guilmette, Julie Boulianne, Antonio Figueroa, Marc Boucher. Au sein de ce quatuor raffiné, sobre, retenu, mesuré… Chacun offre une perfection chambriste et linguistique qui affirme un nouveau jalon de maîtrise : bon nombre de chanteurs en France devraient s’y ressourcer et pointer chaque élément qui compose une perfection de ciselure française. Voici que le Québec donne le ton et impose une leçon de beau chant français.
L’articulation fusionne avec l’expressivité, l’élégance naturelle avec l’intensité maîtrisée des nuances, la clarté comme la précision, l’intonation comme la projection… tout sonne juste et idéalement conçu. Chaque interprète éclaire de l’intérieur la richesse suggestive du texte, par son grain et la couleur propre de sa voix ; pianiste et chanteur réalisent une combinaison propice à l’explicitation lumineuse des univers poétiques, mélodie par mélodie. » Alban Deags – Classique News

 

Pinocchio – La chanteuse de cabaret, Le mauvais élève

CD, Cypres, 2018

« Quant à Julie Boulianne, au mezzo coloré, elle use de toute sa palette expressive pour nous offrir une chanteuse de cabaret, puis un mauvais élève dont l’influence sur Pinocchio aura de fâcheuses conséquences.» Yvan Beuvard – Forum Opera

Festival d’Aix en Provence, 2017

« Yann Beuron et Julie Boulianne rivalisent, eux aussi, d’implication et de talent. » Cyril Mazin – Opéra Magazine

« Julie Boulianne, chanteuse de cabaret vraiment aussi remarquable en chanteuse de cabaret qu’en mauvais élève. » Guy Cherqui – Wanderer 

« Le mezzo Julie Boulianne brille, quant à elle, sur deux tableaux bien différents, en tant que fille perdue (Chanteuse de cabaret) dans du Dante avec un bon accent allemand et, surtout, de manière encore plus personnelle, dans la peau agitée du très Mauvais élève exemplaire. » François Cavaillès – Anaclase 

« Julie Boulianne passe sans accroc de la vamp au mauvais garçon.» Philippe Venturini – LesEchos.fr

« Deuxième mezzo-soprano de la distribution Julie Boulianne endosse le rôle du mauvais élève avec malice et celui de la chanteuse de cabaret avec sensualité. Difficile de croire qu’il s’agit de la même interprète ! » Elodie Martinez – Opera Online 

« Julie Boulianne se partage avec talent entre la Chanteuse de cabaret et le Mauvais élève » Alain Cochard – Concert Classic

« La mezzo-soprano québécoise Julie Boulianne accomplit deux rôles typés et contrastés, celui d’une Chanteuse d’un cabaret déliquescent et celui du Mauvais élève. Elle a dans le jeu et l’expression vocale, la gouaille de deux figures du peuple, qui prennent langue avec la troupe des musiciens de scène. » Florence Lethurgez – Olyrix

« Julie Boulianne passe sans mal de la chanteuse de cabaret visiblement ivre au cancre tentateur. » Laurent Bury – Forum Opera

« Julie Boulianne singt und tanzt die Kabarettsängerin und den bösen Schuljungen mit Präsenz. » Georg Rudiger – Die deutsche Bühne 

Théâtre royal de la Monnaie, 2017

« As a cabaret singer and a bad student, Julie Boulianne revealed a multihued, complex mezzo. » Corinna da Fonseca-Wollheim – New York Times

Werther – Charlotte

Oper Frankfurt, 2017

«Canadian mezzo-soprano Julie Boulianne’s plummy tones and impeccable French made her a memorable Charlotte. The Letter Scene was a tour-de-force, Boulianne using a palette of varied hues.» Leonard Turnevicius – OperaCanada

«Non meno convincente era la Charlotte di Julie Boulianne, disegnata con tratti di pudica introversione espressa attraverso una linea di canto limpida e caldo timbro vocale.» Stefano Nardelli – Giornale della musica.it

«Die Mezzosopranistin Julie Boulianne war als Charlotte ebenfalls den lyrischen und dramatischen Anforderungen der Rolle bestens gewachsen.» Von Markus Kuhn – Frankfurter Neue Presse

 

La Cenerentola – Title role 

Opéra de Montréal, 2017

« Julie Boulianne « Cenerentola », cette talentueuse mezzo-soprano, ex-membre de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Montréal, incarne une ravissante Cendrillon vocalement à l’aise et théâtralement crédible. Elle persiste sur la voie du professionnalisme auquel elle nous a d’ores et déjà habitués. » Daniel Raymond – atuvu.ca

« Tous les solistes ont effectivement brillé, mais s’il faut donner des palmes, dans l’ordre décroissant, remettons-les à Julie Boulianne, Vito Priante et Juan José de León. » Martin Prévost – Pieuvre. Ca

« Familière du rôle-titre, Julie Boulianne est une belle interprète d’Angelina, au superbe timbre sombre (…) convaincante dans l’expression de la résignation » Louis Bilodeau – L’Avant-Scène Opéra

« Angelina – c’est le prénom de Cendrillon dans l’opéra de Rossini (…) est interprétée par la mezzo Julie Boulianne qui, dotée de la voix parfaite pour ce rôle, nous éblouit, comme d’habitude, par son velouté et sa virtuosité. » Caroline Rodgers – Ludwig Van Montréal

« For her part, Julie Boulianne projected the genuine kindness and humility required for the large-hearted Cinderella, evading the all-too-easy trap of making her a simpering goody-two shoes. » Sandra d’Angelo – Montreal Theatre Hub

Glimmerglass, 2009

« But it’s French-Canadian mezzo-soprano Boulianne who is the one to watch – Rossini’s endless coloratura is a killer, yet she rips through ornamentation like a carving knife. Her voice has both sweetness and bite, with hints of darker and deeper notes to come, all boding well for meatier roles down the line. » Paula Citron – Toronto Globe and Mail

Florida Grand Opera, 2009

« Boulianne’s refined and elegant vocalism suited the put-upon Cinderella. Boulianne brought a touching intimacy to her opening aria ‘Una volta c’era un re’ and displayed facility with the coloratura bravura of the concluding ‘Non più mesta.’ Physically, the petite mezzo looked the part completely, with a waifish, vulnerable presence that underlined Cinderella‘s melancholy. She later assumed the throne with quiet, self-possessed dignity. » Lawrence A. Johnson – The Miami Herald

Aspen Opera Theater, 2008

« The one compelling reason to see ‘La Cenerentola,’ the Aspen Opera Theater Center’s first offering of the summer, is the mezzo-soprano singing the title role. Beg, borrow or steal to get a ticket for Julie Boulianne’s final performance. She is the real deal… she sailed through her moments, big and small, and created a character sweet and innocent enough to justify the subtitle Rossini and his librettist, Jacopo Ferretti, appended to this very Italian version of the Cinderella story: ‘Or Goodness Triumphant.’ Boulianne has the presence to command the stage without histrionics, often by standing there with a gentle smile. She opens her mouth and the sound comes out unforced, ‘Nacqui all’affano’ in the final act. In interacting with the other singers, she seems a model of generous attention and consistently conjures up a feeling of reality. (…) Aspen is fortunate to be hearing her at this stage of her career, much as audiences might remember fondly the likes of Renée Fleming and Susanne Mentzer when they sang here before becoming stars. » Harvey Steiman – Aspen Times

Barbier de Séville – Rosina

Opéra de Québec, 2017

« La mezzo Julie Boulianne joue une Rosina intelligente, comique et vive et utilise sa voix pleine et souple tant pour exprimer les émotions les plus franches que pour appuyer des intonations comiques.  » Josianne Desloges – Le Soleil

« Julie Boulianne accomplit, alliant habilement douceur et puissance, toutes les pirouettes vocales associées au rôle de Rosina. » Yves Leclerc – Journal de Québec

Opéra de Montréal, 2008

« La sémillante Rosina de la mezzo-soprano Julie Boulianne tient son rôle à la perfection. Nul besoin chez elle d’abuser d’artifice pour séduire un Lindoro conquis d’avance. Elle a dans son trousseau, – ou apporte dans sa dot – l’abattage, la rondeur de la voix, la couleur, l’art de l’ornementation qu’exige le rôle rossinien. » Jacques Hétu – Resmusica

 

Don Giovanni – Donna Elvira

Théâtre des Champs-Elysées, 2016

« Les autres personnages sont tout aussi finement dessinés, remarquablement chantés et bien incarnés, à commencer par la Donna Elvira de Julie Boulianne : la mezzo-soprano québécoise, que l’on n’avait pas revue depuis Le Roi Carotte, d’Offenbach, parvient à rendre crédibles et poignantes les ambivalences de cette amoureuse trahie, déchirée entre haine, amour et pitié. » Sophie Bourdais – Télérama

« La distribution est d’ailleurs le point fort de cette production. Les trois chanteuses sont admirables chacune dans leur timbre et leur caractérisation dramatique, clair et nerveux pour Myrto Papatanasiu (Donna Anna), charnu et déçu pour Julie Boulianne (Donna Elvira), léger et faussement ingénu pour Anna Grevelius (Zerlina). » Guillaume Tion – Libération

« Le trio des masques, impliquant Myrto Papatanasiu (Donna Anna), Julien Behr (Don Ottavio) et Julie Boulianne (Donna Elvira) fait passer un frisson dans le public : les trois voix se marient parfaitement et les interprètes jouent subtilement de leurs nuances individuelles pour atteindre un équilibre parfait.
[…] Enfin, la troisième, souvent travestie pour ses rôles, étale cette fois sa féminité. Grande satisfaction de la soirée, elle se montre très à l’aise dans les vocalises qu’elle projette puissamment. Ses graves sont ardents et sa voix charnue. Son jeu scénique est très convainquant : sa surprise et son désespoir mêlé de honte lorsqu’elle découvre qu’elle s’est jetée dans les bras (et, dans cette mise en scène, dans le lit) de Leporello sont ainsi stupéfiants. De même, elle communique une intense émotion lorsque, dans son air Mi tradi quell’alma ingrata, elle confronte son amour, sa haine et sa pitié pour Don Giovanni, prostrée, les mains jointes au- dessus de la tête. » Damien Dutilleul – Olyrix

« On lui préfère l’Elvira de Julie Boulianne, timbre gorgé de sève qui pourtant ne se répand pas au-delà d’une vocalité digne et jamais en défaut, au diapason d’un jeu tout intérieur et sans outrance. » Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra

« On devine dans la Donna Elvira de la solide Julie Boulianne les prémices de la folie, et ses successifs « Ah ! Chi mi dice mai » et « Mi tradi » disent eux aussi davantage la peur de l’abandon et le désir inassouvi que l’esprit vengeur, et l’éveil par cette fragilité de l’instinct de prédation de Leporello – seule vraie bonne idée de mise en scène. » Suzanne Lay – Bachtrack

« Emouvant « Mi tradi » de Julie Boulianne (Donna Elvira) » Philippe Thanh – La Lettre du Musicien

« En face, la charismatique Julie Boulianne campe une Dona Elvira vivante, puissante, amoureuse délaissée et vengeresse qui chante haut et fort sa révolte. » Yaël – Toute la Culture

« On fait connaissance volontiers avec l’Elvira acérée et tranchante de Julie Boulianne. » André Tubeuf – L’Oeil et l’oreille

« Du côté des dames, le plateau est de haut niveau […] l’Elvira autoritaire de Julie Boulianne. »  Frédéric Norac – Musicologie.org

 

Béatrice et Bénédict – Béatrice

Théâtre du Capitole, Toulouse, 2016

« Avec son incarnation de Béatrice, la mezzo québecoise Julie Boulianne – lumineuse Mallika en Avignon en mars dernier – est la triomphatrice de la soirée. Son beau mezzo ample et capiteux, son tempérament fougueux et sa sensualité exacerbée font notamment merveille dans son redoutable air du second acte, «  Il m’en souvient », qu’elle chante avec autant d’intelligence que de nuances. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online 

« C’est la mezzo-soprano québécoise Julie Boulianne qui s’empare sur notre scène du personnage fort en caractère de Béatrice. Elle le fait avec le phrasé indispensable dans un tel répertoire, un excellent français et toute la malignité de cette héroïne amoureuse contre son gré. » Robert Penavayre – Classic Toulouse

« Et en premier lieu la remarquable Béatrice de Julie Boulianne, onctueuse de timbre et au fort tempérament, qui revêt d’une troublante mélancolie sa participation au sublime duo avec Ursule « Nuit paisible et sereine », ensorcelle pendant le trio « Je vais d’un cœur aimant » et s’empare avec élégance et style de l’air chaotique, mais merveilleux « Dieu que viens-je d’entendre », à l’écriture typiquement berliozienne. » François Lesueur –  Concert Classic

 

Roméo et Juliette (Berlioz)

Orchestre National du Capitole de Toulouse, 2016

« La mezzo-soprano québécoise Julie Boulianne est absolument parfaite. Voix au timbre profond mais sans vibrato large, jeunesse de couleur, et diction fluide permettent d’adhérer à son empathie pour les héros. Son souffle long et ses phrasés admirablement élégants sont d’un idéal de chant français trop peu souvent atteint.
 » Hubert Stoecklin, Classiquenews.com

« Les premières interventions de la « contralto solo », ainsi que la nomme Berlioz, révèlent la beauté vocale et le sens de la prosodie de la mezzo-soprano québécoise Julie Boulianne. » Serge Chauzy, Classictoulouse.com

 

Orchestre Révolutionnaire et Romantique – Festival Berlioz, 2016

« La prononciation française est exemplaire, à l’aune de celle d’un trio de solistes judicieusement élus : Julie Boulianne énonce la mélancolie prégnante des premières amours avec le velouté sobre d’une voix sans effets. » Jean-Luc Clairet, Resmusica

 

Orchestre Révolutionnaire et Romantique – BBC Prom’s, 2016

« Mezzo-soprano Julie Boulianne brought star-quality to her Act 1 narration with the semi-chorus: her rich voice had real presence and weight in the Hall, even in the most intimate and understated melodic gestures, and the long vocal lines unwound compellingly. » Claire Seymour, Opera Today

« The way French-Canadian mezzo Julie Boulianne set the scene for Berlioz’s Romeo and Juliet in a long and hugely demanding solo was even more remarkable: I have never heard a more ravishing vocal command of the Albert Hall’s problematic acoustic. » Michael Church, The Independant

« The three French-speaking soloists — Julie Boulianne, Jean-Paul Fouchécourt and Laurent Naouri — had the style at their fingertips. » Richard Fairman, The Financial Times

« Boulianne and Fouchécourt were nigh-on perfect in their all-too-short solos but were involved in all the semi-chorus’s contributions. » Nick Breckenfield, Classical Source

« And better still last night was Julie Boulianne, knocking spots off any of the voices on display in Glyndebourne’s underwhelming current production of Berlioz’s Béatrice et Bénédict. » David Nice, The arts desk

 

Lakmé – Mallika

Opéra Grand-Avignon, 2016

« La mezzo québécoise Julie Boulianne incarne une touchante Mallika, qui respecte toutes les règles du style français, cet art de la finesse et de la délicatesse. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Appréciée, aussi, la Mallika de Julie Boulianne, très présente dans le duo des fleurs. » Michel Egea – Destimed

« Julie Boulianne fait une Mallika splendide dans chacune de ses interventions, notamment dans le Duo des fleurs tant attendu où l’harmonie avec Sabine Devieilhe donne une leçon d’homogénéité et de justesse. » Elodie Martinez – Toute la Culture

« Le personnage de Mallika bénéficie de l’interprétation nuancée de Julie Boulianne, remarquable en particulier dans le duetto du premier acte. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Une belle distribution honore les seconds rôles : Julie Boulianne en Mallika » Charlotte Saintoin – Ôlyrix

 

L’Etoile – Aloès

Royal Opera House, Covent Garden, 2015

« Boulianne and Aimery Lefèvre’s Tapioca look and sound good together. » Tim Ashley – The Guardian

« There is a fine quartet of French-speaking singers (Hélène Guilmette, Julie Boulianne, Francois Piolino and Aimery Lefèvre) in leading roles. » Barry Millington – The Standard

« Julie Boulianne as her friend Aloès, sing with great charm and a splendid sense of idiom. » Mark Valencia – What’s on stage

« Julie Boulianne makes a strong impression as Aloès » Stephen Jay-Taylor – Opera Britannia

 

Amsterdam DNO, 2014

« I particularly liked Julie Boulianne’s rich-voiced Aloès. » Nicolas Nguyen – Bachtrack

« L’Aloès de Julie Boulianne [est] digne d’éloge, tant comme act[rice] que comme chanteu[se]. » Nicolas Blanmont – Opéra Magazine

 

Le Roi Carotte (Offenbach) – Robin-Luron

Opéra national de Lyon, 2015

« Robin-Luron, génie dont les facéties tombent sans un pli sur le joli mezzo de Julie Boulianne » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

«  Avec ses allures canailles, inspirées sans doute de Riquet à la houppe et de Bibi Fricotin, Julie Boulianne traduit plutôt bien le dynamisme de Robin-Luron » Pierre Cadars – Opéra Magazine

« Le bon génie Robin-Luron, interprété par Julie Boulianne, est également d’une grande fraîcheur, on ne peut qu’apprécier la chaleur de ses médiums et la subtilité de ses vibratos (en particulier dans son air de présentation). » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Le « bon » génie Robin-Luron est remarquablement interprété par Julie Boulianne, croquée en personnage de bande dessinée par le crayon de Laurent Pelly. » David Verdier – Resmusica

« La mezzo-soprano Julie Boulianne est un Robin-Luron bondissant, à la voix claire et souple, rendant pleinement justice à l’allusion au Puck du Songe d’une nuit d’été (nommé aussi Robin Goodfellow) » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« In der Hosenrolle des Genies Robin-Luron, seines unermüdlichen guten Geists Julie Boulianne » Sabine Weber – Die deutsche Bühne
Dans le rôle en pantalon du génie Robin-Luron, Julie Boulianne est un bon esprit infatigable.

« Les voix féminines ne déméritent en rien, faisant preuve d’abattage ou d’aisance, que ce soit la rouée Cunégonde d’Antoinette Dennefeld […] ou le déluré Robin-Luron de Julie Boulianne. » Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, Lyon-Newsletter

« N’oublions pas Julie Boulianne, Robin-Luron, bon génie plein d’aplomb » Philippe Venturini – Les Echos

« Es ist auch einem erstklassigen Sängerensemble zu verdanken, in dem Julie Boulianne als Robin überzeugt » Dieter David Scholtz – Neue Musikzeitung
Il faut aussi remercier des chanteurs de première classe, parmi lesquels Julie Boulianne convainc dans le rôle de Robin.

« Les interprètes des rôles principaux sont à la hauteur de cette direction tonique. Julie Boulianne (Robin-Luron) [a] particulièrement investi [son] personnage » Franck Giroud – Culturebox

« La distribution réunie (Beuron, Mortagne, Boulianne, Dennefeld) est impeccable et, comme il se doit, entièrement francophone. » Nicolas Blanmont – La Libre

« Die kanadische Mezzosopranistin Julie Boulianne gab burschikos und mit schönem Timbre einen kecken Robin-Luron. » Walter Nowotny – Online Merker
La mezzosoprano canadienne Julie Boulianne compose par sa désinvolture et son joli timbre, un Robin-Luron insolent.

« Julie Boulianne en vraie Dugazon fait de Robin-Luron un personnage juvénile, Niklausse avant l’heure. » Didier Roumilhac – Opérette

 

L’Heure espagnole – Concepciòn

Orchestre national des Pays de la Loire, Nantes, 2015

« La Concepcion de la mezzo-soprano canadienne Julie Boulianne, quel superbe timbre et quelle facilité ! » José Pons – Opéra Magazine

 

La Clemenza di Tito – Annio

Paris Théâtre des Champs-Elysées, 2014

« Julie Boulianne impressionnante d’autorité en Annius » André Tubeuf

 

I Capuleti e i Montecchi – Romeo

Opéra de Reims, 2013

« Julie Boulianne, parfaite dans son rôle travesti, agile dans la cabalette « La tremenda ultrice spada », ahurissante d’aigus assénés en réponse à ceux de la soprano. Julie Boulianne émeut par son incarnation du héros. Du premier tableau à la scène du tombeau, ce Romeo bouleverse. Le duo final et la mort de Giuletta offrent des moments que n’oubliera pas un public de très jeunes spectateurs. » Patrice Henriot, Opéra Magazine

 

L’Enfant et les Sortilèges – L’Enfant

Boston Symphony, 2012

« mezzo Julie Boulianne was outstanding as the Child » Mark DeVoto

 

Les Brigands – Fragoletto

Opéra Comique, 2011

« Le timbre fluté de mezzo et le jeu coquin de Julie Boulianne, en Fragoletto, compose un savoureux gamin amoureux » Caroline Alexander – Webthea

« Mezzo aux sombres rondeurs, Julie Boulianne assume jusqu’à l’ambiguïté le travesti de Fragoletto, trépidant lutin prêt à toutes les truanderies pour les yeux de la belle Fiorella. » Mehdi Mahdavi –  Altamusica

 

Cendrillon

Opéra de Marseille, 2010

«  Singing is solid in Marseille, and this Cendrillon was no exception. Canadian born, Juilliard trained mezzo soprano Julie Boulianne was Lucette, her beautifully even, bronze-hued tone was easy to imagine as the ideal singing voice of the regal Grace Kelly, plus she possesses a fine upper extension able to project Massenet’s very occasional sentimental exuberance. » Michael Milenski – Opera Today

 

Tolomeo – Elisa

Glimmerglass, 2010

« La  Boulianne, in particolare,  canta e recita con grande disinvoltura. La sua voce, dotata di un centro corposo, sicura e brillante  nel registro acuto, agguerrita nelle agilità e in grado di cantare con la medesima  intensità ed espressività sia nelle arie più liriche come  in quelle più scopertamente virtuosostiche. Una cantante perfettamente adeguata alla vocalità del ruolo. » Paula Citron – GB Opera

« In terms of memorable characters not likely to be forgotten for some time, Julie Boulianne, the darling of last year’s successful Glimmerglass Opera production of La Cenerentola, came awfully close to stealing the show.

Boulianne, whose outfit curiously resembled the “Red Queen” character (played by Helena Bonham Carter) in the film Alice in Wonderland, was the only character among the five to play her part in a completely comedic vein — reconstructing the pernicious femme fatale of Handel’s Elisa into something that resembles a spoiled, impatient club-hopping party girl. The transformation, whether orchestrated by Rader-Shieber or Boulianne herself, was in harmony with the satirical direction of this production.

Although Handel designed this part specifically for a soprano, Boulianne’s mezzo-soprano is sufficiently flexible and malleable to suit the part. Still, the darker timbre of her voice clearly sets her apart from the “other soprano” role of Seleuce, putting aside any parallels to the legendary Cuzzoni-Bordoni feud.

Boulianne’s consistently well-executed ornamental passages throughout her many arias suggests a level of comfort with early 18th-century music. She performed the rapid ornamentations in the first-act Se talor miri un fior with grace, polish and poise, and navigated the trills and 16th-note passagework of the second-act Quanto è felice quell’augelletto with elegance and élan. I especially enjoyed her delivery of the heavily dotted-rhythms of her third-act aria of vengeance, Voglio amore o pur vendetta, which I feel was the singular most impressive vocal effort in this production. She also provided effortless tossing of the coloratura embellishments in the aria Ti pentirai, crudel that followed. » www.cnycafemomus.com

« I liked Julie Boulianne in last year’s Cenerentola but nothing about that performance prepared me for the brilliance of her Elisa. Ms. Boulianne (…) caught fire and lavished us with sizzling vocal pyrotechnics all night. Moreover, she displayed a fiery and comically savvy stage presence throughout, greatly assisted by a wonderfully daffy costume — part tutu, part vamp, all Lady Gaga — from the talented costume designer Andrea Hood. » James Sohre – Opera Today

 



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