Julie Boulianne – Revue de presse

Dialogues des CarmĂ©lites – MĂšre Marie

Opéra royal de Wallonie-LiÚge, 2023

« Julie Boulianne campe une MĂšre Marie moins intransigeante qu’à l’ordinaire, mais la tessiture tendue et les aigus percutants du rĂŽle lui conviennent parfaitement. » JosĂ© PonsÔlyrix

« La remarquable mezzo-soprano Julie Boulianne, trĂšs apprĂ©ciĂ©e en Octavian voici peu Ă  la Monnaie, donne toute l’autoritĂ© et la contrition voulues Ă  son personnage de MĂšre Marie de l’Incarnation » Benedict HĂ©vry – ResMusica

« Julie Boulianne, vocalement armĂ©e telle une Donna Anna de l’intransigeance, est Ă©galement remarquĂ©e » Vincent Borel – Concert Classic

« Julie Boulianne apporte elle-aussi un Ă©clairage original sur son personnage : loin de la figure d’autoritĂ© marmorĂ©enne qu’est souvent MĂšre Marie de l’Incarnation, la mezzo quĂ©bĂ©coise rĂ©ussit Ă  y mettre une humanitĂ© bienveillante grĂące Ă  la chaleur de son timbre et Ă  la douceur de ses inflexions. La fin de la scĂšne du parloir gagne grĂące Ă  elle en poĂ©sie et en tendresse. » PremiĂšre Loge OpĂ©ra

 

IphigĂ©nie en Tauride – rĂŽle-titre

Opéra National de Lorraine, 2023

« De la premiĂšre Ă  la derniĂšre note (et pour chacune entre les deux), Julie Boulianne dĂ©ploie dans le rĂŽle-titre un investissement de tragĂ©dienne lyrique, marquant et appuyant chaque phrasĂ© d’accents et d’Ă©lans surtout projetĂ©s vers les rĂ©sonances aiguĂ«s (oĂč les intenses vibrations plafonnant illustrent les aspirations et les souffrances). Ses plongĂ©es dans les graves en semblent d’autant plus creusĂ©es, tout comme, par contraste (et comme pour tout le reste du plateau), les rares passages consolateurs sont d’autant plus rĂ©confortants qu’ils ne peuvent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s que dans une superlative douceur, passagĂšre. » Charles Arden – Olyrix

« Le timbre homogĂšne bien qu’un peu assombri, la belle palette expressive, l’attention au texte de Julie Boulianne servent Ă  merveille une IphigĂ©nie tour Ă  tour dramatique et Ă©lĂ©giaque. » Anne Ilbos-AugĂ© – Diapason

« D’IphigĂ©nie, Julie Boulianne a la noblesse d’accent, l’autoritĂ© des attaques et une expressivitĂ© qui font d’elle une aussi bonne diseuse que chanteuse. Les longs alexandrins du livret coulent naturellement de sa bouche et elle sait jouer de toute une palette d’émotions pour donner diffĂ©rentes couleurs au rĂ©cit de son rĂȘve (« Cette nuit j’ai revu le palais de mon pĂšre »), Ă  son dĂ©sespoir (« Ô toi qui prolongeas mes jours ») ou Ă  l’introspection de ses tourments (« Ô malheureuse IphigĂ©nie »). DotĂ©e d’un vibrato serrĂ© qu’elle contrĂŽle parfaitement, la chanteuse quĂ©bĂ©coise projette son instrument sans jamais donner le sentiment de forcer ni de produire des dĂ©cibels inutiles, ce qui confĂšre Ă  sa prestation un naturel qui force l’admiration. » PremiĂšre loge

« La mezzo quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne entre admirablement dans l’option dramatique de la metteure en scĂšne, d’un bout Ă  l’autre extraordinairement concentrĂ©e, et s’avĂšre une interprĂšte idĂ©ale pour l’ouvrage de Gluck. Le style et le raffinement de la musicienne, son aisance dans la dĂ©clamation, l’incroyable beautĂ© de son chant, dont chaque mesure est habitĂ©e avec intensitĂ©, font de son IphigĂ©nie une composition inoubliable. » Emmanuel Andrieu – Classiquenews.com

 

Der Rosenkavalier – Oktavian

Théùtre royal de la Monnaie, 2022

La mezzo-soprano quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne, connue surtout jusqu’à prĂ©sent pour ses incarnations dans les rĂ©pertoires mozartien, rossinien ou romantique français, aborde pour la premiĂšre fois Richard Strauss Ă  la scĂšne avec cette prise de rĂŽle en Octavian. Elle appelle quelques de rĂ©serves. Sans doute davantage gĂȘnĂ©e que sa partenaire par la mise en scĂšne la plaçant souvent en retrait, et assez loin de la fosse d’orchestre et de la salle, elle compense un relatif manque de puissance par un vibrato un rien envahissant. Mais par son timbre chaud, par son sens innĂ© de la comĂ©die – par exemple au fil de ses apparitions dĂ©guisĂ©es en Mariandel sĂ©duisant puis roulant dans la farine le baron Ochs – elle travestit avec beaucoup de conviction et de thĂ©ĂątralitĂ© sa voix. » BĂ©nĂ©dicte HĂ©vry – ResMusica

 

Don Giovanni – Donna Elvira

Opéra de Québec, 2022

« Julie Boulianne, en Donna Elvira, a illuminĂ© cette production non seulement par sa voix richement Ă©toffĂ©e, mais par son costume d’un rouge Ă©tincelant. » Justin Bernard – Myscena

« Coup de cƓur pour la mezzo-soprano Julie Boulianne, vocalement et scĂ©niquement trĂšs Ă  l’aise en la passionnĂ©e et malheureuse Donna Elvira (« Ah! fuggi il traditor! »), trahie mais toujours prĂȘte Ă  donner une seconde chance Ă  Don Giovanni. Elle a fait notamment une entrĂ©e remarquĂ©e avec l’air « Ah, chi mi dice mai » qui exprimait toute sa rage. » IrĂšne Brisson – Revue l’OpĂ©ra 

Théùtre des Champs-Elysées, 2016

« Les autres personnages sont tout aussi finement dessinĂ©s, remarquablement chantĂ©s et bien incarnĂ©s, Ă  commencer par la Donna Elvira de Julie Boulianne : la mezzo-soprano quĂ©bĂ©coise, que l’on n’avait pas revue depuis Le Roi Carotte, d’Offenbach, parvient Ă  rendre crĂ©dibles et poignantes les ambivalences de cette amoureuse trahie, dĂ©chirĂ©e entre haine, amour et pitiĂ©. » Sophie Bourdais – TĂ©lĂ©rama

« La distribution est d’ailleurs le point fort de cette production. Les trois chanteuses sont admirables chacune dans leur timbre et leur caractĂ©risation dramatique, clair et nerveux pour Myrto Papatanasiu (Donna Anna), charnu et déçu pour Julie Boulianne (Donna Elvira), lĂ©ger et faussement ingĂ©nu pour Anna Grevelius (Zerlina). » Guillaume Tion – LibĂ©ration

« Le trio des masques, impliquant Myrto Papatanasiu (Donna Anna), Julien Behr (Don Ottavio) et Julie Boulianne (Donna Elvira) fait passer un frisson dans le public : les trois voix se marient parfaitement et les interprÚtes jouent subtilement de leurs nuances individuelles pour atteindre un équilibre parfait.
[…] Enfin, la troisiĂšme, souvent travestie pour ses rĂŽles, Ă©tale cette fois sa fĂ©minitĂ©. Grande satisfaction de la soirĂ©e, elle se montre trĂšs Ă  l’aise dans les vocalises qu’elle projette puissamment. Ses graves sont ardents et sa voix charnue. Son jeu scĂ©nique est trĂšs convainquant : sa surprise et son dĂ©sespoir mĂȘlĂ© de honte lorsqu’elle dĂ©couvre qu’elle s’est jetĂ©e dans les bras (et, dans cette mise en scĂšne, dans le lit) de Leporello sont ainsi stupĂ©fiants. De mĂȘme, elle communique une intense Ă©motion lorsque, dans son air Mi tradi quell’alma ingrata, elle confronte son amour, sa haine et sa pitiĂ© pour Don Giovanni, prostrĂ©e, les mains jointes au- dessus de la tĂȘte. » Damien Dutilleul – Olyrix

« On lui prĂ©fĂšre l’Elvira de Julie Boulianne, timbre gorgĂ© de sĂšve qui pourtant ne se rĂ©pand pas au-delĂ  d’une vocalitĂ© digne et jamais en dĂ©faut, au diapason d’un jeu tout intĂ©rieur et sans outrance. » Chantal Cazaux – L’Avant-ScĂšne OpĂ©ra

« On devine dans la Donna Elvira de la solide Julie Boulianne les prĂ©mices de la folie, et ses successifs « Ah ! Chi mi dice mai » et « Mi tradi » disent eux aussi davantage la peur de l’abandon et le dĂ©sir inassouvi que l’esprit vengeur, et l’éveil par cette fragilitĂ© de l’instinct de prĂ©dation de Leporello – seule vraie bonne idĂ©e de mise en scĂšne. » Suzanne Lay – Bachtrack

« Emouvant « Mi tradi » de Julie Boulianne (Donna Elvira) » Philippe Thanh – La Lettre du Musicien

« En face, la charismatique Julie Boulianne campe une Dona Elvira vivante, puissante, amoureuse dĂ©laissĂ©e et vengeresse qui chante haut et fort sa rĂ©volte. » YaĂ«l – Toute la Culture

« On fait connaissance volontiers avec l’Elvira acĂ©rĂ©e et tranchante de Julie Boulianne. » AndrĂ© Tubeuf – L’Oeil et l’oreille

« Du cĂŽtĂ© des dames, le plateau est de haut niveau […] l’Elvira autoritaire de Julie Boulianne. »  FrĂ©dĂ©ric Norac – Musicologie.org

 

La Damnation de Faust – Marguerite

Festival de Glyndebourne

« The best of the singers is Julie Boulianne, who sings Marguerite with a gleaming, elegant mezzo. » Richard Fairman – Financial Times 

« Julie Boulianne’s Marguerite is gloriously sung, her sound replete with grace and power. » Michael Church – Independent

« There was also a lovely performance by mezzo-soprano Julie Boulianne, who transcended the note of caricature elsewhere to show Marguerite as an abused serving wench in Brander’s tavern: she sang ‘D’amour l’ardente flamme’ with passionate conviction. » Rupert Christiansen – The Telegraph

« The real revelation, though, is Boulianne, a distinguished mezzo with a velvety tone and a wonderful way with words. D’Amour l’Ardente Flamme, ravishingly done, is in many ways the evening’s high point. » Tim Ashley – The Guardian

« Julie Boulianne captured Marguerite’s youth, beauty and vulnerability in her keenly focused mezzo » Peter Quantrill – The Arts Desk

Orchestre du Capitole de Toulouse, San Sebastian, 2014

« Merci Madame Boulianne »

(…) Sin la menor duda la sorpresa de la noche fue la esplĂ©ndida interpretaciĂłn de la mezzo canadiense Julie Boulianne en la parte de Marguerite. Cantar, dicho asĂ­ en mayĂșsculas, es exactamente lo que ella hizo en sus dos intervenciones solistas, la hermosa canciĂłn del rey de ThulĂ© y la extraordinaria “DÂŽamour lÂŽardente flamme”. Pocas cantantes reĂșnen, de una forma tan sencilla y natural, tal compendio de facultades: una voz pastosa, homogĂ©nea, bien cubierta y timbrada, agradable; una emisiĂłn dĂșctil, bien templada; un fraseo estupendo, con exquisita atenciĂłn al texto, muy sensible. De lejos, ella fue lo mĂĄs interesante de la velada. » Alejandro Martinez

Festival de Québec, 2013

«  Mais l’artiste qui nous impressionne le plus par la qualitĂ© de son timbre, par son jeu et sa sensibilitĂ© musicale, c’est la mezzo-soprano Julie Boulianne dans le rĂŽle de Marguerite. Elle nous Ă©meut immensĂ©ment. On est suspendu dans le temps lors de ses airs et ses duos, entre autres. Cette QuĂ©bĂ©coise est parmi les meilleures chanteuses de sa gĂ©nĂ©ration. » Jacques Leclerc – Info-culture

« La Marguerite incarnĂ©e et fĂ©brile de Julie Boulianne constitue le clou de la soirĂ©e. AdossĂ©e Ă  une muraille de feu, la mezzo livre l’air D’amour, l’ardente flamme d’une voix riche, mais jamais lourde, dans un Ă©tat d’abandon total. » Richard Boisvert – Le Soleil

« la soirĂ©e nous donne d’abord l’occasion d’entendre la premiĂšre Marguerite de Julie Boulianne, mezzo Ă  la voix parfaitement projetĂ©e et aux magnifiques couleurs sombres. Aussi bien dans la chanson gothique (Le Roi de ThulĂ©) que dans son Ă©mouvante romance (« D’amour l’ardente flamme »), elle comprend Ă  merveille le langage de Berlioz et traduit toute la richesse intĂ©rieure de son personnage. » Louis Bilodeau – Avant-ScĂšne OpĂ©ra

 

La Divisione del mondo

Opéra National du Rhin, 2019

« Figure de douleur s’il en est, la mezzo-soprano Julie Boulianne est Junon, impĂ©tueuse et touchante. Perçante dans les aigus de sa hargne envers Jupiter, ses doutes quant Ă  son pouvoir de sĂ©duction lui offrent un vibrato exprimant pleinement son angoisse, sa rĂ©conciliation avec son mari volage calme des mĂ©diums apaisants et une pose rĂ©galienne finale, matriarche sĂ»re d’elle »Olyrix

« La mezzo-soprano Julie Boulianne incarne avec sensibilité une Junon qui se voit délaisser par son royal époux »Les Echos

Intégrale des mélodies de Fauré (CD) 

H. Guilmette, J. Boulianne, A. Figueroa, M. Boucher, O. Godin, 2018 

« C’est aux dames qu’on doit la meilleure part du disque. […] La Tarentelle partagĂ©e avec Julie Boulianne ne se prend pas au sĂ©rieux, « saute et brille en frĂ©tillant ». La mezzo voile les Berceaux d’une superbe mĂ©lancolie, captive dans la Chanson d’Eve par sa sensualitĂ© plein d’Ă©lĂ©gance – ah ! ce lent crescendo forte qui porte Roses ardentes ! Et son Jardin clos, Ă  la toute fin du quadruple album, file comme « le rapide Ă©clair d’un rĂȘve ». […] Reste Ă  butiner sur les sites de tĂ©lĂ©chargement les merveilles que distillent HĂ©lĂšne Guilmette et Julie Boulianne. » François Laurent – Diapason

« On suit l’itinĂ©raire de FaurĂ© pas Ă  pas, des pages mondaines aux cycles suspendus comme des jardins, du salon Ă  l’univers, et l’on entend Ă  mesure l’harmonie se creuser, la mĂ©lodie chercher la ligne infinie, la voix se faire archet, le romantisme cĂ©der devant un monde nouveau dont FaurĂ© dans son grand Ăąge et par-delĂ  la surditĂ© aura entendu les musiques inouĂŻes. Impossible de dĂ©tailler les qualitĂ©s de chacun, mais ces quatre chanteurs soignent autant les vers de Marc Monnier que ceux de Verlaine et font entendre d’abord ce qu’entend le compositeur chez ses poĂštes. Courez au dernier disque oĂč rayonne le spleenĂ©tique quatuor des opus ultimes : la Chanson d’Eve commencĂ©e en murmure, les mystĂšres du Jardin Clos selon Julie Boulianne vous accompagneront longtemps, comme les Mirages, rendus Ă  leur tessiture de soprano par HĂ©lĂšne Guilmette. » Jean-Charles HoffelĂ© – Classica

« DĂ©jĂ  complices d’une prĂ©cĂ©dentes intĂ©grale POULENC (2013), pianiste et chanteurs rĂ©cidivent au bĂ©nĂ©fice des nuances fin de siĂšcles et Belle Époque de Gabriel FaurĂ©.
Au total, 4 chanteurs jouent du dialogue voix et piano avec une dĂ©contraction heureuse qui stimule notre Ă©coute pourtant grĂące Ă  la maĂźtrise collective dans l’art d’articuler et de faire chanter les textes et la musique : HĂ©lĂšne Guilmette, Julie Boulianne, Antonio Figueroa, Marc Boucher. Au sein de ce quatuor raffinĂ©, sobre, retenu, mesuré  Chacun offre une perfection chambriste et linguistique qui affirme un nouveau jalon de maĂźtrise : bon nombre de chanteurs en France devraient s’y ressourcer et pointer chaque Ă©lĂ©ment qui compose une perfection de ciselure française. Voici que le QuĂ©bec donne le ton et impose une leçon de beau chant français.
L’articulation fusionne avec l’expressivitĂ©, l’élĂ©gance naturelle avec l’intensitĂ© maĂźtrisĂ©e des nuances, la clartĂ© comme la prĂ©cision, l’intonation comme la projection
 tout sonne juste et idĂ©alement conçu. Chaque interprĂšte Ă©claire de l’intĂ©rieur la richesse suggestive du texte, par son grain et la couleur propre de sa voix ; pianiste et chanteur rĂ©alisent une combinaison propice Ă  l’explicitation lumineuse des univers poĂ©tiques, mĂ©lodie par mĂ©lodie. » Alban Deags – Classique News

 

Pinocchio – La chanteuse de cabaret, Le mauvais Ă©lĂšve

CD, Cypres, 2018

« Quant Ă  Julie Boulianne, au mezzo colorĂ©, elle use de toute sa palette expressive pour nous offrir une chanteuse de cabaret, puis un mauvais Ă©lĂšve dont l’influence sur Pinocchio aura de fĂącheuses consĂ©quences.» Yvan Beuvard – Forum Opera

Festival d’Aix en Provence, 2017

« Yann Beuron et Julie Boulianne rivalisent, eux aussi, d’implication et de talent. » Cyril Mazin – OpĂ©ra Magazine

« Julie Boulianne, chanteuse de cabaret vraiment aussi remarquable en chanteuse de cabaret qu’en mauvais Ă©lĂšve. » Guy Cherqui – Wanderer 

« Le mezzo Julie Boulianne brille, quant Ă  elle, sur deux tableaux bien diffĂ©rents, en tant que fille perdue (Chanteuse de cabaret) dans du Dante avec un bon accent allemand et, surtout, de maniĂšre encore plus personnelle, dans la peau agitĂ©e du trĂšs Mauvais Ă©lĂšve exemplaire. » François CavaillĂšs – Anaclase 

« Julie Boulianne passe sans accroc de la vamp au mauvais garçon.» Philippe Venturini – LesEchos.fr

« DeuxiĂšme mezzo-soprano de la distribution Julie Boulianne endosse le rĂŽle du mauvais Ă©lĂšve avec malice et celui de la chanteuse de cabaret avec sensualitĂ©. Difficile de croire qu’il s’agit de la mĂȘme interprĂšte ! » Elodie Martinez – Opera Online 

« Julie Boulianne se partage avec talent entre la Chanteuse de cabaret et le Mauvais Ă©lĂšve » Alain Cochard – Concert Classic

« La mezzo-soprano quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne accomplit deux rĂŽles typĂ©s et contrastĂ©s, celui d’une Chanteuse d’un cabaret dĂ©liquescent et celui du Mauvais Ă©lĂšve. Elle a dans le jeu et l’expression vocale, la gouaille de deux figures du peuple, qui prennent langue avec la troupe des musiciens de scĂšne. » Florence Lethurgez – Olyrix

« Julie Boulianne passe sans mal de la chanteuse de cabaret visiblement ivre au cancre tentateur. » Laurent Bury – Forum Opera

« Julie Boulianne singt und tanzt die KabarettsĂ€ngerin und den bösen Schuljungen mit PrĂ€senz. » Georg Rudiger – Die deutsche BĂŒhne 

Théùtre royal de la Monnaie, 2017

« As a cabaret singer and a bad student, Julie Boulianne revealed a multihued, complex mezzo. » Corinna da Fonseca-Wollheim – New York Times

Werther – Charlotte

Oper Frankfurt, 2017

«Canadian mezzo-soprano Julie Boulianne’s plummy tones and impeccable French made her a memorable Charlotte. The Letter Scene was a tour-de-force, Boulianne using a palette of varied hues.
Le goĂ»t raffinĂ© et le français impeccable de la mezzo-soprano canadienne Julie Boulianne ont fait d’elle une Charlotte mĂ©morable. La scĂšne de la Lettre fut un tour-de-force, dans laquelle Boulianne utilisa une palette de couleurs trĂšs variĂ©e. » Leonard Turnevicius – OperaCanada

«Non meno convincente era la Charlotte di Julie Boulianne, disegnata con tratti di pudica introversione espressa attraverso una linea di canto limpida e caldo timbro vocale.
Pas moins convaincante, la Charlotte de Julie Boulianne est dessinĂ©e avec des passages d’introversion pudique, exprimĂ©s Ă  travers une ligne de chant limpide et un timbre vocal chaleureux. » Stefano Nardelli – Giornale della musica.it

«Die Mezzosopranistin Julie Boulianne war als Charlotte ebenfalls den lyrischen und dramatischen Anforderungen der Rolle bestens gewachsen.
La mezzo-soprano Julie Boulianne Ă©tait Ă©galement bien adaptĂ©e aux exigences lyriques et dramatiques du rĂŽle de Charlotte. » Von Markus Kuhn – Frankfurter Neue Presse

 

La Cenerentola – RĂŽle-titre

Opéra de Montréal, 2017

« Julie Boulianne « Cenerentola », cette talentueuse mezzo-soprano, ex-membre de l’Atelier Lyrique de l’OpĂ©ra de MontrĂ©al, incarne une ravissante Cendrillon vocalement Ă  l’aise et thĂ©Ăątralement crĂ©dible. Elle persiste sur la voie du professionnalisme auquel elle nous a d’ores et dĂ©jĂ  habituĂ©s. » Daniel Raymond – atuvu.ca

« Tous les solistes ont effectivement brillĂ©, mais s’il faut donner des palmes, dans l’ordre dĂ©croissant, remettons-les Ă  Julie Boulianne, Vito Priante et Juan JosĂ© de LeĂłn. » Martin PrĂ©vost – Pieuvre. Ca

« FamiliĂšre du rĂŽle-titre, Julie Boulianne est une belle interprĂšte d’Angelina, au superbe timbre sombre (
) convaincante dans l’expression de la rĂ©signation » Louis Bilodeau – L’Avant-ScĂšne OpĂ©ra

« Angelina – c’est le prĂ©nom de Cendrillon dans l’opĂ©ra de Rossini (
) est interprĂ©tĂ©e par la mezzo Julie Boulianne qui, dotĂ©e de la voix parfaite pour ce rĂŽle, nous Ă©blouit, comme d’habitude, par son veloutĂ© et sa virtuositĂ©. » Caroline Rodgers – Ludwig Van MontrĂ©al

« For her part, Julie Boulianne projected the genuine kindness and humility required for the large-hearted Cinderella, evading the all-too-easy trap of making her a simpering goody-two shoes. »
Pour sa part, Julie Boulianne incarne toute la gentillesse et l’humilitĂ© requises pour ce personnage au grand coeur qu’est Cendrillon, ne cĂ©dant pas trop facilement Ă  la tentation de faire du personnage une sainte-nitouche minaudant.
Sandra d’Angelo – Montreal Theatre Hub

Glimmerglass, 2009

« But it’s French-Canadian mezzo-soprano Boulianne who is the one to watch – Rossini’s endless coloratura is a killer, yet she rips through ornamentation like a carving knife. Her voice has both sweetness and bite, with hints of darker and deeper notes to come, all boding well for meatier roles down the line. » Paula Citron – Toronto Globe and Mail

Florida Grand Opera, 2009

« Boulianne’s refined and elegant vocalism suited the put-upon Cinderella. Boulianne brought a touching intimacy to her opening aria ‘Una volta c’era un re’ and displayed facility with the coloratura bravura of the concluding ‘Non piĂč mesta.’ Physically, the petite mezzo looked the part completely, with a waifish, vulnerable presence that underlined Cinderella‘s melancholy. She later assumed the throne with quiet, self-possessed dignity. » Lawrence A. Johnson – The Miami Herald

Aspen Opera Theater, 2008

« The one compelling reason to see ‘La Cenerentola,’ the Aspen Opera Theater Center’s first offering of the summer, is the mezzo-soprano singing the title role. Beg, borrow or steal to get a ticket for Julie Boulianne’s final performance. She is the real deal
 she sailed through her moments, big and small, and created a character sweet and innocent enough to justify the subtitle Rossini and his librettist, Jacopo Ferretti, appended to this very Italian version of the Cinderella story: ‘Or Goodness Triumphant.’ Boulianne has the presence to command the stage without histrionics, often by standing there with a gentle smile. She opens her mouth and the sound comes out unforced, ‘Nacqui all’affano’ in the final act. In interacting with the other singers, she seems a model of generous attention and consistently conjures up a feeling of reality. (…) Aspen is fortunate to be hearing her at this stage of her career, much as audiences might remember fondly the likes of RenĂ©e Fleming and Susanne Mentzer when they sang here before becoming stars. » Harvey Steiman – Aspen Times

 

Barbier de SĂ©ville – Rosina

Opéra de Québec, 2017

« La mezzo Julie Boulianne joue une Rosina intelligente, comique et vive et utilise sa voix pleine et souple tant pour exprimer les Ă©motions les plus franches que pour appuyer des intonations comiques. » Josianne Desloges – Le Soleil

« Julie Boulianne accomplit, alliant habilement douceur et puissance, toutes les pirouettes vocales associĂ©es au rĂŽle de Rosina. » Yves Leclerc – Journal de QuĂ©bec

Opéra de Montréal, 2008

« La sĂ©millante Rosina de la mezzo-soprano Julie Boulianne tient son rĂŽle Ă  la perfection. Nul besoin chez elle d’abuser d’artifice pour sĂ©duire un Lindoro conquis d’avance. Elle a dans son trousseau, – ou apporte dans sa dot – l’abattage, la rondeur de la voix, la couleur, l’art de l’ornementation qu’exige le rĂŽle rossinien. » Jacques HĂ©tu – Resmusica

 

 

 

BĂ©atrice et BĂ©nĂ©dict – BĂ©atrice

Théùtre du Capitole, Toulouse, 2016

« Avec son incarnation de BĂ©atrice, la mezzo quĂ©becoise Julie Boulianne – lumineuse Mallika en Avignon en mars dernier – est la triomphatrice de la soirĂ©e. Son beau mezzo ample et capiteux, son tempĂ©rament fougueux et sa sensualitĂ© exacerbĂ©e font notamment merveille dans son redoutable air du second acte, «  Il m’en souvient », qu’elle chante avec autant d’intelligence que de nuances. » Emmanuel Andrieu – OpĂ©ra Online 

« C’est la mezzo-soprano quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne qui s’empare sur notre scĂšne du personnage fort en caractĂšre de BĂ©atrice. Elle le fait avec le phrasĂ© indispensable dans un tel rĂ©pertoire, un excellent français et toute la malignitĂ© de cette hĂ©roĂŻne amoureuse contre son grĂ©. » Robert Penavayre – Classic Toulouse

« Et en premier lieu la remarquable BĂ©atrice de Julie Boulianne, onctueuse de timbre et au fort tempĂ©rament, qui revĂȘt d’une troublante mĂ©lancolie sa participation au sublime duo avec Ursule « Nuit paisible et sereine », ensorcelle pendant le trio « Je vais d’un cƓur aimant » et s’empare avec Ă©lĂ©gance et style de l’air chaotique, mais merveilleux « Dieu que viens-je d’entendre », Ă  l’Ă©criture typiquement berliozienne. » François Lesueur –  Concert Classic

 

Roméo et Juliette (Berlioz)

Orchestre National du Capitole de Toulouse, 2016

« La mezzo-soprano quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne est absolument parfaite. Voix au timbre profond mais sans vibrato large, jeunesse de couleur, et diction fluide permettent d’adhĂ©rer Ă  son empathie pour les hĂ©ros. Son souffle long et ses phrasĂ©s admirablement Ă©lĂ©gants sont d’un idĂ©al de chant français trop peu souvent atteint.‚ » Hubert Stoecklin, Classiquenews.com

« Les premiÚres interventions de la « contralto solo », ainsi que la nomme Berlioz, révÚlent la beauté vocale et le sens de la prosodie de la mezzo-soprano québécoise Julie Boulianne. » Serge Chauzy, Classictoulouse.com

Orchestre RĂ©volutionnaire et Romantique – Festival Berlioz, 2016

« La prononciation française est exemplaire, Ă  l’aune de celle d’un trio de solistes judicieusement Ă©lus : Julie Boulianne Ă©nonce la mĂ©lancolie prĂ©gnante des premiĂšres amours avec le veloutĂ© sobre d’une voix sans effets. » Jean-Luc Clairet, Resmusica

Orchestre RĂ©volutionnaire et Romantique – BBC Prom’s, 2016

« Mezzo-soprano Julie Boulianne brought star-quality to her Act 1 narration with the semi-chorus: her rich voice had real presence and weight in the Hall, even in the most intimate and understated melodic gestures, and the long vocal lines unwound compellingly. » Claire Seymour, Opera Today

« The way French-Canadian mezzo Julie Boulianne set the scene for Berlioz’s Romeo and Juliet in a long and hugely demanding solo was even more remarkable: I have never heard a more ravishing vocal command of the Albert Hall’s problematic acoustic. » Michael Church, The Independant

« The three French-speaking soloists — Julie Boulianne, Jean-Paul FouchĂ©court and Laurent Naouri — had the style at their fingertips. » Richard Fairman, The Financial Times

« Boulianne and FouchĂ©court were nigh-on perfect in their all-too-short solos but were involved in all the semi-chorus’s contributions. » Nick Breckenfield, Classical Source

« And better still last night was Julie Boulianne, knocking spots off any of the voices on display in Glyndebourne’s underwhelming current production of Berlioz’s BĂ©atrice et BĂ©nĂ©dict. » David Nice, The arts desk

 

LakmĂ© – Mallika

Opéra Grand-Avignon, 2016

« La mezzo quĂ©bĂ©coise Julie Boulianne incarne une touchante Mallika, qui respecte toutes les rĂšgles du style français, cet art de la finesse et de la dĂ©licatesse. » Emmanuel Andrieu – OpĂ©ra Online

« ApprĂ©ciĂ©e, aussi, la Mallika de Julie Boulianne, trĂšs prĂ©sente dans le duo des fleurs. » Michel Egea – Destimed

« Julie Boulianne fait une Mallika splendide dans chacune de ses interventions, notamment dans le Duo des fleurs tant attendu oĂč l’harmonie avec Sabine Devieilhe donne une leçon d’homogĂ©nĂ©itĂ© et de justesse. » Elodie Martinez – Toute la Culture

« Le personnage de Mallika bĂ©nĂ©ficie de l’interprĂ©tation nuancĂ©e de Julie Boulianne, remarquable en particulier dans le duetto du premier acte. » Fabrice Malkani – Forum OpĂ©ra

« Une belle distribution honore les seconds rĂŽles : Julie Boulianne en Mallika » Charlotte Saintoin – Ôlyrix

 

L’Etoile – Aloùs

Royal Opera House, Covent Garden, 2015

« Boulianne and Aimery LefĂšvre’s Tapioca look and sound good together. » Tim Ashley – The Guardian

« There is a fine quartet of French-speaking singers (HĂ©lĂšne Guilmette, Julie Boulianne, Francois Piolino and Aimery LefĂšvre) in leading roles. » Barry Millington – The Standard

« Julie Boulianne as her friend AloĂšs, sing with great charm and a splendid sense of idiom. » Mark Valencia – What’s on stage

« Julie Boulianne makes a strong impression as AloĂšs » Stephen Jay-Taylor – Opera Britannia

Amsterdam DNO, 2014

« I particularly liked Julie Boulianne’s rich-voiced AloĂšs. » Nicolas Nguyen – Bachtrack

« L’AloĂšs de Julie Boulianne [est] digne d’éloge, tant comme act[rice] que comme chanteu[se]. » Nicolas Blanmont – OpĂ©ra Magazine

 

Le Roi Carotte (Offenbach) – Robin-Luron

Opéra national de Lyon, 2015

« Robin-Luron, gĂ©nie dont les facĂ©ties tombent sans un pli sur le joli mezzo de Julie Boulianne » Emmanuel Dupuy – Diapason Mag

«  Avec ses allures canailles, inspirĂ©es sans doute de Riquet Ă  la houppe et de Bibi Fricotin, Julie Boulianne traduit plutĂŽt bien le dynamisme de Robin-Luron » Pierre Cadars – OpĂ©ra Magazine

« Le bon gĂ©nie Robin-Luron, interprĂ©tĂ© par Julie Boulianne, est Ă©galement d’une grande fraĂźcheur, on ne peut qu’apprĂ©cier la chaleur de ses mĂ©diums et la subtilitĂ© de ses vibratos (en particulier dans son air de prĂ©sentation). » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Le « bon » gĂ©nie Robin-Luron est remarquablement interprĂ©tĂ© par Julie Boulianne, croquĂ©e en personnage de bande dessinĂ©e par le crayon de Laurent Pelly. » David Verdier – Resmusica

« La mezzo-soprano Julie Boulianne est un Robin-Luron bondissant, Ă  la voix claire et souple, rendant pleinement justice Ă  l’allusion au Puck du Songe d’une nuit d’étĂ© (nommĂ© aussi Robin Goodfellow) » Fabrice Malkani – Forum OpĂ©ra

« In der Hosenrolle des Genies Robin-Luron, seines unermĂŒdlichen guten Geists Julie Boulianne » Sabine Weber – Die deutsche BĂŒhne
Dans le rÎle en pantalon du génie Robin-Luron, Julie Boulianne est un bon esprit infatigable.

« Les voix fĂ©minines ne dĂ©mĂ©ritent en rien, faisant preuve d’abattage ou d’aisance, que ce soit la rouĂ©e CunĂ©gonde d’Antoinette Dennefeld [
] ou le dĂ©lurĂ© Robin-Luron de Julie Boulianne. » Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin, Lyon-Newsletter

« N’oublions pas Julie Boulianne, Robin-Luron, bon gĂ©nie plein d’aplomb » Philippe Venturini – Les Echos

« Es ist auch einem erstklassigen SĂ€ngerensemble zu verdanken, in dem Julie Boulianne als Robin ĂŒberzeugt » Dieter David Scholtz – Neue Musikzeitung
Il faut aussi remercier des chanteurs de premiĂšre classe, parmi lesquels Julie Boulianne convainc dans le rĂŽle de Robin.

« Les interprĂštes des rĂŽles principaux sont Ă  la hauteur de cette direction tonique. Julie Boulianne (Robin-Luron) [a] particuliĂšrement investi [son] personnage » Franck Giroud – Culturebox

« La distribution rĂ©unie (Beuron, Mortagne, Boulianne, Dennefeld) est impeccable et, comme il se doit, entiĂšrement francophone. » Nicolas Blanmont – La Libre

« Die kanadische Mezzosopranistin Julie Boulianne gab burschikos und mit schönem Timbre einen kecken Robin-Luron. » Walter Nowotny – Online Merker
La mezzosoprano canadienne Julie Boulianne compose par sa désinvolture et son joli timbre, un Robin-Luron insolent.

« Julie Boulianne en vraie Dugazon fait de Robin-Luron un personnage juvĂ©nile, Niklausse avant l’heure. » Didier Roumilhac – OpĂ©rette

 

L’Heure espagnole – ConcepciĂČn

Orchestre national des Pays de la Loire, Nantes, 2015

« La Concepcion de la mezzo-soprano canadienne Julie Boulianne, quel superbe timbre et quelle facilitĂ© ! » JosĂ© Pons – OpĂ©ra Magazine

 

La Clemenza di Tito – Annio

Paris Théùtre des Champs-Elysées, 2014

« Julie Boulianne impressionnante d’autoritĂ© en Annius » AndrĂ© Tubeuf

 

 

 

I Capuleti e i Montecchi – Romeo

Opéra de Reims, 2013

« Julie Boulianne, parfaite dans son rĂŽle travesti, agile dans la cabalette « La tremenda ultrice spada », ahurissante d’aigus assĂ©nĂ©s en rĂ©ponse Ă  ceux de la soprano. Julie Boulianne Ă©meut par son incarnation du hĂ©ros. Du premier tableau Ă  la scĂšne du tombeau, ce Romeo bouleverse. Le duo final et la mort de Giuletta offrent des moments que n’oubliera pas un public de trĂšs jeunes spectateurs. » Patrice Henriot, OpĂ©ra Magazine

 

L’Enfant et les Sortilùges – L’Enfant

Boston Symphony, 2012

« mezzo Julie Boulianne was outstanding as the Child » Mark DeVoto

 

Les Brigands – Fragoletto

Opéra Comique, 2011

« Le timbre flutĂ© de mezzo et le jeu coquin de Julie Boulianne, en Fragoletto, compose un savoureux gamin amoureux » Caroline Alexander – Webthea

« Mezzo aux sombres rondeurs, Julie Boulianne assume jusqu’à l’ambiguĂŻtĂ© le travesti de Fragoletto, trĂ©pidant lutin prĂȘt Ă  toutes les truanderies pour les yeux de la belle Fiorella. » Mehdi Mahdavi –  Altamusica

 

Cendrillon

Opéra de Marseille, 2010

«  Singing is solid in Marseille, and this Cendrillon was no exception. Canadian born, Juilliard trained mezzo soprano Julie Boulianne was Lucette, her beautifully even, bronze-hued tone was easy to imagine as the ideal singing voice of the regal Grace Kelly, plus she possesses a fine upper extension able to project Massenet’s very occasional sentimental exuberance. » Michael Milenski – Opera Today

 

Tolomeo – Elisa

Glimmerglass, 2010

« La  Boulianne, in particolare,  canta e recita con grande disinvoltura. La sua voce, dotata di un centro corposo, sicura e brillante  nel registro acuto, agguerrita nelle agilitĂ  e in grado di cantare con la medesima  intensitĂ  ed espressivitĂ  sia nelle arie piĂč liriche come  in quelle piĂč scopertamente virtuosostiche. Una cantante perfettamente adeguata alla vocalitĂ  del ruolo. » Paula Citron – GB Opera

« In terms of memorable characters not likely to be forgotten for some time, Julie Boulianne, the darling of last year’s successful Glimmerglass Opera production of La Cenerentola, came awfully close to stealing the show.

Boulianne, whose outfit curiously resembled the “Red Queen” character (played by Helena Bonham Carter) in the film Alice in Wonderland, was the only character among the five to play her part in a completely comedic vein — reconstructing the pernicious femme fatale of Handel’s Elisa into something that resembles a spoiled, impatient club-hopping party girl. The transformation, whether orchestrated by Rader-Shieber or Boulianne herself, was in harmony with the satirical direction of this production.

Although Handel designed this part specifically for a soprano, Boulianne’s mezzo-soprano is sufficiently flexible and malleable to suit the part. Still, the darker timbre of her voice clearly sets her apart from the “other soprano” role of Seleuce, putting aside any parallels to the legendary Cuzzoni-Bordoni feud.

Boulianne’s consistently well-executed ornamental passages throughout her many arias suggests a level of comfort with early 18th-century music. She performed the rapid ornamentations in the first-act Se talor miri un fior with grace, polish and poise, and navigated the trills and 16th-note passagework of the second-act Quanto Ăš felice quell’augelletto with elegance and Ă©lan. I especially enjoyed her delivery of the heavily dotted-rhythms of her third-act aria of vengeance, Voglio amore o pur vendetta, which I feel was the singular most impressive vocal effort in this production. She also provided effortless tossing of the coloratura embellishments in the aria Ti pentirai, crudel that followed. » www.cnycafemomus.com

« I liked Julie Boulianne in last year’s Cenerentola but nothing about that performance prepared me for the brilliance of her Elisa. Ms. Boulianne (…) caught fire and lavished us with sizzling vocal pyrotechnics all night. Moreover, she displayed a fiery and comically savvy stage presence throughout, greatly assisted by a wonderfully daffy costume — part tutu, part vamp, all Lady Gaga — from the talented costume designer Andrea Hood. » James Sohre – Opera Today

 



Warning: Undefined variable $audio in /home/clients/2dc2a7a34f0b0f8f064647b5f86fc8e2/sites/intermezzo-management.com/wp-content/themes/intermezzo/single.php on line 30

Warning: Attempt to read property "ID" on null in /home/clients/2dc2a7a34f0b0f8f064647b5f86fc8e2/sites/intermezzo-management.com/wp-content/themes/intermezzo/single.php on line 30
Artistes :