Hélène Guilmette – Revue de presse

La Caravane du Caire – Zélime

Opéra Royal du Château de Versailles, 2022

« Hélène Guilmette est une Zélime emportée et élégante. » Guillaume Saintagne – Forum Opéra

« As the divided lovers, (…) and soprano Hélène Guilmette were a well-matched pair,, (…) Guilmette’s glowing tone conveying Zélime’s intensity and sincerity. » Claire Seymour – Opera Today

 

Le Carnaval du Parnasse (Mondonville) – Lycoris

Atelier lyrique de Tourcoing & Opéra Royal du Château de Versailles, 2022

« Hélène Guilmette chante Lycoris, elle aussi avec une robe et une voix brillantes. Son timbre est chaud, ses aigus larges, mais son vibrato léger. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Hélène Guilmette équilibre à merveille musicalité, sens du texte et du théâtre. » Loïc Chahine – Diapason

 

L’Île du rêve (Hahn) – Mahénu

Prinzregententheater (Munich), 2020

« […] die Solisten sind erlesen. Vor allem der Tenor Cyrille Dubois […] und die hinreissende Hélène Guilmette sind einfach umwerfend. »
les solistes sont exquis. Surtout le ténor Cyrille Dubois […] et la fabuleuse Hélène Guilmette sont tout simplement époustouflants.
Egbert Toll – Süddeutsche Zeitung

« Hélène Guilmette prête à Mahénu un sourire, une fraîcheur lumineuse, une résignation qui troublent profondément le Loti de Cyrille Dubois » François Laurent – Diapason Mag

« Hélène Guilmette fait enfin son entrée, et comble les attentes tant sa Mahénu se révèle fraîche et espiègle d’abord, tendre et touchante bientôt. » Laurent Bury – Forum Opéra

 

Cendrillon (Massenet) – Rôle-titre

Opéra national de Lorraine (Nancy), 2019

« Diction d’une extrême clarté, timbre limpide et empreint d’une once de nostalgie, aigus filés, Hélène Guilmette incarne une Cendrillon toute de douceur et de résignation, fraîche et fort touchante. » Michel Thomé – ResMusica

« la soprano canadienne Hélène Guilmette charmant l’auditoire par son timbre délicat et égal sur tout l’ambitus du long rôle » Philippe Manoli – ConcertoNet

 

Les Boréades – Alphise

Opéra de Dijon, 2019

« Hélène Guilmette dévoile ainsi une Alphise aussi déterminée que sensible » Philippe Venturini – Les Echos

« Hélène Guilmette tient son range avec force et grâce » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Hélène Guilmette impose, dès le long «Un horizon serein », l’autorité d’une Alphise ample et corsée. » Jean-Luc Clairet – Resmusica

« Hélène Guilmette est une Alphise extrêmement touchante » Christian Merlin – Le Figaro

« Hélène Guilmette interprète le rôle d’Alphise. Sa voix bien projetée, au vibrato serré, s’offre des nuances savamment élaborées, avec de belles notes allégées et de véritables coups de semonce vocale aux aigus épanouis. Les vocalises sont précises et les trilles fins. Si le rôle n’offre pas une large palette de sentiments à jouer, la soprano met en tout cas un point d’honneur à prononcer chaque mot avec une intention et une diction acérées. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Hélène Guilmette (…) avec une interprétation ardente du stupéfiant « Un horizon serein », pour une Alphise d’une humanité frémissante. » Laurent Bury – Forum Opera 

« Hélène Guilmette campe une Alphise émouvante, au chant exemplaire de clarté » Albert Dacheux – Classic news

« Le charme et le timbre fruité d’Hélène Guilmette sont bien ceux d’Alphise, une amoureuse qui sait aussi trouver des accents désespérés.» Michel Parouty – Opéra Magazine

 

Orphée et Eurydice – Eurydice

Opéra Comique, 2018

« Hélène Guilmette […] assumera une Eurydice pleine de charme, avant de déployer aigus sûrs et riche medium dans le poignant « Fortune ennemie ». » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Hélène Guilmette est une Eurydice touchante et tout en délicatesse, qui parvient à s’imposer malgré la brièveté de son rôle. » Claire-Marie Caussin – Forum Opéra

« La voix […] illustre bien ainsi l’inaccessible Eurydice perdue aux enfers. […] le mezzo piano est remarquablement nourri dans son air « Fortune ennemie », qui s’élance vers des aigus assurés depuis un medium rond […]. Par-dessus tout émouvante lorsqu’elle meurt une seconde fois, elle annonce la terrible conclusion du drame. » Charles Arden – Ôlyrix

« Eurydice, campée par Hélène Guilmette […] est convaincante dans son court rôle. La voix est délicate et fine, fidèle au livret. » Quentin Laurens – WebThéâtre

« Eurydice, qui se voit réserver dans cette version une portion congrue, trouve en Hélène Guilmette un soprano délicat et une émouvante composition. » Jean-Pierre Robert – ONmag

« Hélène Guilmette est une Eurydice irréprochable, sensible et crédible dans ses doutes et sa douleur. » Laurent Amourette – Classique Agenda

« Hélène Guilmette incarne […] une frémissante Eurydice. » Philippe Venturini – Les Échos

« La délicieuse voix d’Hélène Guilmette a rendu son charme et son envol à « Cet asile aimable et tranquille », perle vocale que tant de versions d’Orphée suppriment. » André Tubeuf

« On est plein d’admiration pour Hélène Guilmette qui, plutôt que de céder à la démonstration vocale, met son timbre robuste au service d’Eurydice. En d’autres termes, elle n’a pas oublié qu’elle interprète une morte, séparée de son aimé par l’infranchissable barrière du regard. Sa voix s’emplit dès lors d’une mélancolie fantomatique aussi juste dramatiquement que vocalement touchante. » Pierre Liscia – Bachtrack

« Hélène Guilmette, fine musicienne, campe une délicieuse Eurydice. » Michel Parouty – Opéra Magazine

Angers-Nantes Opéra, 2012

« […] l’Eurydice éperdue, troublante, volontaire d’Hélène Guilmette (on n’a simplement jamais vu mieux en cet emploi pour la voix comme pour le jeu) […]. » Jean Charles Hoffelé – Concert classic

« Hier Amour dans l’Orphée rêvé de Pina Bausch à Garnier, Hélène Guilmette campe aujourd’hui une Eurydice aux beaux accents de tragédienne, et son art de la déclamation force l’admiration. » Benoît Fauchet – Diapason

« La canadienne Hélène Guilmette prête son timbre lumineux et épanoui à Eurydice, qu’elle chante avec une grâce délectable.  Jean-Luc Marcia – Opéra Magazine  

« Hélène Guilmette est une Eurydice accomplie, aux notes rondes et claires dans le médium et un aigu aussi éclatant que délié. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

« Cette dernière [Eurydice] bénéficie de la musicalité souveraine et du noble tempérament d’Hélène Guilmette, qui parvient en quelques mesures à créer un être frémissant et ému. » Philippe Venturini – Les Échos

« Hélène Guilmette exploite son charme scénique, la texture rare de sa voix et son tempérament scénique pour s’épanouir dans l’expression des tourments. » Vincent Deloge – Resmusica

« L’Eurydice d’Hélène Guilmette confirme tout le bien que l’on pense de la soprano québécoise, timbre clair mais avec ce qu’il faut de franchise pour ne pas tomber dans la mièvrerie qui guette la plupart des rôles auxquels sa tessiture la destine : elle est une ombre certes, mais de caractère. » Mehdi Mahdavi – Alta musica

 

Intégrale des mélodies de Fauré (CD)

H. Guilmette, J. Boulianne, A. Figueroa, M. Boucher, O. Godin, 2018

« C’est aux dames qu’on doit la meilleure part du disque. La soprano Hélène Guilmette est un modèle de fraîcheur dans les mélodies de jeunesse (Rêve d’amour tout « parfumé de rose ») ; avec quelle souplesse elle fait frissonner les « voiles d’or fluides et légers » des Mirages ! La Tarentelle partagée avec Julie Boulianne ne se prend pas au sérieux, « saute et brille en frétillant ». […] Reste à butiner sur les sites de téléchargement les merveilles que distillent Hélène Guilmette et Julie Boulianne. » François Laurent – Diapason

« On suit l’itinéraire de Fauré pas à pas, des pages mondaines aux cycles suspendus comme des jardins, du salon à l’univers, et l’on entend à mesure l’harmonie se creuser, la mélodie chercher la ligne infinie, la voix se faire archet, le romantisme céder devant un monde nouveau dont Fauré dans son grand âge et par-delà la surdité aura entendu les musiques inouïes. Impossible de détailler les qualités de chacun, mais ces quatre chanteurs soignent autant les vers de Marc Monnier que ceux de Verlaine et font entendre d’abord ce qu’entend le compositeur chez ses poètes. Courez au dernier disque où rayonne le spleenétique quatuor des opus ultimes : la Chanson d’Eve commencée en murmure, les mystères du Jardin Clos selon Julie Boulianne vous accompagneront longtemps, comme les Mirages, rendus à leur tessiture de soprano par Hélène Guilmette. Elle en distille les évocations d’un timbre clair qui égale en suggestions celui plus ombreux d’Irma Kolassi, grande prêtresse de cet opus ultime. » Jean-Charles Hoffelé – Classica

« Déjà complices d’une précédentes intégrale POULENC (2013), pianiste et chanteurs récidivent au bénéfice des nuances fin de siècles et Belle Époque de Gabriel Fauré.
Au total, 4 chanteurs jouent du dialogue voix et piano avec une décontraction heureuse qui stimule notre écoute pourtant grâce à la maîtrise collective dans l’art d’articuler et de faire chanter les textes et la musique : Hélène Guilmette, Julie Boulianne, Antonio Figueroa, Marc Boucher. Au sein de ce quatuor raffiné, sobre, retenu, mesuré… Chacun offre une perfection chambriste et linguistique qui affirme un nouveau jalon de maîtrise : bon nombre de chanteurs en France devraient s’y ressourcer et pointer chaque élément qui compose une perfection de ciselure française. Voici que le Québec donne le ton et impose une leçon de beau chant français.
L’articulation fusionne avec l’expressivité, l’élégance naturelle avec l’intensité maîtrisée des nuances, la clarté comme la précision, l’intonation comme la projection… tout sonne juste et idéalement conçu. Chaque interprète éclaire de l’intérieur la richesse suggestive du texte, par son grain et la couleur propre de sa voix ; pianiste et chanteur réalisent une combinaison propice à l’explicitation lumineuse des univers poétiques, mélodie par mélodie. » Alban Deags – Classique News

 

La Voix humaine, Poulenc

Orchestre Symphonique de Québec, 2018

« Hélène Guilmette chante Poulenc : beauté désespérée.
[…] Chantés par Hélène Guilmette, à qui l’orchestre donne la réplique comme un ex-amant tour à tour bienveillant et impétueux, les mots on ne peut plus terre-à-terre de Cocteau s’enveloppent d’une aura surréaliste et un brin absurde. La soprano joue pleinement le désespoir et la perte d’appétit de vivre. Ses mimiques sont tiraillées entre douleur et amour, sa voix juste épouse agilement tous les arrêts et toutes les vagues d’émotion minutieusement écrites par Poulenc. Nos yeux ne la quittent pas, pendant qu’elle arpente pieds nus la chambre élégante évoquée par quelques meubles. » Josiane Desloges – Le Soleil

 

Les Pêcheurs de perles – Leïla

Opéra de Reims, 2018

« Leïla est chantée par Hélène Guilmette, soprano québecoise, annoncée souffrante. Elle réussit la performance au point qu’on oublierait cette difficulté tant son chant s’épanouit au dernier acte. Son timbre, lumineux et la fraîcheur de l’émission réjouissent. Elle chante la jeunesse, sans minauder. La voix est flexible, avec une virtuosité sans ostentation. Tout juste, comme Berlioz, regrette-t-on le caractère artificiel et convenu des vocalises de la fin de son air, mais là, c’est à Bizet qu’il faut s’en prendre. »
Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Il est malaisé de formuler une opinion sur le chant et le jeu d’Hélène Guilmette, qui sauve la production malgré l’affection dont elle souffre. Leïla, la vierge voilée, belle et pure, protectrice, est un archétype universel. Mais Leïla n’est pas Julie, la Vestale de Spontini, ni Norma. Elle n’a pas la foi chevillée au corps, ni leur personnalité. Elle est tendre, résignée jusqu’au moment  où tout s’effondre. La voix est fraîche, agile, et solide. Elle gagnera en confiance au fil de la soirée pour nous donner un dernier acte où l’on aura oublié son affection, liée aux brusques variations climatiques de ces derniers  jours. »
Albert Dacheux – Classique news

« Annoncés souffrants, Hélène Guilmette et Alexandre Duhamel donnent toutefois le meilleur d’eux-mêmes dans ces conditions difficiles. Hélène Guilmette incarne une Leïla affirmée, tout en mettant en évidence la fragilité du personnage. Vocalement, la ligne s’avère parfaitement conduite, l’aigu rayonnant mais un rien plus sensible qu’à son habitude. Elle se montre logiquement réservée et soucieuse de préserver ses moyens sur la longueur de l’ouvrage. Son air du deuxième acte, « Me voilà seule dans la nuit », suivi du superbe duo avec Nadir, la montre à son meilleur, et la demi-teinte est un enchantement. » José Pons – Ôlyrix

Opéra de Limoges, 2018

« Hélène Guilmette, qui effectue là une prise de rôle, est de son côté une Leïla qui monte en puissance au fil de l’oeuvre, dévoilant peu à peu la richesse d’un soprano solaire par instants. C’est le cas dans le remarquable chant sacré, « Oh dieu Brahma », où Leïla, séductrice et mystérieuse, invoque le « dieu souverain du monde » dans un air aux motifs chromatiques et aux sonorités orientales dans lequel le chœur fonctionne comme un lointain écho. Un passage qui permet en outre à la soprano québécoise de dévoiler une agréable capacité à vocaliser. Son grand air de l’Acte II, la cavatine « Comme autrefois », est tout aussi remarquable, avec des aigus atteints avec maîtrise et projetés avec subtilité. »
Pierre Géraudie – Ôlyrix

« La Leïla d’Hélène Guilmette, dont c’est une prise de rôle, est d’une grande fraîcheur. Sa voix pulpeuse et son timbre fruité s’épanouissent dans de très beaux aigus et dans de frêles piani, émouvants car sur le fil. » Steeve Boscardin – Resmusica

 

Dialogues des Carmélites – Blanche de la Force

Opéra de Bologne, 2018

« Nonostante l’annuncio iniziale di una lieve indisposizione, Hélène Guilmette affronta senza evidenti difficoltà il ruolo di Blanche de la Force. La limpida linea canora assicura un solida empatia con gli interrogativi esistenziali, senza tralasciare il sottile nervosismo che pervade la scrittura a lei affidata. » Francesco Bertini – Connessi all’Opera

« Malgré l’annonce initiale d’une légère indisposition, Hélène Guilmette a affronté sans difficultés visibles le rôle de Blanche de la Force. Sa ligne de chant limpide assure une solide compassion envers les questionnements existentiels (de Blanche), sans pour autant omettre la subtile nervosité qui pénètre l’écriture du personnage qui lui est confié. » Francesco Bertini – Connessi all’Opera

« Hélène Guilmette mette ben a fuoco il carattere sfuggente di Blanche, il suo misticismo finalizzato all’autoannullamento, in una dissoluzione protettrice in un nido, foss’anche l’avito palazzo semidistrutto e saccheggiato dopo l’esproprio del Carmelo. » Roberta Pedrotti – L’Ape Musica

« Helène Guilmette embrase le caractère fuyant de Blanche, son mysticisme final allant jusqu’à l’auto-anéantissement, puis sa dissolution dans le nid qu’est le palais ancestral, semi-détruit et saccagé après l’expropriation du Carmel » Roberta Pedrotti – L’Ape Musica

Opéra de Lyon, 2013

« On ne se souvient pas d’avoir vu évoluer si finement le personnage de Blanche, qui n’a plus de secret pour une Hélène Guilmette en voix somptueuse, fine actrice elle aussi. » Jean-Charles Hoffelé, Concert Classic

« La distribution vocale s’avère enthousiasmante, à commencer par la jeune Hélène Guilmette (éblouissante Soeur Constance à Nice en 2010), qui, dans le rôle de Blanche de la Force, convainc par un chant d’une parfaite musicalité et un jeu habité. D’une présence faite autant de délicatesse que de ténacité, la soprano québécoise délivre une émotion et une force intérieure rares ». Emmanuel Andrieu, Concertonet.com

« Délicieuse Thérèse des Mamelles de Tirésias sur cette même scène en 2010, Hélène Guilmette est une magnifique Blanche, à la diction impeccable, à l’aise avec cette héroïne tiraillée entre des pulsions contradictoires » Laurent Bury, Forum Opéra

« Les deux jeunes rôles féminins (Hélène Guilmette en Blanche de La Force ; et Sabine Devieilhe, en Constance) ont lié un dense engagement théâtral à un limpide travail vocal ». Frank Langlois, Resmusica.com

 « Beaucoup font une prise de rôle. C’est le cas d’Hélène Guilmette, qui irradie Blanche de son timbre frémissant ». Antonio Mafra, Le Progès.

 « À commencer par Hélène Guilmette (lauréate du Concours Elisabeth en 2004), une Blanche émouvante au soprano clair et expressif, avec une très belle projection du texte ». Erna Metdepenninghen, Magazine Crescendo, Belgique

« Hélène Guilmette compose avec finesse Blanche, cette jeune fille «!née dans la peur!», et en atteint les périlleux aigus ». Philippe Venturini, Les échos

 

 

Requiem de Fauré

Minnesota Orchestra, 2018

«On the “Pie Jesu” section, soprano Helene Guilmette’s voice danced divinely with the nuanced organ of Dean Billmeyer […].
Concernant l’air  “Pie Jesu”,  la voix de la soprano Hélène Guilmette s’accordait divinement bien avec celle de Dean Billmeyer […]. » Rob Hubbard – Special to the Pioneer Press

 

Le Timbre d’argent (Saint-Saëns) – Hélène

Opéra Comique, 2017

« Le seul air du Timbre d’argent à avoir été enregistré, « Le bonheur est chose légère », revient pourtant à Hélène, à laquelle Hélène Guilmette confère une émotion palpable et des couleurs moirées. » Laurent Bury – Forum Opéra 

« Hélène Guilmette, sa douce et pure fiancée, est de façon amusante enceinte de sept mois dans la « vraie vie », ce qui confère une troublante identité à sa poétique prestation. » Catherine Scholler – ResMusica

« Quant aux rôles féminins, ils sont merveilleusement assurés par Hélène Guilmette et la jeune Jodie Devos. » Philippe Venturini – Les Echos

« Hélène Guilmette et Jodie Devos, Hélène et Rosa, fiancées respectives de Conrad et de Bénédict, révèlent des tessitures de soprano soyeuses et profondes. » Hélène Kuttner – Artistik Rezo

« [timbre] plus dense, d’Hélène Guilmette (Hélène), fort émouvante en amoureuse non payée de retour. » Sophie Bourdais – Télérama

« Hélène Guilmette a déjà le prénom du personnage amoureux de Conrad, elle en a aussi les aigus qui s’envolent en harmoniques » Charles Arden – Ôlyrix

« Hélène Guilmette […] fait exister le personnage d’Hélène avec beaucoup de musicalité » Bertrand Renard – Culturebox

« Hélène Guilmette est une émouvante amoureuse » Annie Chénieux – JDD

« Quant à Hélène Guilmette, elle saisit la simplicité et la pureté d’Hélène avec une vibrante sensibilité » Alain Cochart – ConcertClassic

« Hélène Guilmette sang with great sincerity as Conrad‘s betrothed » Mark Pullinger – Bachtrack

« Deux mentions spéciales : l’une pour la danseuse Raphaëlle Delaunay […] et Hélène Guilmette, soprano toute en luminosité, jouant et chantant Hélène, le ventre rond manifestement en attente d’un heureux événement » Caroline Alexander – Webtheatre

« Hélène Guilmette, familière du genre, sait à chaque apparition faire vibrer l’émotion. Sa maternité, intégrée dans la mise en scène comme un élément dramatique supplémentaire, ne semble donner à sa voix que plus de charme et de couleurs. » Yannick Bezin – MaCulture

« Enceinte de sept mois, Hélène Guilmette donne d’Hélène un touchant portrait grâce à sa voix qui semble se parer de couleurs nouvelles, plus lyriques et plus charnues. » Alban Deags – Classique News

« Hélène Guilmette incarne la tendre Hélène, avec son joli timbre de soprano. » Emmanuelle Giuliani – La Croix

« Hélène Guilmette, dont la voix se développe, a le timbre fruité et le phrasé d’école qu’on attend d’Hélène » Didier van Moere – Concerto Net

« Mention spéciale pour […] Hélène Guilmette, lauréate du Concours Reine Elisabeth chantant ici enceinte jusqu’aux yeux » Nicolas Blanmont – La Libre

« Excellentes Hélène Guilmette et Jodie Devos » François Lafon – Musik Zen

« Côté voix, on remarque […] la suavité piquante des deux sopranos, Hélène Guilmette (Hélène) et Jodie Devos (Rosa). » Olivier Rouvière – L’Avant-Scène Opéra

 

Le nozze di Figaro – Susanna

Angers/Nantes Opéra, 2017

« Hélène Guilmette, annoncée souffrante, ne trahit pourtant aucune trace de fatigue et s’impose comme le personnage central de la représentation. Elle joue la comédie à merveille et séduit par un instrument fruité s’épanouissant dans l’aigu, faisant souffler un réel vent de fraicheur dans cet univers où s’exprime surtout la violence des sentiments. Nous sommes admiratifs devant sa compréhension du rôle de Susanna et succombons à un « Deh vieni non tardar » détaillé avec tant de délicatesse et d’intelligence. » Vincent Deloge – Resmusica

« Hélène Guilmette se couvre de gloire en Suzanne, pas soubrette trop légère mais femme libre à l’émission mordante et au timbre fruité, comme un charme dans son « Deh vieni non tardar » adressé sous les arbres. »  Benoit Fauchet – Diapason

« Suzanne convient à merveille à Hélène Guilmette, dont le timbre charmant et l’agilité vocale correspondent tout à fait au profil du personnage, jusque dans ses notes les plus graves. »  Laurent Bury – Forumopera

« Hélène Guilmette impose une Susanna complexe, dévoilant une palette de couleurs vocales autant que scénique. Sa voix fluette est riche en couleurs. Les aigus sont vibrants et les médiums solaires. Câline et candide avec Figaro, elle affiche sa compassion muette face à la Comtesse. Elle se montre d’abord mutine et ingénue vis-à-vis du Comte, avant d’incarner la profondeur du dégoût, lorsqu’il s’adonne à des attouchements, après qu’elle lui ait fait croire qu’elle acceptait d’être à lui. La colère sourde qui se dégage d’elle à la fin de l’acte II et la surprise qui s’affiche sur son visage lorsqu’elle apprend qui sont les parents de Figaro, montre également l’inspiration et l’énergie qu’elle intègre à son jeu. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Hélène Guilmette, en Suzanne, la soubrette, est devenue le personnage central autour duquel gravitent pratiquement tous les autres. Mise très souvent au centre géométrique de la scène elle démontre qu’elle connait mieux que personne, à la fois la maisonnée et les choses de la vie. Vocalement impeccable, lors des récitatifs, dans les solos ou encore les morceaux chantés aux côtés des autres personnages, elle a chanté d’une voix uniforme sur tout le diapason ; expressive, percutante, elle a donné la réplique adéquate à chacun. » Jaime Estapà i Argemí – Webtheatre

« Et Suzanne, rôle le plus exposé de l’œuvre, est portée avec générosité par la pétillante Hélène Guilmette » Daniel Morvan

« L’émouvante (et musicale) Suzanne de la soprano québécoise Hélène Guilmette… » Emmanuel Andrieu – La Lettre du musicien

Opéra de Montpellier, 2012

« La Suzanne de la soprano canadienne Hélène Guilmette séduit d’emblée : enlevée, haute en couleur, amoureuse (voilà pour le drame), délicieuse, nuancée, suffisamment onctueuse (voilà pour la voix). Elle délivre un poignant « Deh vieni non tardar ». » Emmanuel Andrieu, ConcertoNet.com

« Quebecoise soprano Hélène Guilmette, Susanna, carried an exposed traverse bustle under construction on her hips for most of the opera. The opera’s catalyst, its constructive and destructive forces she delivered her Deh, vieni non tardar with consummate innocence, its words emerging with such vocal naturalness that it seemed nearly spoken. » Michael Milenski, Opera Today

« Hélène Guilmette, Susanna de vif-argent sur le plan vocal et théâtral. » Maurice Salles, ForumOpera.com

« Côté féminin la Susanne de la canadienne Hélène Guilmette imposa sa présence dès ses deux premiers duos avec Figaro. Elle sut mener la danse avec brio au cours des quatre actes avec celui des personnages de cette folle journée qui doit montrer le plus de variété expressive dans le jeu et dans la voix. Elle y réussit remarquablement. » Patrick Georges Montaigu, ResMusica.com

Opéra de Montréal, 2011

« En fait, la plus intéressante des voix réunies là est celle de Hélène Guilmette et le plus beau moment de pur chant mozartien de la soirée entière est l’air de Susanna, Deh ! vieni, non tardar, au dernier acte, que Mme Guilmette ornemente légèrement vers la fin. Sur le plan du théâtre, sa Susanna est un prodige de vivacité et de finesse. » Claude Gingras, La Presse

« Hélène Guilmette incarne une Susanna souveraine ; elle exhibe un jeu éblouissant et une splendide présence scénique. Sa voix ductile et son superbe legato s’accordent bien aux subtilités mozartiennes pour rendre avec conviction le charme d’un rôle avec lequel elle est en phase. » Réal Boucher, ForumOpera.com

« Aucun démérite du côté des chanteurs avec une nette préférence pour la soprano Hélène Guilmette, – que de chemin parcouru depuis sa Servillia dans La Clémence de Titus ! – qui tient la pièce à bras-le-corps. Toujours crédible scéniquement et d’une efficacité confondante, la voix, le geste, tout y est. Le «Giunse alfin il momento – Deh vieni, non tardar» est une page d’anthologie à conserver dans nos mémoires. Elle a le physique de l’emploi et l’âge du personnage. Les multiples facettes du caractère de Susanna lui collent à la peau. C’est l’intelligence du texte dans un chant pur,… mozartien. Du grand art ! » Jacques Hétu, ResMusica.com

«La distribution possède dans l’ensemble une belle homogénéité, qui se traduit notamment par des ensembles bien équilibrés, et nous réserve quelques moments de chant inoubliables, au premier rang desquels il faut placer l’air des marronniers de Susanna. Hélène Guilmette s’y révèle frémissante, lutine, rêveuse… Elle incarne une Susanna à la présence radieuse, extrêmement attachante, et dont le timbre clair convient au rôle de façon idéale. Rarement aura-t-on vu une artiste réunissant au même degré d’excellence les qualités vocales aussi bien que scéniques. » Louis Bilodeau, L’Avant-Scène Opéra.com

« Guilmette’s best work was in the «Letter Duet», where her colloboration with Cabell inspired a high level of musical involvement. » Robert Markow, Opera

« Hélène Guilmette fait un sans-faute en Susanna. Se distinguant par son abattage, elle n’a jamais chanté aussi bien. » Christophe Huss, Opéra Magazine

« Guilmette was a sparkling soprano excelling vocally in ensemble and solos. » Wah-Keung Chan, The Gazette

 

Don Giovanni – Zerlina

Opéra de Montréal, 2016

« Quant à Hélène Guilmette, on peut dire qu’elle est au sommet de son art et vole pratiquement la vedette tellement son jeu et sa voix sont subtils et maîtrisés. En plus d’être drôle et coquette en Zerlina, chaque note qu’elle chante est un délice. » Caroline Rodgers – La Presse

« Hélène Guilmette est une parfaite Zerline. » Christophe Huss – Le Devoir

« Sopranos Emily Dorn as Donna Anna and Hélène Guilmette as Zerlina were bright and compelling in their arias, while also providing excellent counterpoint to their male cast mates in ensemble scenes. » Kiersten van Vliet – MyScena

« Des sopranos Layla Claire (Donna Elvira) à Emily Dorn (Donna Anna), jusqu’à Hélène Guilmette, dans celui de Zerlina, ce trio de femmes illumine avec justesse. » Christophe Rodriguez – Le Journal de Québec

 

La Bohème – Musetta

Opéra de Québec, 2016

«  La soprano Hélène Guilmette interprète, pour la première fois, une Musetta à la belle prestance. » Yves Leclerc – Journal de Québec

« On suit les tourments et les joies que lui amène Musetta avec empathie. Celle-ci est jouée par une Hélène Guilmette fougueuse et, elle aussi, très touchante à cause de la multitude d’émotions qui l’habitent. » Josiane Desloges – Le Soleil

 

Persée (Lully) – Andromède

L’Arsenal de Metz, Théâtre des Champs-Elysées & Opéra Royal de Versailles, 2016

« Andromède la fille unique de Céphée, quant à elle, revient à la soprano canadienne Hélène Guilmette. Ses doux accents flattent avec un certain délice les oreilles sur l’ariette le Devoir sur mon cœur vous donne un juste empire (…) peut-il être jaloux d’un malheureux rival ? L’émission est claire, brillante constituant ainsi une des plus belles voix de cette distribution. Un saisissant clair obscur se crée entre ces deux interprètes, le jour naissant sur cet angélique visage et la nuit ténébreuse de ce frère à qui Andromède a été promise. » Jean-Stéphane Sourd-Durand – BaroquiadeS

« [Hélène Guilmette] tire son épingle du jeu grâce à sa voix candide au timbre éclatant, admirablement projetée. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Chez les dames, on aura préféré […] le chant pur et émouvant d’Hélène Guilmette, fort touchante Andromède. » Pierre Degott – ResMusica

« Très belle Andromède d’Hélène Guilmette, sensible et délicate, tout en jolis phrasés et subtils ornements. » Raphaël Dor – Concert Classic

« Hélène Guilmette campe une Andromède aussi expressive que le fut sans doute Sophie Arnould en 1770. Sa voix chaude et légèrement acidulée se plie à toutes les inflexions, et son récitatif se teinte de couleurs subtiles qui en rehaussent l’intérêt. Elle est Andromède, incontestablement. » Pierre-Antoine Miron – Le Babillard

 

L’Étoile – Princesse Laoula

Royal Opera House, Covent Garden, 2016

« Guilmette can be exquisite. » Tim Ashley – The Guardian

« Lazuli falls in love with Princess Laoula (beautifully sung by Hélène Guilmette with a welcome seriousness in all the right places). » Kate Kellaway – The Guardian

« There is a fine quartet of French-speaking singers (Hélène Guilmette, Julie Boulianne, Francois Piolino and Aimery Lefèvre) in leading roles. » Barry Millington – The Standard

« Hélène Guilmette as Laoula sing with great charm and a splendid sense of idiom. » Mark Valencia – What’s on stage

« Hélène Guilmette sings the disguised princess Laoula very prettily and with due diligence » Stephen Jay-Taylor – Opera Britannia

« Kate Lindsey and Hélène Guilmette sang sweetly and truly as the lovers, Lazuli and Laoula » 

Amsterdam DNO, 2014

« Ottima anche la dolcissima Laoula di Hélène Guilmette. » Edoardo Saccenti – Operaclick

« French Canadian soprano Hélène Guilmette is a lovely Princess Laoula, at her best in the song “Tous deux assis dans le bateau”. » Nicolas Nguyen – Bachtrack

« Hélène Guilmette offre toute sa fraîcheur délicate à Laoula » Nicolas Blanmont – Opéra Magazine

 

Dido and Aeneas – Belinda

Tournée avec les Violons du Roy (Québec, Montréal, Carnegie Hall), 2015

« Hélène Guilmette was impressive as Belinda, as easy as a breeze in the woods, and she stole the show in parts. » Lev Bratishenko – Montreal Gazette

« the soprano Hélène Guilmette as Belinda (Dido’s confidante) [was] among the excellent soloists » Anthony Tommasini – New York Times

« Face à un tel monument du chant mondial, Hélène Guilmette est une Belinda vocalement parfaitement assortie ». Christophe Huss – Le Devoir

 

Pelléas et Mélisande – Mélisande

Opéra de Lyon, 2015

« Hélène Guilmette campe une étonnante Mélisande, au timbre clair elle aussi, femme fatale et animal blessé à la fois, qui ne parvient jamais à trouver le bonheur, sauf peut-être quand elle décide de mettre fin à ses jours. » Patrick Scemama – Opéra Magazine

 

Castor et Pollux – Télaïre

Théâtre du Capitole de Toulouse, 2015

« incarnation saisissante et touchante d’Hélène Guilmette en Télaïre. L’air sublime de l’acte II « tristes apprêts, pâles flambeaux » arrache des larmes et…un tonnerre d’applaudissements mérités. » Jean-Claude Hulot – Resmusica

« Il en est de même pour Hélène Guilmette, dont la grâce et la sensibilité sont intactes depuis les Indes galantes sur la même scène, et dont les piani flottants ensorcellent. » Maurice Salles – Forumopera

« Cette dernière trouve en Hélène Guilmette la soprano idéale et une interprète d’une merveilleuse justesse. Musicienne accomplie, cette cantatrice au timbre lumineux et au registre supérieur d’une belle étoffe, nous offre les plus beaux moments vocaux du spectacle. Ce qui n’est pas peu dire » ! Robert Pénavayre – ClassicToulouse.com

 

Orfeo ed Euridice – Euridice

Maggio Musicale Fiorentino, 2014

« l’Euridice di Hélène Guilmette, [è] dotata di invidiabile presenza, freschezza vocale e chiarezza di fraseggio » Silvano Capecchi – Operaclick

« Euridice è cantata da Hélène Guilmette: voce interessantissima, da soprano lirico. Un naturale vibrato stretto l’aiuta in questo ruolo breve, ma intensissimo. Il timbro (…) è sorretto da una dizione italiana ragguardevolissima: un’ottima tecnica le consente di esprimere molto, dosando e miscelando aperture e messe di voce, smorzando, trilli, nel duetto con Orfeo, dove le loro voci si armonizzano assai bene e nella sua intensa aria, «Che fiero momento!» (III). » Stefano Ceccarelli – L’Ape Musicale

« Euridice, esangue e spettrale, è Hélène Guilmette che affronta con facilità il ruolo » Gaja Hubbard – GBOpera

 

Les Mamelles de Tirésias – Thérèse

BBC Symphony, 2014

« Hélène Guilmette as Tirésias and Jean-François Lapointe as the name-less husband entered into the fun with great gusto and both negotiated their tricky singing roles skilfully. » Alan Sanders, Classical Source

« Canadian Hélène Guilmette’s bright soprano was in radiant form in the Pie Jesu (Fauré’s requiem)…Guilmette sang with deliciously authentic francophone verve, while coping with everything that Apollinaire’s surrealist text and Poulenc’s crisp writing threw at her, including a newly topical appearance as a bearded lady ». Martin Kettle, The gardian

Opéra de Lyon, 2010

« Aussi adroite comédienne que plaisante chanteuse, Hélène Guilmette campe une Thérèse truculente, dont les revendications, pour avoir près d’un siècle, sont curieusement modernes. » Bruno Villien, Opéra Magazine

« On a quitté Hélène Guilmette lumineuse Constance dans les Dialogues niçois de Carsen/Plasson, la voilà Thérèse étourdissante, féministe certes mais aussi féminine jusqu’au bout des ongles. Le timbre est exquis, d’une radieuse juvénilité et l’on goûte -avec délectation- cette diction parfaite qui fait honneur à l’écriture Poulencienne ». Arnaud Buissonin, Resmusica

 « Après son émouvante Sœur Constance à Nice, nous retrouvons Hélène Guilmette dans le rôle de Thérèse/Tirésias. La soprano canadienne, irréprochable de diction, délivre sans efforts et à la perfection les nombreux suraigus dont est truffé le rôle. En plus d’un abattage incroyable, on admire la pureté d’un timbre toujours aussi prenant ». Emmanuel Andrieu, ForumOpera

 « De même, à côté de la Thérèse – ou Tirésias, c’est comme on voudra – d’Hélène Guilmette, éblouissante tant vocalement que dramatiquement ».Gérard Corneloup, Anaclase. Com

 « Si les chanteurs séduisent par leur talent dramatique, la distribution n’est pas toujours à la hauteur, à l’exception de la soprano québécoise d’Hélène Guilmette (Thérèse) qui résiste aux aigus périlleux de la partition ». Antonio Mafra, Le Progrès

Opéra Comique, 2011

« Hélène Guilmette, hier Sœur Constance à Nice, campe ici une Thérèse pleine d’abattage scénique et vocal, drôle sans outrance, homogène sur une tessiture que Poulenc veut longue : il faut désormais compter avec la soprano canadienne. » Didier van Moere, ConcertoNet.com

« Une très jolie distribution, dominée par Thérèse (Hélène Guilmette) » Philippe Houbert, ClassiqueInfo.com

« L’héroïne Thérèse, rayonnante Hélène Guilmette » Nicole Duault, Altamusica.com

 

Stabat Mater, Poulenc

Accademia Santa Cecilia, Roma 2014

« La cantante canadese,  soprano lirico leggero, ha regalato dei momenti di rara bellezza nel “Vidit suum” dove il suo timbro dolcissimo ha permesso di realizzare un’estasi lirica che si innestava perfettamente con il coro. L’intensità dolente con cui la cantante si è espressa nel “Fac ut portem” ricordava da vicino la drammatica aria dell’orto degli Ulivi di Madame Lidoine nei Dialoghi. Infine sublime l’esecuzione del “Quando corpus morietur”dove le sue espansioni su un registro molto acuto conducevano direttamente alla gloria del Paradiso. » Massimiliano Maurizi – GBOpera

«…ma straordinaria si è rivelata la performance del soprano Hélène Guilmette, soprattutto per l’intensa vocalità espressa
 ». Sergio Prodigo , Focus Italy.net

 

Werther – Sophie

Opéra de Paris, 2014

« Hélène Guilmette a elle aussi illuminé la soirée de sa voix fraiche et bien placée » Pierre Degott – Resmusica

« À ce duo d’exception s’ajoute une troisième très belle voix française, celle de la jeune québécoise Hélène Guilmette, Sophie toute de clarté juvénile, timbre d’une pureté de source, spontanée, naturelle, musicienne avisée également. » Gérard Mannoni – Altamusica

« Hélène Guilmette campe une Sophie fine, pétillante et toute de fraîcheur. » Michel Le Naour – Concertclassic

« Hélène Guilmette, elle, n’est que fraîcheur et lumière en Sophie, jamais fadeur. » Didier von Moere – ConcertoNet

« Hélène Guilmette, très exquise Sophie, vive, gaie, aux aigus délicieusement flottés ». André Tubeuf – L’œil et l’oreille.

« la Sophie d’Hélène Guilmette, espiègle sans rien de pointu, et d’une musicalité infaillible » Richart Martet – Opéra Magazine

 

Récital

Amphithéâtre Bastille, 2013

« Déjà familière du public parisien pour ses apparitions à la scène, Hélène Guilmette révèle ici de très précieuses qualités de récitaliste : la voix est ravissante, pas immense mais admirablement projetée, avec un grave et un médium joliment fruités, un aigu brillant et d’exquis pianissimi. Cette technique excellente se double d’une diction alliant clarté et naturel, sans jamais rien d’exagéré. […]
Plus que tout, la soprano canadienne est une artiste immédiatement communicative – quelques explications données sans façons ajoutent encore à la proximité -, au charme physique et vocal évident, et don l’éclat sait à l’ocasion se voiler de mélancolie ou de nostalgie. » Thierry Guyenne – Opéra Magazine

 

Dialogues de Carmélites – Soeur Constance

Toronto Canadian Opera Company, 2013

« Hélène Guilmette is a delight as Sœur Constance, her bright agile soprano the perfect medium for a young woman who finds joy in everyday life. » Christopher Hoile, Opera News

« Hélène Guilmette defines Constance, Blanche’s sister novice, with a honeyed voice and equally sweet temperament. A chirpy, upbeat village girl who sees God’s plan in all things, she’s the perfect counterpart to Bayrakdarian’s fearful Blanche. » Jon Kaplan – Nowtoronto

« Hélène Guilmette, playing a charming, saucy, winning Sister Constance » Robert Harris – The globe and mail

“…soprano Hélène Guilmette was suitably sparkling as Sister Constance”. Arthur Kaptainis, National Post

« Hélène Guilmette proved another of the show’s highlights as a radiant Constance. Ms. Guilmette’s warm, substantial soprano has an engaging youthful glow to be sure, but also boasts an underlying mettle that brings more than an ounce of starch to the usual Pollyanna. » James Sohre – Opera today

« Hélène Guilmette was a pure-voiced Sister Constance » Heidi Waleson, The Wall Street Journal

Opéra de Nice, 2010

« Hélène Guilmette (est) absolument remarquable en Sœur Constance » Richard Martet, Opéra Magazine

«Hélène Guilmette est idéalement Sœur Constance. » Monique Barichella, Altamusica.com

« Hélène Guilmette, séduit aussitôt par sa fraîcheur et sa pureté lumineuses, avec, pour le coup, des registres parfaitement soudés et de jolies couleurs. » Didier van Moere, ConcertoNet

« Hélène Guilmette (est) absolument remarquable en Sœur Constance » Richard Martet, Opéra Magazine

Staatsoper de Munich, 2010

«Auffallend der Silberton in der Stimme von Hélène Guilmette als heiter-naive Constance. » Beate Kayser, Merkur.de

« Völlig zu Recht und wohlverdient holten sich am Ende Hélène Guilmette (Constance) enthusiastischen Beifall ab. » Laszlo Molnar, KlassikInfo.de

« Carton plein pour la Sœur Constance d’Hélène Guilmette que nous avions adoré en Sophie dans le Werther strasbourgeois de l’an passé. Hélène Guilmette est Constance : la fraîcheur, l’insouciance, la beauté et la souplesse de la voix – parfaite pour le rôle, l’intelligence de l’artiste : tout est là et c’est un bonheur de tous les instants. Bravo ! » Pierre-Emmanuel Lephay, Forumopera

« Hélène Guilmette, Sœur Constance idéalement gracieuse et candide » Richard Martet, Opéra Magazine

 

Les Indes Galantes – Hébé/Phani/Fatime

Théâtre du Capitole de Toulouse, 2012

“…Hélène Guilmette, the undisputed star of the show, with sparkling, chiselled tone”. Francis Carlin – The Financial Times

« Dans trois rôles fort différents (Hébé & Phani & Fatime) Hélène Guilmette a été captivante de maitrise vocale (elle a sollicité son registre grave comme le suraigu), déclamatoire et expressive ; seule une chanteuse pleinement maître de son outil vocal et de sa poétique personnelle pouvait, à ce point, illuminer une représentation. » Franck Langlois – ResMusica.com

« Hélène Guilmette leur dame le pion, radieuse, exquise, à l’aise dans la fantaisie comme dans l’émotion. » Michel Parouty – Opéra Magazine

« Apparaît bientôt Hébé, remarquablement incarnée par Hélène Guilmette qui, avec une déclamation minutieuse quoique jamais laborieuse, un timbre avantageusement impacté et une conduite maîtrisée, se révèle bientôt LA voix de la soirée.…et par Hélène Guilmette, toujours Phani idéale. On la retrouve dans l’Entrée suivante, Les Fleurs, en parfaite Fatime dont on écoute désormais les déboires. » Bertrand Bolognesi – Anaclase

« Hélène Guilmette als Hébé und Aimery Lefèvre als Bellone waren die Stars des Abends. » Thomas Migge – KlassikInfo.de

« Hélène Guilmette (…) en Phani et en Fatime, (…) se révèle sublime, pleine de sensibilité, le phrasé élégant, le timbre clair, la voix ductile, la prononciation parfaite. » Jean-Charles Jobart – ClassiqueInfo.com

« Canadian soprano Hélène Guilmette’s had a remarkable performance in her three different characters. She is a light soprano, with an attractive voice and figure who sings with gusto. » José Ma Irurzun – SeenandHeardInternational.com

« Quant à Hélène Guilmette, elle ravit dans chacun de ses emplois par la sensibilité d’une ligne au charme pudique et un timbre ductile, qui trouve son plein épanouissement dans l’air italien que le manuscrit des Indes galantes conservé à la Bibliothèque de Toulouse ajoute à l’entrée des Fleurs ». Mehdi Madhavi – Diapason

« On distinguera Nathan Berg …et Hélène Guilmette (dont la crânerie vient à bout de l’épreuve du prologue) qui fait dans les règles de l’art une démonstration de chant orné, avec une grâce et une sureté admirables. » Maurice Salles – Forumopera.com

 

Amadis de Gaule – Oriane

Opéra Comique, 2012

« Hélène Guilmette, a lovely Oriane makes a special impact in back-to-back minor-key arias in wich she first laments her fate and then grieves over Amadis’s supposed death ». George Loomis – New-York Times

« La soprano Hélène Guilmette vocalement à merveille une partie souvent difficile » François Lehel – Opéra Magazine

« Le plateau vocal, jeune, est dominé par le soprano rayonnant d’Hélène Guilmette (Oriane). » Marie-Aude Roux – Le Monde

« La distribution est sans conteste dominée par l’Oriane d’Hélène Guilmette. » Nicolas d’Estienne d’Orves – Le Figaro

« Hélène Guilmette pare Oriane d’une dynamique délicate et charnue. Elle seule chante, donc, en dialogue avec les musiciens du Cercle de l’Harmonie qui déploient les courbes effervescentes animant la tragédie » Mehdi Mahdavi – Diapason

« La distribution me semble dominée (…) par le lyrisme plus juvénile et très pur d’Hélène Guilmette en Oriane. » Harry Halbreich – L’Avant-Scène Opéra.com

« … Hélène Guilmette en revanche convainc sans forcer grâce à son souci de la ligne, de la couleur, du naturel, toujours proche du verbe ». Alexandre Pham – classiquenews.com



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