Critiques de Luisa Miller

 

Luisa Miller – Liège

 

« Prise de rôle réussie d’abord, pour Patrizia Ciofi (…) la soprano italienne est, de bout en bout, sublime. (…) Dans les duos avec Miller puis Rodolfo, comme dans le bouleversant trio final, c’est à une véritable leçon de chant que l’on assiste : contrôle absolu de l’émission, intensité du phrasé, qualité du legato, sens du clair-obsucur, pianissimi distillés avec science. Rien de gratuit, de surcroît, dans cette démonstration, mais une gamme d’effets constamment mis au service de la crédibilité du personnage et de l’émotion.
Richard Martet – Opéra Magazine

 

« La Luisa de Patrizia Ciofi ne déçoit pas. La voix explore au fur et à mesure une palette de couleurs diversifiée et subtilement contrastée, le chant demeurant fidèle à un style belcantiste de bon goût […] La soprano, qui incarne ce personnage pour la première fois, conjugue virtuosité et expressivité en musicienne chevronnée. »
Sébastien Foucart – Concertonet

 

« Comédienne juvénile et prenante, telle qu’on la connaît, l’extraordinaire Patrizia Ciofi forme avec le ténor américain un couple proche de l’idéal. […] Au III, son merveilleux chant di grazia et ses messe di voci, soutenus par le sfumato du timbre, exercent tout leur pouvoir d’envoûtement et la salle entière l’écoute avec dévotion. »
Emmanuel Andrieu – Opera Online

 

« Prise de rôle magistrale pour Patrizia Ciofi en Luisa, habitée et magnétique, comme hallucinée même au troisième acte. La voix est extraordinairement homogène sur tout l’ambitus, la légère ombre caractéristique de son timbre sied parfaitement au personnage. »
Philippe Carbonnel – La Lettre du Musicien

 

« Naarmate de avond vorderde, zong ze echter bij vlagen fenomenaal en bovenal zeer gepassioneerd, zoals Verdi dat verlangt. Haar Luisa was broos, wat met name in de laatste akte erg goed uitpakte. »
Au fil de la soirée, elle a chanté de façon véritablement phénoménale et surtout très passionné, tel que Verdi l’exige. Sa Luisa était fragile, et a vraiment fonctionné en particulier dans le dernier acte.
Lennaert van Anken – Opera Magazine

 

« Au troisième [acte], son lyrisme vocal et son engagement dramatique font basculer la soirée dans l’émotion pure. »
Christian Merlin – Le Figaro

 

« A cette maturité et cette intelligence, répond point par point en totale osmose la Luisa de Patrizia Ciofi. (…) La soprano transcende par l’engagement ses limites naturelles. (…) Les pichiettati d’abord esquissés dans « Lo vidi, e’l primo palpito » se concrétisent au troisième acte lors du duo avec Miller, avant une scène finale d’une évidence telle que les quelques réserves susceptibles d’être émises sont balayées d’un coup d’un seul. »
Christophe Rizoud – Forumopera

 

« En el caso de Patrizia Ciofi sorprende francamente lo bien que le cae esta partitura, tan preñada de belcanto, y en la que brillan sus indudables dotes tanto para el canto spianato como para los pasajes de agilidad. Ya desde el comienzo, con un fresco y desenvuelto «Lo vidi e’l primo palpito » se mostró Ciofi en plena forma. Aquí (…) nos encontramos no sólo ante una solista solvente en el canto florido («La tomba e un letto sparso di fiori »), sino ante una voz excelsamente proyectada, segura esta vez en el agudo y con un centro más confiado y sólido. Ciofi es además una artista con temperamento, de esas que ponen toda la carne en el asador cuanto están en escena, sin arredrase. Su gran escena, con «Tu puniscimi, o Signore » y «A brani, a brani, o perfido » fue un compendio de virtudes: agilidad, temperamento, lirismo, teatralidad. Fantástica pues debutando con un rol que le cae como un guante. »

En ce qui concerne Patrizia Ciofi, on est franchement surpris à quel point cette partition lui convient, tellement empreinte de bel canto, et dans laquelle brillent son talent incontestable aussi bien pour le chant spianato que dans les passages d’agilité. Dès le début, avec un «Lo vidi e’l primo palpito » frais et désinvolte Ciofi se montre en grande forme. Ici nous nous retrouvons non seulement face à une soliste au chant fleuri («La tomba e un letto sparso di fiori »), mais devant une voix excellemment projetée, sûre cette fois dans l’aigu et avec un medium plus confiant et solide. Ciofi est également une artiste de tempérament, de celles qui risquent le paquet quand elles sont sur scène, ne reculant devant rien. Sa grande scène, avec «Tu puniscimi, o Signore » et «A brani, a brani, o perfido » était un condensé de ses qualités : agilité, tempérament, lyrisme et théâtralité. Fantastique donc dans ses débuts dans ce rôle qui lui va comme un gant.
Alejandro Martínez – Colodario.com

 

« Patrizia Ciofi [est] souvent bouleversante, grâce au sfumato de son timbre et à son phrasé éperdu. (…) L’ineffable duo que nous offrent ces deux chanteurs à l’Acte III nous a tiré des larmes… »
Olivier Rouvière – Concert Classic

 

« Patrizia Ciofi, au zénith de sa gloire et présente sur toutes les scènes du monde, s’est surpassée par la finesse de son chant et l’intelligence de son incarnation. »
Bruno Peeters – Crescendo Magazine



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