Julie Pasturaud – Press review

Dialogues des Carmélites – Madame de Croissy

Opéra royal de Wallonie-Liège, 2023

« Mais par-dessus tout, il convient de fêter comme il convient Julie Pasturaud en Madame de Croissy, sans doute la grande révélation de ce spectacle total, en vieille supérieure-Prieure malade puis agonisante, tant pour la véracité dramatique de son expression que pour la totale justesse de sa vocalité : l’impressionnante largeur de sa tessiture, depuis des graves abyssaux jusqu’aux aigus les plus volontairement blafards, donne l’exacte mesure d’un personnage aussi crépusculaire que hanté, au péril même de sa foi, par de très pessimistes visions apocalyptiques. » Benedict Hévry – ResMusica

« Dans le rôle bouleversant de Madame de Croissy, la première Prieure, les couleurs chaudes et maternelles de Julie Pasturaud offrent de somptueux instants. » Vincent Borel – Concert Classic

« Quand tant de directeurs distribuent encore Mme de Croissy à des chanteuses aux moyens vocaux dégradés, Julie Pasturaud est un choix inattendu et bienvenu pour incarner la vieille prieure. L’incarnation physique du personnage est proprement hallucinante : grimée en vieillarde cacochyme, le visage boursoufflé et les jambes couvertes de plaies variqueuses, la chanteuse compose une mère supérieure sévère et effrayante. L’humanité du personnage est en revanche bien présente dans la voix de l’artiste, notamment dans toute la longue scène d’agonie que Julie Pasturaud chante en respectant scrupuleusement les indications de la partition quand tant d’autres artistes avant elles parlent certaines répliques et ponctuent leur chant de râles d’une esthétique désuète. » Première Loge Opéra

« Julie Pasturaud, mezzo‑soprano à la voix remarquable, explore avec intensité et avec conviction le rôle de Mme de Croissy dont l’agonie nous saisit par son authenticité. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

 

Cendrillon (Massenet) – Madame de la Haltière

Opéra de Limoges, 2023

« Que dire de l’inénarrable Mme de la Haltière de Julie Pasturaud si ce n’est qu’elle nous emmène aussi loin dans le ridicule que dans la noirceur du personnage que son splendide mezzo peut procurer. Rien ne lui échappe des mots, de la prosodie redoutable attribuée au rôle et qu’elle assume crânement entourée de ces deux pestes de filles (Ambroisine Bré et Caroline Jestaedt) qui sont au diapason du comique et de la technique. » Steeve Boscardin – ResMusica

« Sa commère, Julie Pasturaud, est simplement magnifique en Madame de La Haltière. Alors qu’on offre souvent le rôle à des vedettes vieillissantes qui en accentuent les contrastes avec un excès malvenu, la mezzo française ponctue toujours les fins de phrases avec délicatesse, et n’abuse jamais du poitrinage pour accentuer les effets. Sa voix au timbre lumineux, très fluide et égale du grave à l’aigu, lui permet des vocalises nettes et des trilles parfaits, de sorte que c’est un portrait riche d’une multitude de pleins et déliés qu’elle nous offre de cette mégère qu’on adore détester. Qui sait aujourd’hui comme elle vocaliser dans un sourire comme dans « Qu’on introduise ces artistes » ? Bien entendu, sa vis comica est indéniable, et elle croque les lubies de l’aristocrate prétentieuse avec malice et gourmandise : « Deux ou trois maîtresses de roi » est d’un effet comique impayable, dans l’air « Lorsqu’on a plus de vingt quartiers ». Gageons qu’on offrira plus souvent à cette artiste des rôles de premier plan, qu’elle est manifestement capable d’endosser brillamment. » Philippe Manoli – ConcertoNet

« À rebours de ce personnage éminemment sympathique, Julie Pasturaud campe une Madame de la Haltière qui fait tout pour se rendre peu aimable, jouant d’un despotisme si forcé qu’il finit par être désopilant, et d’une hypocrisie qui prête tout autant à rire au moment de dire son amour à Cendrillon (parce qu’elle vient d’être choisie par le prince). De ce personnage tout en momerie, la mezzo-française endosse les habits avec investissement, tant scéniquement que vocalement, avec une voix charnue et creusée à la puissante projection, qui sait jouer de la comédie autant que d’un sens affirmé de la mélodie. » Pierre Géraudie – Ôlyrix

« On est heureux d’entendre enfin dans un rôle développé Julie Pasturaud, dont la vis comica et le superbe registre grave feraient une parfaite Quickly, par exemple. » Laurent Bury – Concert Classic

 

Les Mamelles de Tirésias – La Marchande de journaux

Glyndebourne festival, 2022

« Le rôle de la Vendeuse de journaux, en orange vif, est tenu par Julie Pasturaud d’un mezzo-soprano mélodieux, notamment dans le registre inférieur. » Mark Everist – Ôlyrix

 

Ariadne auf Naxos – Dryade

Opéra de Montpellier, 2022

« la Dryade bénéficie rarement d’un timbre aussi opulent que celui de Julie Pasturaud » Laurent Bury – Concert Classic

« Julie Pasturaud (la Dryade), voix riche, puissante et longue, soutient l’ensemble des nymphes, qui forment un trio d’exception (avec Norma Nahoun et Samantha Gaul) d’une entente et d’un équilibre parfaits. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

 

Récital Duparc

L’Instant lyrique, 2022

« Julie Pasturaud sait davantage ne pas céder à la tentation du son. Que de sentiments dans ce timbre duveteux, dans ces notes profondes déposées comme une offrande sur l’autel de la beauté sans que l’on ressente l’effort ou la rupture. Ce chant déroulé à la manière d’un galon de velours n’est pas sans évoquer Isabelle Vernet, qui a d’ailleurs enregistré ces seize mélodies au début des années 1990. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

 

Rigoletto – Giovanna

Opéra de Montpellier, 2021

« Parmi des comprimarii irréprochables, Loïc Félix et Julie Pasturaud donnent un beau relief, lui à Borsa, elle à Giovanna, dont la présence en habilleuse de théâtre veillant sur sa star, prend une importance accrue. » Jean-Luc Clairet – ResMusica

« Julie Pasturaud campe une Giovanna de belle tenue. » Gilles Charlassier – Toute la Culture

« Julie Pasturaud est une Giovanna au médium éclatant et à la projection sûre. » Damien DutilleulÔlyrix

« Dans les autres rôles, relevons les prestations pertinentes des mezzo Julie Pasturaud (Giovanna) […] » Première Loge Opéra

 

La Fille du régiment – La Marquise de Berkenfield

Opéra royal de Wallonie, 2021

« Le Sulpice de Pietro Spagnoli et la Marquise de Berkenfield de Julie Pasturaud assurent crânement leurs parties, mais c’est dans les dialogues qu’ils laissent éclater leur talent et mettent le public dans leur poche. » Dominique Joucken – Forum Opéra

« Mentionnons aussi l’implication très théâtrale de l’imposante Julie Pasturaud en marquise de Berkenfeld » Benedict Hévry – Resmusica

« La marquise de Berkenfield échoit, pour notre plus grande joie, comme à Avignon, à Julie Pasturaud : dès « Pour une femme de mon rang », son mezzo riche et équilibré, au timbre superbe, à la projection nette, nous venge de tant de prestations outrées et de voix usées. Sa vis comica fait mouche à chaque instant même si l’épisode de l’aveu est lui aussi hélas trop vite évacué. Mais dans la leçon de chant, Jodie Devos a une partenaire à la hauteur. » Philippe Manoli – Toutlaculture

« […] servie par des acteurs-chanteurs aussi impayables que Julie Pasturaud en Marquise de Berkenfield » Première Loge Opéra

Opéra Grand Avignon, 2020

« Julie Pasturaud nous régale par son mezzo chaud et cuivré, totalement égal sur tout l’ambitus, aux aigus pleins de lumière. La marquise est ici délivrée des voix fatiguées auxquelles elle est trop souvent confiée et sa composition dramatique nous ravit tout autant. On brûle de l’entendre dans un rôle encore plus consistant. » Philippe Manoli – ConcertoNet

« La Marquise de Julie Pasturaud est en tous points délectable, avec une vraie truculence dans les dialogues parlés. » Jean-Luc Clairet – ResMusica

« La marquise de Berkenfield est aussi une bonne caricature, interprétée par Julie Pasturaud, bien chantante, portant collier de perles et sac à main et racontant ses amours passées avec le capitaine Robert sur fond de musique de Love Story. » François Jestin – Bachtrack

« Julie Pasturaud campe une savoureuse marquise de Berkenfield, au jeu engagé, dont les éclats de voix sont d’une grande efficacité » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Julie Pasturaud revêt la robe de la marquise et elle lui va plutôt bien pour en faire un personnage truculent. » Bruno Alberro – Ventoux Opera

Folies d’O, Montpellier, 2018

« Julie Pasturaud campe une impayable – et surtout totalement nymphomane – Marquise de Berkenfield. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Avec son mezzo charnu et profond, Julie Pasturaud, rompant avec la triste tradition des chanteuses en fin de carrière que l’on distribue habituellement dans le rôle, donne toute sa stature vocale à la Marquise de Berkenfield dans un registre mi-sérieux, mi-bouffon. » Alfred Caron – Opéra Magazine

 

La Traviata – Annina

Opéra de Bordeaux, 2020

« L’Annina franche de Julie Pasturaud est d’autant plus intéressante que le personnage est une domestique scrupuleuse dans son travail et en retrait des émotions de sa maîtresse, loin d’une vision maternelle convenue. » GMA – Ôlyrix

« Parmi les deutéragonistes, Annina devient dans cette production un rôle visible défendu avec beaucoup de panache par la talentueuse Julie Pasturaud. » Jean-Claude Meymerit – Forum Opéra

« Les nombreux seconds rôles, d’abord, sont tous à leur place, même si le talent d’Ambroisine Bré est sous-employé en Flora, comme d’ailleurs celui de l’excellente Julie Pasturaud en Annina. » Richard Martet – Opéra Magazine

 

La Périchole – Berginella / Frasquinella

Les Musiciens du Louvre (Opéra royal de Versailles, Opéra de Bordeaux), 2020

« Mention spéciale à l’extravertie Julie Pasturaud » Guillaume Saintagne – Forum Opéra

« Adriana Bignagni Lesca ajoute son opulence sonore aux voix d’Olivia Doray et de Julie Pasturaud pour camper trois truculentes cousines » Laurent Bury – Forum Opéra

« Julie Pasturaud, éblouissante en Berginella et en Frasquinella. » Claire de Oliveira – Ôlyrix

 

I Puritani – Enrichetta

Opéra de Marseille, 2019

“L’Enrichetta frémissante de Julie Pasturaud.” Maurice Salles – Forum Opéra

Julie Pasturaud campe une Enrichetta de fière allure, avec un grain de voix riche et franc” José Pons – Olyrix

“Alors que c’est souvent un rôle sacrifié, Julie Pasturaud apporte sa voix opulente à la Reine, et caractérise fort bien ce personnage qui sauve sa peau, mais provoque le malheur.” Paul Fourier – Toute la culture

 

Il Barbiere di Siviglia – Berta

Opéra de Rouen, 2019

“La grande Berta assume le rôle de fil rouge, truffant toutes ses interventions et donc le spectacle de gags, comique de situations (défendant les intérêts de Bartolo et tentant de contrecarrer les intentions de Rosina) mais aussi musical (s’élançant par exemple dans une surenchère frénétique d’aigus par-dessus tête dans les ensembles). Cela tient au talent de son interprète Julie Pasturaud, dotée d’une nature comique et d’une riche voix de mezzo-soprano bien projetée, claire et sonore, fruitée dans l’aigu, chaude dans le grave, mixée ou poitrinée.” Joël Heuillon – Olyrix

« Pierre-Emmanuel Rousseau a fait de Berta – en dehors de son air –  un personnage hautement comique. Les applaudissements recueillis à la fin du spectacle par son interprète Julie Pasturaud en témoignent. » Brigitte Cormier – Forum Opéra

Opéra National de Bordeaux, 2019

Julie Pasturaud propulse Berta au premier plan”Forum opera

“Dans le petit rôle de Berta, Julie Pasturaud est incroyable. Le seul air du personnage, qui, habituellement est anecdotique, est une petite merveille dans son interprétation. La voix est belle, colorée dans toute son étendue. Vivement une prochaine rencontre avec ce talent.”Pedro Octavio Diaz – Classique News

 

La Ville morte – Lucienne

Théâtre du Capitole, Toulouse, 2018

« Dans de petits rôles pleins de charme brillent aussi Norma Nahoun (Juliette) et Julie Pasturaud (Lucienne). » Christine Ducq – La Revue du spectacle

« Julie Pasturaud (Lucienne) d’un beau mezzo crémeux » Paula Gaubert – Ôlyrix

 

La Périchole – Berginella / Frasquinella

Opéra national de Bordeaux, 2018

« Mention spéciale à l’extravertie Julie Pasturaud […]. » Guillaume Saintagne – Forum Opéra

« Les trois cousines – Olivia Doray, Julie Pasturaud fort avantageuse et Mélodie Ruvio- donnent toute satisfaction […]. » José Pons – Ôlyrix

 

L’Italiana in Algeri – Zulma

Opéra de Toulon, 2018

« Enfin, Zulma, troisième rôle féminin, est assurée efficacement, entre fleur et cravache, par la mezzo-soprano Julie Pasturaud. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

 

Lucia di Lammermoor – Alisa

Opéra de Toulon, 2018

« L’Alisa de la mezzo française Julie Pasturaud est une confidente de douce présence, au timbre si enveloppant d’attentions pour l’héroïne qu’il se fond dans les pupitres les plus chauds de l’orchestre. » Florence Lethurgez – Olyrix

 

Falstaff – Meg Page

Opéra national de Paris, 2017

« Dans le quatuor féminin, Aleksandra Kurzak (Mrs Alice Ford) brille par ses aigus, comme Varduhi Abrahamyan (Mrs Quickly) par la chaleur de ses graves, avec la Mrs Meg Page de Julie Pasturaud en bel équilibre central : celle-ci a en effet une voix complète et homogène, appliquée et impliquée, bien projetée et contrôlée. » Charles Arden – Ôlyrix

« Le mezzo-soprano épanoui et sonore de Julie Pasturaud propulse Meg au même rang que ses comparses quand le rôle sert souvent de faire valoir. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Grâce à sa présence vocale et scénique, Julie Pasturaud fait exister Meg Page, bien au-delà du rôle secondaire qui lui est habituellement dévolu. » Jean-Marc Piriou – Bachtrack

« Le reste de la distribution est fort bien tenu, (…) savoureuse Meg de Julie Pasturaud » Alain Duault – Opera Online

« Mais Terfel est assurément l’autre grand Falstaff de ce début de siècle (…) surveillé par l’excellente Meg Page de Julie Pasturaud. Cette dernière réussit à faire vivre un rôle parfois presque invisible et présente une voix agréable autant que colorée. » Vincent Guillemin – ResMusica

« Meg Page hérite de la calme assurance de Julie Pasturaud  »  Caroline Alexander – WebThéâtre

« Face à lui, la mezzo Julie Pasturaud et la soprano Aleksandre Kurzak sont elles aussi jubilatoires. Vocalement, la première brille par ses graves chaleureux, la seconde  par ses aigus bien projetés; les deux composent des commères moqueuses, fines mouches, virtuoses. » Dominique Poncet – Atlantico.fr

 

Cenerentola – Tisbe

« Les deux méchantes sœurs (Clara Meloni et Julie Pasturaud) rivalisent de pitreries virtuoses » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Sa comparse, Tisbe est la mezzo-soprano au timbre chaleureux et généreux Julie Pasturaud qui joue la comédie de manière très convaincante : prétentieuse, puis minaudant ou renfrognée. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

 

Carmen – Mercédès

Verbier Festival, 2016

« Parmi les autres protagonistes, il faut mentionner la belle prestation, la belle vocalité et l’entregent de la mezzo française Julie Pasturaud (Mercédès) » Jacques Schmitt – Resmusica

 

L’Enfant et les Sortilèges – La Bergère, Un Pâtre, L’Ecureuil, La Chatte

Orchestre Philharmonique de Radio France, 2016

« On retrouve avec plaisir la toujours savoureuse Julie Pasturaud » josé Pons – Opéra Magazine

« Le lyrisme et la fantaisie, ils s’exercent à travers les interprètes : […] les expressions gourmandes de Julie Pasturaud – Bergère, Pâtre, Ecureuil et surtout Chatte intempérante » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Un duo miaulé très loin de l’opéra bouffe rossinien, porté par les facétieux Jean-François Lapointe et Julie Pasturaud. » Suzanne Lay – Bachtrack

« L’étonnante Julie Pasturaud, qui était déjà chez Slatkin (Naxos), irrésistible en Bergère » Jacques Bonnaure – Classica

Orchestre de Paris, 2015

« Mention admirative à l’Enfant d’Hélène Hébrard, à Sabine Devieilhe, Julie Pasturaud, et François Piolino ! » Remy Louis, diapasonmag

« On sent d’ailleurs un véritable jeu d’acteurs, comprenant le sens ludique de ce mot : ils s’amusent et prennent plaisir (du moins le ressent-on) à réellement jouer ce qu’ils incarnent. (…) Le duo des chats est, quant à lui, hilarant et les miaulements de Julie Pasturaud sont phénoménaux de réalisme. Chacune de ses interventions est d’ailleurs marquée par une implication agréable et surprenante, peut-être davantage encore que ses camarades de scène, allant jusqu’à faire mine de se laver les oreilles à la manière du félin qu’elle incarne. » Elodie Martinez, Toutelaculture

 

Orchestre de Lyon, 2013

« Révélation absolue avec Julie Pasturaud, comedienne ahurissante, dont le timbre de Mezzo transfigure chacune des interventions, Bergère hilarante ou Ecureuil bouleversant. » Laurent Bury, ForumOpera

« Le plateau réunit une pléiade de solistes dans l’ensemble satisfaisants pour interpréter les nombreux rôles de l’œuvre, à la fois des valeurs sûres et des révélations, l’épatante Julie Pasturaud (La Bergère, La Chatte, L’Ecureuil, Un Pâtre) » Jean-Baptiste de la Taille, Resmusica

« Voluptueuse Bergère, Julie Pasturaud laisse entrevoir, sur les quelques notes pleinement chantées que lui autorise sa partie, une large et belle voix et se révèle en outre une Chatte féline à souhait, épatante de crédibilité dans des miaulements toujours très musicaux dans un duo inénarrable, plein d’humour et de séduction. » Nicolas Grienberger

 

Lakmé – Miss Benson

« Julie Boulianne respecte toutes les règles du style français, cet art de la finesse et de la délicatesse, qualités que l’on retrouve chez tous les comprimari, à l’instar de Julie Pasturaud en Mistress Benson » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Julie Pasturaud gouvernante so british » Michel Egea – Destimed

« Julie Pasturaud fait une Miss Benson très amusante sans pour autant pécher dans la voix. » Elodie Martinez – Toute la Culture

«Mrs Benson est caricaturée comme il se doit de manière plaisante par Julie Pasturaud » Fabrice Malkani – Forum Opéra

 

Hippolyte et Aricie – Oenone

Glyndebourne Festival, 2014

« La voix, souple, bien timbrée, le jeu dramatique de Julie Pasturaud lui valent d’incarner à merveille Oenone, la nourrice-confidente-manipulatrice. » Yvan Beuvard, ForumOpera

 

Orphée aux Enfers – Junon

Opéra National de Bordeaux, 2013

« Voix impeccable de Julie Pasturaud » Patrice Henriot, Opéra Magazine

 

Béatrice et Bénédict – Ursule

Barbican Center, Londres

« Julie Pasturaud impresses with her natural comic acting, the latter for her beguiling duet-nocturne with Hero.» The Stage

 

« There where plenty of rewards in the evening, a clock-stoppingly gorgeous women’s duet in Berlioz’s lazy, nocturnal tripletime sung by Katie van Kooten (Hero) and Julie Pasturaud (Ursule). » The Times

 



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