Jean-François Lapointe – Press review

La Traviata – Giorgio Germont

Opéra national du Capitole de Toulouse, 2023

« Jean-François Lapointe en Giorgio Germont est l’autre grande figure de la soirée. Le Québecquois a tissé au fil des années un répertoire d’une grande richesse, nullement circonscrite aux rôles italiens. Et pourtant, à entendre son cantabile aux accents de bronze, la vaillance émergeant à dessein, on se dit qu’on tient en lui un vivant exemple de ces barytons-Verdi, qui ne sont plus si nombreux sur le circuit. Tout le deuxième acte, construit autour de son personnage, est un pur bonheur. Thierry Verger – Forum Opéra

Opéra national de Paris (Palais Garnier), 2019

« Jean-François Lapointe incarne un Germont d’une grande humanité, son théâtre figurant pleinement les confrontations entre préjugés et empathie, entre devoir et compassion. Sa voix, toujours vectrice d’émotion lorsque le port est malmené, se muscle dans des accents d’autorité, remplissant alors l’espace d’un timbre soyeux. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

Straz Center, Tampa (Florida), 2016

« Standout performances include mezzo-soprano Sarah Nordin as Flora, Violetta‘s friend, and Jean Francois Lapointe as baritone Giorgio Germont, Alfredo‘s tormented father. There are no weak links in the cast. » Andrew Meacham – Tampa Bay Times

« Lapointe‘s rich baritone, by contrast, offered a striking counterpart to Violetta‘s, and his acting did as well. » Cathy Salustri – CL Tampa Bay

Opéra de Marseille, 2014

« Le baryton canadien Jean-François Lapointe campe un magnifique Germont, aux graves délicats, profonds, parfaitement projetés. Son personnage, à mi-chemin entre l’instituteur IIIe République et le pasteur, évoque l’austérité davantage que l’autorité, mais on devine ému face à une femme qu’il aurait sans doute pu aimer , lui aussi. » Jean-Marc Proust – Opéra Magazine

 

Carmen – Escamillo

Opéra de Marseille, 2023

« Le rôle d’Escamillo, le toréador, échoit à Jean-François Lapointe. Sa voix ample de baryton, projetée, au phrasé soigné, possède un médium éclatant et des aigus brillants, qui confèrent charme et autorité à ce séducteur. » Odile Rambaud – Ôlyrix

« L’Escamillo de Jean-François Lapointe inspire davantage la tendresse que la déférence face à un torero flambeur. La voix est ronde, résolue. Dans « Votre toast », air aussi célèbre qu’ardu, les graves sont passés avec réserve mais justesse, tandis que les aigus revêtent un timbre martial. La spontanéité lumineuse de son toréador brillera en particulier lors du duo avec José dans l’acte III. » Paul Canessa – Ôlyrix

Opéra de Marseille, 2012

« Quant au baryton canadien Jean-François Lapointe (Escamillo), il n’a pas besoin de surcharger une voix naturellement épanouie, et subjugue par une ligne de chant d’un raffinement peu coutumier dans cet emploi. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

« Jean- Francois Lapointe (Escamillo) la voce è generosa, di bel colore, buono il fraseggio e gli acuti sicuri » Jocelyne De Nicola – GBOpera

 

Dialogues des Carmélites – Marquis de la Force

Teatro dell’Opera di Roma, 2022

« Jean-François Lapointe joue le Marquis, père de Blanche – ici handicapé dans un fauteuil roulant. Sa présence scénique et vocale inspire l’élégance, avec une émission droite et mesurée, ainsi qu’un phrasé stylistiquement en place et une prosodie impeccable. Son baryton chaleureux se projette puissamment, accompagné d’un doux vibrato qui arrondit finement la phrase. » Vojin Jaglicic – Ôlyrix

« Le reste des rôles a été distribué à des noms connus du monde lyrique, Jean-François Lapointe en Marquis de la Force très naturel, très humain, au très beau timbre et à la voix qui bien projetée. » Guy Cherqui – Wanderer

Metropolitan Opera, New-York, 2019

« The opera begins in the library of the Marquis de la Force (the sturdy baritone Jean-François Lapointe, in his Met debut) » Anthony Tommasini – The New-York Times

Dutch National Opera, 2015

« Jean-Francois Lapointe è un umanissimo e commovente Marchese de la Force »  Edoardo Saccenti – OperaClick

« The relatively small male roles were luxuriously cast with baritone Jean-François Lapointe (Marquis de la Force) and tenor Stanislas de Barbeyrac (Chevalier de la Force). » Nicolas Nguyen – Bachtrack

« Intense Marquis incarné par Jean-François Lapointe » Jacqueline Thuilleux – ConcertClassic

« Jean-François Lapointe and Stanislas de Barbeyrac as, respectively, Blanche’s father and brother, were both forceful and vocally rock-solid. » Jenny Camilleri – Opera Today

Toronto Canadian Opera Company, 2013

« Jean-François Lapointe used his noble baritone and regal bearing to good end as the Marquis de la Force. » James Sohre – Opera Today

 

Werther – Albert

Opéra de Monte-Carlo, 2022

« On a applaudi la classe et la prestance du baryton Jean-François Lapointe dans le rôle d’Albert – le mari de Charlotte. » André Peyrègne – Forum Opéra

« Sans surprise, Jean-François Lapointe campe magistralement le personnage d’Albert. » Jean-Luc Vannier – Musicologie

« Jean-François Lapointe est un luxe en Albert, qu’il campe avec le formidable aplomb qu’on lui connaît, une violence contenue inquiétante, et un organe d’une santé éclatante. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Canadian baritone Jean-François Lapointe was a superb Albert. Lapointe sang with a rich timbre, a beautiful legato, impeccable diction, and a refreshingly natural approach to acting. » Robert Adelson et Jacqueline Letzter – Operawire

Opéra national de Paris, 2014

« Et grâce à la chaleur et à la noblesse de ses phrasés, Jean-François Lapointe fait merveille lui aussi dans le rôle d’Albert, auquel il donne toute sa force et toute sa dignité. » Pierre Degott – ResMusica

« Le Canadien Jean-François Lapointe est un Albert impeccable » Gérard Mannoni – Altamusica

« Jean-François Lapointe possède l’allure et la classe d’un Albert sûr de son fait, chant parfait et vrai présence théâtrale. » Michel Le Naour – ConcertClassic

« L’Albert de Jean-François Lapointe, exceptionnel de beauté vocale et d’émotion » Richart Martet – Opéra Magazine

 

Iphigénie en Tauride – Thoas

Opéra national de Paris, 2021

 « Le magnifique Jean-François Lapointe est méconnaissable en Thoas, tout tatoué, en fauteuil roulant. S’il exécute dignement les instructions particulières du directeur, il frappe comme d’habitude par sa maîtrise incontestable du français, et même en roi moche et méchant, nous sommes conquis par son instrument, par la vigueur et la beauté du chant. » Sabino Pena Arcia – Classic News

« Thoas, le monstre, en fauteuil roulant, qui exige le sacrifice des arrivants sur les côtes trouve en Jean-François Lapointe un interprète à la hauteur des imprécations haineuses dont il est seul animé. » Paul Fourier – Toute La Culture

« Jean-François Lapointe est un Thoas de luxe, sans doute aussi le plus expérimenté du plateau. Son entrée dans un fauteuil roulant est saisissante et avec son air “De noirs pressentiments” passe le premier souffle tragique de la soirée. La voix est puissante et sombre, au service du texte, suivant les emportements du personnage jusqu’aux extrêmes de la tessiture. Son bref retour à la fin de la tragédie est tout aussi marquant d’autorité et de présence. » CJM – Olyrix

 

Falstaff – Ford

Opéra de Monte Carlo, 2019

« Aux côtés de Sir JohnJean-François Lapointe (Ford) se révèle excellent, aussi bien dans les situations tendres que frénétiques : son expérience lui permet de jongler entre délicatesse, précision et puissance. » Manon Decroix – Bachtrack

« Dans le rôle du trompé imaginaire FordJean-François Lapointe offre au public une performance aboutie, démontrant la palette étendue de son expressivité, d’une diction impeccable et d’un timbre net, notamment dans ses duos, avec sa femme et Falstaff. Son air de la jalousie de l’acte II “E Sogno ? O realtà” récolte des applaudissements nourris pour son intensité et sa nuance. » Paul Canessa – Ôlyrix

Opéra de Marseille, 2015

« Deux autres vedettes incarnent le couple Ford. Jean-François Lapointe est un percutant mari jaloux, toujours bien chantant. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

Théâtre des Champs-Élysées, Paris, 2010

« Face à lui Jean-François Lapointe campe un Ford prodigieux, amère, furieux, mais fuyant la caricature pour augmenter la puissance du caractère » Jean-Charles Hoffelé – ConcertClassic

« Pour son premier rôle verdien Jean-François Lapointe fait valoir en Ford une réelle force de conviction et son habituelle intelligence musicale. » José Pons – Opéra Magazine

« Jean-François Lapointe campe un Ford jeune et impulsif, à la voix légère et aisée dans l’aigu » Simon Corley – ConcertoNet

« Le Canadien Jean François Lapointe, entendu souvent dans le répertoire français, confère à Ford sa belle stature, son timbre plaisant et son talent d’acteur » Brigitte Cormier – Forum Opéra

 

Pelléas et Mélisande – Golaud

Opéra national du Rhin, 2018 

« Dominant le plateau de la tête et des épaules, Jean-François Lapointe incarne un Golaud exceptionnel, tellement évident qu’on en oublie presque qu’il fut également autrefois un très grand Pelléas. Le baryton québécois parvient à la synthèse exacte du texte et du chant, semblant parler sur des notes, sans que jamais le moindre effort ne vienne troubler cette impression de naturel absolu. A cet égard, sa grande scène de l’acte IV représente le sommet de la soirée, déconcertante de violence et de douleur. Chaque mot claque comme une gifle, chaque note transperce la salle comme une lame, pour un grand moment d’art lyrique. » Nicolas Grienenberger – Webthéâtre

« Quelle fortune d’avoir une distribution dont l’investissement scénique est palpable, époustouflant. Le grand baryton Jean-François Lapointe interprète le rôle de Golaud avec les qualités qui sont les siennes, un art de la langue impeccable, un chant sein et habité, et sa prestance sans égale sur scène. S’il est d’une fragilité bouleversante dans les scènes avec son fils Yniold (parfaitement chanté par un enfant du Tölzer Knabenchor, Cajetan DeBloch) en cause l’aspect meurtri, blessé du personnage, le baryton canadien se montre tout autant effrayant et surpuissant, et théâtralement et musicalement, notamment dans ses « Absalon ! Absalon ! » au 4e acte, le moment le plus fort et forte de l’ouvrage. » Sabino Pena – ClassiqueNews

« Jean-François Lapointe incarne un passionnant et exceptionnel Golaud, sidérant de violence et de puissance vocale mais tout aussi touchant dans la détresse. » Michel Thomé – ResMusica

« Jean-François Lapointe, qui fut un beau Pelléas, est un formidable Golaud, certainement l’un des plus grands. Il a mûri depuis sa prise de rôle à Nantes, il y a quatre ans. La vérité de son chant, sonore, plein et clair, intelligible, jointe à un travail d’acteur exemplaire emportent l’adhésion. Par son humanité sincère, il parvient à rendre Golaud sympathique, malgré sa violence criminelle. Alors qu’il est la brute dévorée par la jalousie par qui le drame arrive, il lui donne une profondeur, une vérité psychologique qui rendent le personnage infiniment attachant. Son évolution est magistralement traduite, et nous fait partager son accablement final. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Ce dernier possède la haute stature et la voix ample du baryton Jean-François Lapointe, qui fait ressentir toutes les dimensions de ce personnage à la fois bourreau et victime. » Sophie Bourdais – Télérama

« Longtemps Pelléas recherché, Jean-François Lapointe, voix profonde et autorité naturelle, campe un impressionnant Golaud qui paraît se débattre avec d’affreux souvenirs. » Philippe Venturini – Les Echos

Angers-Nantes Opéra, 2014

« Merveilleux Pelléas pendant plus de vingt ans, Jean-François Lapointe se glisse dans la peau de Golaud avec une aisance confondante. Violent mais pas trop, blessé, torturé, il déploie un timbre d’une beauté inaltérée et une diction encore plus exceptionnelle que celle de ses deux partenaires. Un accomplissement ! » Richard Martet – Opéra Magazine

« Car Pelléas, ce n’est plus Jean-François Lapointe : tout comme son prédécesseur François Le Roux avant lui, le Québécois change d’emploi et devient Golaud : transition parfaitement réussie, tant vocalement que dramatiquement, avec une caractérisation tout en puissance concentrée, où même les accès de violence sont maîtrisés. » Christian Merlin – Le Figaro

« Jean-François Lapointe, jadis valeureux Pelléas, étrenne son Golaud ; (…) le style, les phrasés insinuants, la diction millimétrée sont d’un charme irrésistible… » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Longtemps détenteur du rôle de Pelléas, le Québécois Jean-François Lapointe faisait ici sa prise de rôle en Golaud. Voix pleine et dense, projection bien découplée, il donne au mari trompé, si souvent cantonné entre jalousie maladive et peur de l’âge, une aura sexuelle d’autant plus forte… » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Notons le Golaud impressionnant de Jean-François Lapointe, qui mène la descente aux enfers de son personnage, rongé par le doute et la jalousie, avec maestria… » Etienne Comes – ResMusica

 

Hérodiade – Hérode

Opéra de Marseille, 2018 

« En pleine forme, aussi, Jean-François Lapointe, une fois de plus somptueux, ici pour incarner Hérode. A chacune de ses sorties, et depuis plusieurs mois, nous mentionnons qu’il est au top niveau ; c’est encore le cas en ce moment. » Michel Egea – Destimed

« Le Roi Hérode, dont le rôle est le plus exposé, est ici interprété avec fougue par le baryton Jean-François Lapointe. Sa couverture vocale apporte du velours et de la noblesse à sa voix mais en atténue la largeur. Par son legato soigné et son souffle long, il offre un modèle de phrasé. Ses aigus impériaux lui offrent les bravi du public à la fin de ses airs, pour lesquels il semble se réserver […] » Damien Dutilleul – Olyrix

« Ottimo anche l’Erode di Jean-François Lapointe, solido e sicuro, finalmente un tetrarca veemente e appassionato, incapace di resistere alla passione ma non per questo insulso o debosciato. A lui spetta la pagina forse più celebre dell’opera, l’aria Vision fugitive : cantata con trasporto e sicurezza strappa un applauso caloroso al pubblico marsigliese. » Daniele Galleni – OperaClick

« Excellentes voix masculines avec l’Hérode de Jean-François Lapointe toujours aussi à l’aise et d’une autorité stylistique qui ne se dément pas. » Michel Le Naour – ConcertClassic

« Alors saluons bien bas l’Hérode monumental, pharaonique, patricien et noble à la fois (par moment on croit entendre le regretté Ernest Blanc dans le Grand-Prêtre de Dagon) du québécois Jean-François Lapointe, exemplaire de style, ici plus amoureux transi que Tétrarque saisit par la débauche et le vice. L’approche se tient, avec en prime cette diction qui mériterait de nommer l’éclatant baryton d’emblée Sociétaire du Français. » Christian Colombeau – ArtsEtSpectacles

« En Hérode Jean-Francois Lapointe monte en vigueur et nous séduit avec le lascif air Vision fugitive du deuxième acte. » Yaël Hirsch – Toute la Culture

« Hérode, influençable et changeant, perdu dans la recherche d’alliés tactiques pour se maintenir au pouvoir, trouve en Jean-François Lapointe le meilleur interprète aujourd’hui possible. Sa diction, son legato, conviennent parfaitement à « Vision fugitive ». » Patrice Henriot – Opéra Magazine

 

Faust – Valentin

Grand Théâtre de Genève, 2018

« Le Valentin de Jean-François Lapointe fait forte impression avec sa voix de baryton pleine d’autorité. » David Karlin – Bachtrack

« Au même niveau, nous placerons le Valentin de Jean-François Lapointe, bien connu certes, mais au timbre toujours somptueux, à la diction sculpturale et à l’autorité intacte. Grâce au baryton canadien, le frère de Marguerite fait jeu égal avec le trio principal, surclassant même un Méphisto […] » Richard Martet – Opéra Magazine

« À ses côtés, Jean-François Lapointe (Valentin) se distingue par l’éloquence de ses phrasés et la noblesse de son chant : c’est lui qui reçoit la plus belle ovation, méritée, en fin de représentation. » Florent Coudeyrat – Classique News

« Jean-François Lapointe (Valentin), d’une une diction parfaite » Sylvie Bonier – Le Temps

« Jean-François Lapointe, en forme superlative, incarne un Valentin à la voix pleine et sonore. Sa grande voix de baryton à l’aigu orgueilleux rend pleinement justice à un personnage un peu sacrifié et auquel il confère une profonde humanité. Il est impatiemment attendu en mars prochain pour incarner Hérode dans la trop rare Hérodiade de Jules Massenet à l’Opéra de Marseille. » José Pons – Ôlyrix

« Le déclic s’opère avec l’extraordinaire et bouleversant moment artistique que Jean-François Lapointe offre dans la scène de la mort de Valentin. » Jacques Schmitt – ResMusica

Opéra national de Paris, 2015

« Jean-François Lapointe exceptionnel d’autorité et de legato » Richard Martet – Opéra Magazine

« Lauriers enfin pour les francophones de l’étape : Anaïck Morel, charmant Siebel, et Jean-François Lapointe, Valentin drapé dans un édredon de legato infini. » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Une diction superbe et un engagement sans faille permettent [à Jean-François Lapointe] de rafler la mise et de déclencher les premiers applaudissements de la soirée à l’issue de son « Avant de quitter ces lieux ». » Antoine Brunetto – Forum Opéra

« Lapointe es un óptimo cantante » Jorge Binaghi- Mundo Clasico

« Des lauriers enfin pour le Valentin remarquable de Jean-François Lapointe » David Verdier – ResMusica

« Le baryton canadien Jean-François Lapointe, unique francophone des premiers rôles, donne du nerf et de la virilité à un Valentin tout de jeunesse vibrante. » Caroline Alexander – WebThéâtre

« Jean-François Lapointe […] campe un Valentin très investi, particulièrement émouvant dans l’air « Avant de quitter ces lieux ». » Albina Belabiod – Opera Online

« Excellent Valentin de Jean-François Lapointe, qui chante comme au concert, mais tellement bien ! » Gérard Mannoni – Altamusica

 

Ascanio (Saint-Saëns) – Benvenuto Cellini

Grand Théâtre de Genève, 2017

« Le rôle de Benvenuto Cellini est prédominant […] Jean-François Lapointe, de plus en plus investi au fil de la soirée, y excelle, conférant noblesse et émotion au personnage.» José Pons – Opéra Magazine

« Dominent Eve-Maud Hubeaux […] et encore davantage Jean-François Lapointe, dans le rôle central de Benvenuto Cellini – l’Opéra s’est appelé Ascanio uniquement pour éviter la confusion avec le chef-d’œuvre de Berlioz. Avouons-le : jamais le baryton canadien ne nous avait autant ébloui. La beauté du timbre, la facilité de l’émission, la noblesse de l’expression, la netteté et l’intensité de la fiction, opèrent ici de véritables miracles, avec un climax : l’air du premier tableau de l’acte II, l’un des plus enivrants jamais surgis sous la plume de Saint-Saëns, unissant volupté mélodique et science de l’orchestration. » Richard Martet – Opéra Magazine

« Jean-François Lapointe interprète ici le rôle de Benvenuto Cellini, personnage qui inspira également Berlioz pour son opéra à découvrir cette saison à Bastille. Le baryton chante ce rôle gigantesque à la manière d’un conteur, modulant sa voix pour faire vivre le texte, appuyant son propos de ses gestes. Son timbre d’argent, son legato et sa couverture vocale lui permettent de construire un personnage d’une grande noblesse. Son vibrato léger et son large souffle sont des outils supplémentaires pour peindre le caractère fort de son personnage. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Du côté des chanteurs solistes, tous parfaitement intelligibles en français, Jean-François Lapointe tient le haut de l’affiche avec un Benvenuto Cellini de grande tenue. » Sylvie Bonier  – Le Temps

« Jean-François Lapointe incarne un Benvenuto Cellini de belle prestance et particulièrement expressif, avec un timbre autoritaire et bien projeté. » Claudio Poloni – ConcertoNet

« Au cœur de l’action, le rôle de Benvenuto Cellini, sans doute l’un des plus lourds de toute l’histoire lyrique […] Jean-François Lapointe a relevé le défi, et lui donne une présence dont le compositeur aurait pu rêver : voix ample, dont l’autorité résolue et chaleureuse correspond idéalement au personnage. Toutes ses interventions sont d’égales réussites : de l’autorité, de la passion, de la douleur, et toujours cette humanité profonde qui nous touche. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

« Jean-François Lapointe est aujourd’hui l’un des grands interprètes de l’opéra français du XIXe siècle, et l’on ne voit pas trop à qui l’on aurait pu confier un rôle aussi écrasant que celui de Cellini, qu’il empoigne avec cette énergie qui fait tout le prix de ses incarnations. » Laurent Bury – Forum Opéra

 

La Favorite – Alphonse XI

Opéra de Marseille, 2017

«Le roi Alphonse XI de Castille est assuré par l’indispensable baryton canadien Jean-François Lapointe. Il est à la mesure vocale de sa partenaire favorite. Il y greffe la dimension institutionnelle de son personnage : autorité, charisme, puissance. Son maintien vertical, alors que son personnage est également tiraillé entre plaisir et pouvoir, annonce la bonne opération stratégique à laquelle il se livrera en réponse à la menace de l’Église. Le chanteur projette impeccablement une ligne de chant sombre et chaude en couleur, suave et violente en dynamique, limpide et ciselée en diction. Il sait faire émerger le silence absolu : « Non, rien par moi n’est regretté », carapace sonore le tenant finalement à distance de sa belle (« chaste / stérile flamme »).» Florence Lethurgez – Ôlyrix

« Le baryton québécois Jean-François Lapointe est le chant fait homme. Son Alphonse XI est un modèle d’élégance, de pureté vocale, de science musicale. » Patrick de Maria – La Marseillaise

« A ses côtés, Jean-François Lapointe, Alphonse XI, est somptueux. Le baryton nous a habitués à des prestations de grande qualité, elle le fut encore vendredi soir. Aisance, puissance, nuances : rien ne manque. Du grand chant ! » Michel Egea – Destimed

« Auprès de lui, Jean-François Lapointe, autre assurance de sérieux et de succès dans une distribution (rappelons-nous son majestueux Hamlet ou  sa remarquable prise de rôle du Wolfram dans Tannhaüser version de Paris à Monaco, nous offre un personnage d’Alphonse XI d’envergure, en particulier dans un émouvant « Pour toujours, tu m’appartiens » ponctué de très émouvantes intonations. Le baryton québécois nous donne une intelligente leçon de chant par la justesse de ses nuances qui équilibrent subtilement puissance et densité. Un travail rigoureux qui le conduira, dans un mois à Genève, à chanter pour la première fois le rôle de Benvenuto Cellini dans Ascanio de Camille Saint-Saëns. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

Théâtre des Champs-Elysées, Paris, 2015

« Au roi Alphonse de Castille, Jean-François Lapointe offre ce qu’il faut d’autorité, de chaleur et de noblesse en effectuant un parcours vocal de bout en bout exemplaire » Pierre Cadars – Opéra Magazine

 

Requiem (Fauré)

Orchestre Philharmonique de Radio France, 2017

« Le baryton québécois Jean-François Lapointe au timbre à la sombre grandeur appelle avec un volume impressionnant à être libéré de la mort éternelle (Libera me, Domine, de morte æterna). Il détache avec une nette distinction les pieuses paroles latines du Requiem. » Julien Bouvet – Ôlyrix

« Car si la tenue de la voix et la ligne des phrasés sont impeccables, Jean-François Lapointe comme Hila Fahima ont l’ampleur de chanteurs d’opéra nés et l’épaisseur de vrais personnages, lui avec son immanquable projection, elle, avec un medium gorgé d’harmoniques qui donne au célèbre « Pie Jesu » un écho moins angélique, mais partant, plus humain que de coutume. » Clément Taillia – Forum Opéra

« L’a cappella du Choeur sur l’« Offertoire » est indéniablement un beau moment, talonné par la belle intervention de Jean-François Lapointe, qui insuffle un peu du frisson de l’opéra au très réussi « Libera me ». Suzanne-Lay Canessa – Bachtrack

Orchestre Symphonique de Montréal, 2017

« Avec les compliments de Jean-François
[…] Il y eut, pour les oreilles fines, un moment très savoureux : […] l’entrée de Jean-François Lapointe dans son solo de l’Hostias. […] En 30 secondes, nous avons eu, grâce au baryton soliste, une ligne de chant, une pulsation, un tempo, une perception de la forme et une vie dans la prosodie. » Christophe Huss – Le Devoir

 

Don Carlo – Posa

Opéra de Marseille, 2017

« Jean-François Lapointe vainqueur toutes catégories.
Royale prise de rôle pour Jean-François Lapointe. Voilà un Marquis de Posa qui mérite bien sa couronne ducale. Dès son entrée en scène, de la passion amicale à l’autorité, divers, à la fois devant l’infant, le roi ou le public, chevaleresque, à l’engagement scénique et vocal exemplaires, le baryton canadien se montre encore fois grand belcantiste, au phrasé impeccable, jouant du stentato mais aussi de la sprezzatura comme s’il était familier du rôle depuis toujours. » Christian Colombeau – Le Podcast Journal

« Nous ne tarirons pas non plus d’éloges sur le Rodrigo de Jean-François Lapointe. Et pour cause : d’un bout à l’autre de cette prise de rôle, la troisième cette année après un inoubliable Hamlet en septembre 2016 puis, plus récemment, dans le Wolfram d’un Tannhäuser à Monte-Carlo, le baryton québécois, dont nous pouvons ressentir le travail régulier et rigoureux de ses rôles, nous séduit là encore par une ligne de chant impeccable. Celle-ci écarte toute défaillance dans la justesse du ton ou tout affaiblissement dans la stabilité de ses médiums ou de ses forte comme dans son très acclamé « Per me giunto à il di supremo » à l’acte III. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

« La stature vocale des interprètes principaux, avec une mention particulière pour Yolanda Auyanet (Elisabetta) et Jean-François Lapointe (Rodrigo), la précision incisive de la direction musicale de Lawrence Foster, le réalisme stylisé de la mise en scène restituent la puissance de conception de cette immense œuvre verdienne.
Son ami, Rodrigue, Marquis de Posa, est bien ce personnage double, ce médiateur actif et exposé sans lequel l’Histoire, la grande comme la petite, n’avance pas. Il est incarné avec une humble prestance par le baryton Jean-François Lapointe, dont chaque apparition colore l’œuvre de la palette subtile de ses nobles et contradictoires engagements. Il enveloppe par le souffle viril – humain surtout – de son phrasé, l’ensemble de ses partenaires jusqu’à sa mort à l’acte final (Per me giunto è il di supremo), sans jamais chercher à forcer le son. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

« A tout seigneur tout honneur, nous nous pencherons en premier lieu sur la performance du québécois Jean-François Lapointe : la beauté de l’émission, la noblesse du timbre, le legato scrupuleux et l’exemplaire conduite du souffle du baryton émerveillent dans le rôle du Marquis de Posa, dont il traduit, malgré un jeu réduit à sa plus simple expression, toute l’élégance aristocratique et l’inébranlable foi dans ses idéaux de liberté et de progrès. » Emmanuel Andries – Opera Online

« L’amitié virile qui lie les deux restera solide comme l’airain, Rodrigue allant jusqu’au sacrifice ultime pour préserver l’infant. Incarné par un Jean-François Lapointe en pleine forme, la voix bien placée, puissante et agréable, le marquis de Posa est un beau rôle verdien parfaitement honoré par le baryton. » Michel Egea – Destimed

« En solide baryton, Jean-François Lapointe confère à Rodrigo tout le panache et la sincérité requis: engagement, souplesse, et légèreté. » Christian Dalzon – ConcertoNet

« Jean-François Lapointe fait un Rodrigo poignant, il est l’ami tendre et vigilant d’un homme qui s’égare. Le baryton du Québécois est chantant et fruité, charnu et parfaitement timbré. » Patrick de Maria – La Marseillaise

 

Tannhäuser – Wolfram

Opéra de Monte Carlo, 2017

« Autre grand vainqueur de cette matinée dominicale, le Wolfram de Jean-François Lapointe dont le tempérament dynamise les ressources d’un timbre d’airain. Son émission, sa couleur, son velours, sa force, sa conviction, sa noblesse magistrale (une Romance à l’étoile pleine de tendresse et d’émotion) envoûtent littéralement. » Christian Colombeau – Sortir Ici et Ailleurs

« Le Wolfram de Jean-François Lapointe est particulièrement intéressant et l’articulation demeure tout à fait acceptable. Le personnage est ici justement sensible, jamais mièvre et tout empli d’élégance. » Sebastien Herbecq – Bachtrack

« Face à lui, le Wolfram racé et merveilleusement déclamé de Jean-François Lapointe n’appellera que des éloges. » Eric Forveille – ConcertoNet

« À une articulation parfaite, Jean-François Lapointe joint une connaissance approfondie du style français, pour un Wolfram au timbre riche et à la déclamation éloquente, digne des meilleurs barytons de notre répertoire national. » Laurent Bury – Forum Opéra

« Très justement chanté avec toujours cette impeccable diction qui nous ravit, convaincant enfin pour le registre wagnérien fut le personnage de Wolfram interprété pour la première fois par le baryton Jean-François Lapointe. Nous l’avions entendu à Marseille  dans un magnifique Hamlet. Sa romance à l’étoile « Mortel présage/Ô douce étoile »  est tout simplement mémorable et nous confirme l’étendue de son talent, légitimement ovationné par le public. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

« Jean-François Lapointe est un Wolfram magnifiquement expressif, puissant et sonore, mais également capable de détailler la « Romance à l’étoile ». » Emmanuel Andries – Opéra Online

« Autre grand vainqueur de cette matinée dominicale, le Wolfram de Jean-François Lapointe dont le tempérament dynamise les ressources d’un timbre d’airain. Son émission, sa couleur, son velours, sa force, sa conviction, sa noblesse magistrale (une Romance à l’étoile pleine de tendresse et d’émotion) envoûtent littéralement. » Christian Colombeau – Le Podcast Journal

« Sans faute en revanche pour Jean-François LapointeWolfram […] au français limpide et à la ligne de chant parfaite. » François Lesueur – Concert Classic

« Triomphe pour Jean-François Lapointe au plus haut sur le podium des Wolfram idéaux. » Jean-Luc Clairet – ResMusica

« Als Wolfram glänzte Jean-François Lapointe mit einem bewegenden Lied an den Abendstern zudem gab er der Partie große Noblesse und Präsenz. » Midou Grossmann – Weltexpress

« Le troisième acte atteint des paroxysmes. Le décor représente un paysage glacé, avec de la neige qui tombe à l’arrière plan. Elizabeth s’inquiète de ne pas voir revenir TannhäuserWolfram, l’un des chevaliers, est présent à ses côtés, l’aimant d’un amour impossible. C’est l’une des figures les plus attachantes de l’opéra. Il fait, au fil des scènes, l’apprentissage du renoncement. Sa pénétrante romance à l’étoile est une poétique prière, dans l’espoir de sauver celle qui lui est désormais inatteignable. Jean-François Lapointe, inoubliable Golaud du Pelléas et Mélisande d’Angers Nantes Opéra, apporte à ce beau personnage une interprétation pleine de vérité, par un timbre d’une miraculeuse profondeur. » Christophe Gervot – Fragil

« Jean-François Lapointe on the other hand illustrated a perfect command of the French style in his smooth interpretation of Wolfram’s music. » Erna Metdepennighen – Opera

« Ottimo il Wolfram di Jean-Francois Lapointe che con un ammirevole fraseggio, legato e ottima proiezione ha saputo dominare la sua parte in maniera eccelsa. » Simone Tomei – Amici della musica

« le Wolfram de Jean-François Lapointe au chant majuscule : maîtrise de la ligne, articulation, poids du texte et de l’expression, portée poétique, tout est leçon » Pierre Filnois – L’Avant-scène Opéra

 

Monsieur Beaucaire – Title role

Orchestre Philharmonique de Radio France, 2016

« Distribution d’où se détache avec une élégance qui ne manque ni d’allure, ni d’héroïsme Jean-François Lapointe dans le rôle de Beaucaire » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Distribution épatante réunissant deux irrésistibles couples de chanteurs : Anne-Catherine Gillet / Jean-François Lapointe et Jodie Devos / Julien Behr » Opéra Magazine

« Jean-François Lapointe est un Monsieur Beaucaire qui allie la malice à l’élégance goguenarde, laissant comprendre qu’il n’est pas ce qu’il semble être. » Emmanuelle Pesqué – Le Forum

« Se détache avec une élégance qui ne manque ni d’allure, ni d’héroïsme Jean-François Lapointe dans le rôle de Beaucaire. » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Jean-François Lapointe offrait en face un Beaucaire tout aussi dramatique, lui aussi très attentif au texte et à ses multiples saveurs, notament dans le très beau Duo de la rose qui l’uniddait [à Anne-Catherine Gillet] à merveille. » La Lettre du musicien

« La présence et le charme du Beaucaire en bras de chemises et lunettes sur le nez de Jean-François Lapointe – tour à tour faux-barbier, faux-duc et vrai prince – faisaient même un peu d’ombre au fidèle Molyneux  » François Laurent – Diapason

« Assurance que l’on connaît à Jean-François Lapointe pour Beaucaire » Pierre-René Serna – ConcertClassic

« On distingue […] le Beaucaire de Jean-François Lapointe à qui les nombreuses montées à l’aigu de son personnage ne font pas peur. » Frédéric Norac – Musicologie.org

 

Hamlet – Title role

Opéra de Marseille, 2016

« Aux côtés d’OphélieJean-François Lapointe est un Hamlet de premier plan qui rend ce couple tout à fait crédible dans de très beaux duos. Aussi juste vocalement que scéniquement, il laisse ressortir ses doutes jusque dans les inflexions de sa voix qu’il sait assombrir ou rendre plus claire dans une diction toujours parfaite. Très à l’aise, il module sa voix dans une couleur homogène et un timbre profond malgré les changements de tessitures. Jean-François Lapointe est un Hamlet convaincant dont l’allure et la prestance donnent une réelle dimension au rôle. La chanson du vin, qu’il chante, seul devant le rideau baissé, permet d’apprécier le velouté du médium qui ne cède en rien aux aigus assurés sur une belle longueur de souffle. Phrasé et musicalité sont des qualités que l’on retient chez ce baryton québécois qui marquera ce rôle. » Jocelyne De Nicola – GBOpera

« Côté musique les bonheurs sont en revanche nombreux. À commencer par l’excellent baryton canadien Jean-François Lapointe qui campe un Hamlet de tout premier ordre : diction exemplaire, sens du mot, intelligence du phrasé, soin et variété dans les nuances sont à relever. Le chant est puissant et généreux et l’incarnation scénique est particulièrement crédible. Le célèbre air « Ô vin, dissipe la tristesse » est superbement assumé. Son monologue du III « être ou ne pas être » est une merveille de subtilité et de théâtralité. » Sébastien Herbecq – Bachtrack

« Hamlet, justement, qui a les traits d’un Jean-François Lapointe toujours en grande forme. Depuis quelques années, le canadien est exact à tous ses rendez-vous se taillant à tous les coups de larges tranches de succès. En cette fin septembre, il embrasse à nouveau ce rôle d’Hamlet avec détermination. Servi par un physique des plus élégants, entre raison vacillante, passion, inquiétude, haine, il incarne à la perfection le Prince ; être ou ne pas être ? Vocalement, le baryton est impeccable ; une ligne de chant précise et volumineuse, de la souplesse, de la couleur, une diction parfaite : rien à redire. » Michel Egea – Destimed

« Le Hamlet de Jean-François Lapointe est énergique et sincère, et le baryton dose avec subtilité la peinture de l’anti-héros et du prince viril. La voix fait honneur à l’école française, avec des aigus étincelants et une diction irréprochable. » Christian Dalzon – ConcertoNet

« Lui aussi salué par une belle ovation, le baryton québécois Jean-François Lapointe assure avec d’impressionnants des moyens vocaux un Prince d’Elseneur moins pusillanime et plus mature qu’à l’accoutumée. Le chant est beau, l’articulation impeccable. » Patrick Di Maria – La Marseillaise

« Avouons d’emblée que c’est à nouveau un bonheur sans nuage que nous procurent le chant – et le jeu – de Jean-François Lapointe dans le rôle-titre […] Le baryton québecois semble aujourd’hui être sans rival dans ce rôle (son préféré nous a t-il confié lors d’une interview à paraître prochainement dans ces colonnes), et continue d’imposer une incarnation dramatique de haute volée, doublée d’un chant de grande qualité et d’une élocution du français superlative. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« On consacrera quelques lignes en revanche, à la remarquable prestation de Jean-François Lapointe. Son interprétation du rôle-titre est tout bonnement magistrale, avec une ligne magnifique, une diction souveraine, et un engagement dramatique total qui donne tout son sens à la mise en scène, qui nous avait précédemment laissés de marbre. Avec le baryton canadien, on tient assurément l’un des meilleurs Hamlet de notre époque ! » Catherine Scholler – Opéra Magazine

Opéra d’Avignon, 2015

« Dominant le plateau de sa prestance et de son port altier, Jean-François Lapointe, diction superlative, offre un chant d’une perfection à couper le souffle (Chanson à boire) et parvient à traduire superbement la psychologie d’Hamlet, ses états d’âme ondoyants. Impressionnante de naturel et d’aisance, son incarnation fera date dans ce rôle exposé. » Michel Le Naour – ConcertClassic

« C’est le chanteur québécois Jean-François Lapointe qui endosse les habits de ce Prince malheureux. Lui qui fut un Pelléas unique il y a quelques années, aujourd’hui aborde Golaud, évolution naturelle de la voix oblige. Demain des enjeux wagnériens se profilent pour lui. Depuis son Hamlet genevois en mars 2006, le timbre s’est métallisé et assombri. La projection est impérieuse, parfois violente, rugueuse. Mais le miracle est dans l’infinie musicalité dont il pare certaines phrases ainsi que la netteté d’une prosodie tutoyant la perfection, tout cela donnant ainsi du personnage un portrait vocal d’une extraordinaire richesse et d’une réelle complexité dramatique. Une belle composition largement acclamée. » Robert Pénavayre – ClassicToulouse

« C’est un écrin de belle tenue dans lequel s’épanouissent des voix de tout premier ordre, à commencer par le Hamlet inquiétant et pourtant agile de JeanFrançois Lapointe : sa diction remarquable, sa projection puissante, la poésie intense de ses interventions et ses qualités de souffle s’allient à un art consommé d’acteur. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Le baryton québecois Jean-François Lapointe, magnifique Hamlet, semble avoir encore mûri son personnage depuis ses dernières incarnations (nous l’avions entendu dans le rôle à Genève, mais il l’a également interprété à Copenhague ou Trieste) : il n’est pas seulement un chanteur de classe, mais également un « diseur » impeccable, doublé d’un acteur concerné. On ne peut que succomber à la qualité de ce phrasé, de ce style, de cet engagement, qui font merveille dans le grand trio avec Ophélie et Gertrude. Inoubliable à cet égard, l’intensité de la phrase « Allez dans un cloître, Ophélie ! ». » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Et en premier lieu, le rôle-titre, assumé par Jean-François Lapointe. Si Stéphane Degout avait empli de sa présence le héros shakespearien, le baryton québécois en enrichit considérablement la psychologie. Le timbre déploie un admirable nuancier d’affects comme de couleurs, relayé par une belle musicalité. Dès son entrée, une inquiétude point sous ce front noble et affligé. Sans amollir le caractère, il met en évidence la dialectique entre remords et détermination qui meut le personnage tout au long du drame, soulignant ainsi une évolution dynamique de son hésitation archétypale. Le style rivalise avec la plénitude des moyens vocaux: avec une incarnation pétrie d’humanité, l’on tient là assurément l’un des meilleurs Hamlet du moment. » Gilles Charlassier – ConcertoNet

 

Lucia di Lammermoor – Enrico

Opéra national de Lorraine, Nancy, 2016

« Enrico, le frère de Lucia, est également très travaillé par Jean-François Lapointe, à mille lieues des personnages monolithiques parfois présentés. Côté pile, il est un frère aimant bien qu’aveuglé par son égoïsme et sa propre angoisse : il montre une réelle tendresse lorsqu’il veille à ce qu’elle ne chute pas une fois sa raison égarée. Dès lors, ses remords gagnent en crédibilité. Mais côté face, c’est avec une violence sourde qu’il lui force la main au moment de signer le contrat de mariage. C’est avec cette même violence inexpugnable qu’il s’élance tel un écolier vers Edgardo pour un combat de cours de récréation. Vocalement, le baryton déroule la partition avec assurance, de son timbre si riche, noble dans les graves et lumineux dans les aigus. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

« Enrico, le frère abuseur puis repenti, bénéficie du métier rôdé et de la puissance de projection et de la somptuosité du timbre du baryton canadien Jean-François Lapointe » Caroline Alexander – WebThéâtre

« Tout aussi somptueux de timbre, Jean-François Lapointe confère à Enrico autorité et puissance, ainsi qu’une notable présence dramatique. » Michel Thomé – ResMusica

« Le contraste avec le métier de Jean-François Lapointe ne saurait être plus saisissant […] Son Enrico n’économise pas le sombre rayonnement d’une âme vile. La constance d’une ligne et d’un souffle solides témoignent d’une maîtrise du bel canto qui ne néglige pas le poids des mots, dans un intelligent équilibre entre son et texte que plus d’un interprète de ce répertoire tend à négliger au profit des seules notes. » Gilles Charlassier – ConcertoNet

« Dans le rôle d’Enrico, Jean-François Lapointe offre une voix sonore, généreuse, bien timbrée » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Bien connu en France, le baryton canadien Jean-François Lapointe est un Enrico solide et de belle prestance. Sa voix s’est nettement assombrie (notons qu’il est maintenant passé de Pelléas à un Golaud acclamé à Nantes comme à Helsinki). Rivalisant avec Edgardo dans les passages forte, il passe facilement l’orchestre situé ici dans une fosse profonde — idéale pour l’opéra. » Brigitte Cormier – Forum Opéra

 

Les Pêcheurs de perles – Zurga

Opéra national de Lorraine, Nancy, 2016

« Jean-François Lapointe incarne un Zurga saisissant de virilité blessée, dont la ligne, la diction châtiée ressuscitent le grand style français, sans atténuer l’éclat presque la sauvagerie, de la projection et d’un registre supérieur intrépide. » Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine

 

L’Enfant prodigue – Siméon & L’Enfant et les sortilèges – Le Chat, L’Horloge comtoise

Orchestre Philharmonique de Radio France, 2016

« Le baryton Jean-François Lapointe excelle excelle en Siméon, le père magnanime. » José Pons – Opéra Magazine

« Les parties vocales eurent la chance d’être investies par les grands Roberto Alagna et Jean-François Lapointe, en bonne forme, et, venue également du Québec, la soprano Karina Gauvin […] Un duo miaulé très loin de l’opéra bouffe rossinien, porté par les facétieux Jean-François Lapointe et Julie Pasturaud. » Suzanne Lay – Bachtrack

« Un Jean-François Lapointe sensible et nuancé » Didier van Moere – ConcertoNet

 

Dante (Godard) – Bardi

Opéra royal de Versailles, 2016

« Jean-François Lapointe hérite du « méchant » Bardi, qu’il interprète avec sa solidité coutumière, et toujours un peu plus d’aisance dans des aigus claironnants. » Laurent Bury – Forum Opéra

« Jean-François Lapointe (Bardi, compagnon de Dante dans ses mésaventures infernales) reste toujours ce baryton de style, et ici de style français idéalement projeté. » Pierre-René Serna – Concert Classic

« Jean-François Lapointe campe un Bardi assuré. » Emmanuelle et Jérôme Pesqué – ODB Opera

Prinzregententheater (Munich), 2016

« Jean François Lapointe lässt in seiner Verkörperung des Bardi keinen Ton und keine Silbe fallen, sondern präsentiert alle in einem profunden Belcanto. » Abendzeitung

« Ebenso markant und stilsicher präsentierte sich an ihrer Seite Bariton Jean-François Lapointe in der Rolle des Nebenbuhlers Simeone Bardi. » Tobias Hell – Münchner Merkur

« Ihr ebenbürtig war der kanadische Bariton Jean-François Lapointe als eifersüchtiger Siméone Bardi, der mit perfekter Phrasierung und schönstem Legato agierte. » Midou Grossmann – Musik Heute

« Ihr stimmlich ebenbürtig zeigte sich der kanadische Bariton Jean-François Lapointe in der Rolle des eifersüchtigen Siméone Bardi, dessen kräftige und dennoch warme Stimme mühelos über das Orchester drang. » Udo Pacolt – Online Merker

 

Guillaume Tell – Title role

Grand Théâtre de Genève, 2015

« Ottima, si diceva, la compagnia di canto. Jean-François Lapointe è un protagonista di grande valore, sia sul piano scenico sia su quello musicale. La voce è di timbro scuro, dotata di un bellissimo legato, perfettamente a suo agio nella tessitura medio-grave del ruolo; l’interprete asseconda assai bene quelle sfumature riflessive e intimistiche del personaggio sollecitate dalla regia.” Gabriele Bucchi – OperaClick

« Gloire au Guillaume de Jean-François Lapointe, héros sensible à la projection et au galbe avantageux. » Emmanuel Dupuy – Diapason

« Mais Guillaume Tell est surtout un opéra de voix, et là, force est de reconnaître que la distribution réunie au Grand-Théâtre frise l’idéal. Le baryton québécois Jean-François Lapointe – récemment admiré dans Hamlet à Avignon ou Moïse et Pharaon (du même Rossini) à Marseille – la domine avec son phrasé impérial, sa diction parfaite et son incroyable science des nuances et des coloris. Le comédien n’est pas en reste et Lapointe anime son personnage avec une fierté et une force de conviction qui le sortent des clichés habituels. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« The handsome Jean-François Lapointe made for a perfect Guillaume Tell : noble and tender, with a buttery baritone one could easily imagine persuading a nation to revolt. » Elodie Olson-Coons – Bachtrack

« Et le Tell de Jean-François Lapointe offre une humanité et une autorité mises en valeur par sa voix profonde et moelleuse. Une belle prise de rôle. » Sylvie Bonier – Le Temps

« Jean-François Lapointe est, lui, un Guillaume Tell qui habite la scène avec prestance, d’une voix boisée et précise. » Rocco Zacheo – La Tribune de Genève

« Canadian Jean-François Lapointe’s technique is a model of how to project one’s voice. He displayed authority, and there was no need to look at the subtitles to understand every one of his words. » Antoine Lévy-Leboyer – Seen and Heard International

« Le baryton québécois Jean-François Lapointe s’impose vite en Guillaume Tell, sans forcer ni surjouer, et peut sûrement envisager un bel avenir dans ce rôle. » François Cavallès – Anaclase

« Quant à Jean-François Lapointe, son Guillaume Tell a la solidité attendue […] « Sois immobile » est un beau moment d’émotion. » Laurent Bury – Forum Opéra

« Jean-François Lapointe lui oppose un splendide Guillaume, au chaleureux et puissant médium. Lui aussi d’une ardente présence, le baryton canadien se montre impressionnant d’autorité au finale du II, puis magistral de phrasé dans « Sois immobile ». » François Lehel – Opéra Magazine

 

Moïse et Pharaon – Pharaon

Opéra de Marseille, 2014

« Le baryton québécois Jean-François Lapointe, que nous avions beaucoup apprécié en décembre 2013 dans La Favorite à Monte-Carlo, campe pour sa part un Pharaon dont la magnifique sobriété vocale reflète l’isolement du pouvoir » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

« Le Pharaon du Québécois Jean-François Lapointe offre plus de distance, […] avec une noblesse de teintes et une rigueur du chant qui donnent à son rôle de monarque hésitant une profonde humanité. » Patrick de Maria – La Marseillaise

« Le Pharaon de Jean-François Lapointe fait lui aussi face à son destin avec une jactance souveraine. » Marie-Aude Roux – Le Monde

« Vocalement, Jean-François Lapointe impose sa voix de baryton avec mesure, efficacité, et justesse d’interprétation. Ce chanteur québécois n’est nullement gêné par la langue française, ce qui lui permet de chanter avec aisance et musicalité dans un phrasé au legato parfait. Parfait aussi est son style qui lui permet de rentrer dans la vision des autres personnages nous donnant à entendre un beau duo de voix graves avec Moïse. Sa voix se joue des délicates vocalises, tout en gardant une homogénéité et une belle rondeur de son. » Jocelyne de Nicola – GBOpera

« Le baryton-basse canadien Jean-François Lapointe […] marie un timbre riche à une superbe ligne de chant. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Jean-François Lapointe, mit wirklich internationalem Format, beherrscht als Pharaon wie ein König die Bühne. Lapointe singt den Pharaon zum ersten Mal, doch er hat ein so großes „métier“, dass man das wirklich keine Sekunde hören konnte. » Waldemar Kamer – Online Merker

« Pharaon riceve da Jean-François Lapointe il materiale e l’acume di quello che è oggi, con Ludovic Tézier, il baritono francofono tecnicamente più ferrato: ha l’autorevolezza dell’accento nei recitativi non meno che una coloratura decorosa nel- lo scabroso duetto con Aménophis. » Francesco Lora – Il Corriere Musicale

 

Les Mamelles de Tirésias – Le Mari

BBC Symphony, 2014

« As her husband, Jean-François Lapointe especially shone in Act II, telling Thomas Morris’ Journalist about his 49,049 new children, and his delight over the extortionate nature of child number 49,050. His ringing baritone and excellent diction proved a good fit for the role » Aksel Tollali – Bachtrack

« Hélène Guilmette as Tirésias and Jean-François Lapointe as the name-less husband entered into the fun with great gusto and both negotiated their tricky singing roles skilfully. » Alan Sanders – Classical Source

 

Cléopâtre – Marc-Antoine

Opéra de Marseille, 2013

« La distribution […] est dominée par Jean-François Lapointe, Marc-Antoine d’une superbe qualité de timbre, au chant admirablement surveillé et à la diction d’une netteté exceptionnelle. » Richard Martet – Opéra Magazine

« Jean-François Lapointe, […] baryton superbe, électrique, qui emporte l’adhésion immédiate » Gérard Condé – Diapason

« The cast is dominated by Jean-François Lapointe’s world-class Mark Antony – supreme stage confidence, exactly the right mix of surface machismo and underlying fragility and a handsome, robust baritone. » Francis Carlin – Financial Times

« Puissant et stylé, le Triumvir de Jean-François Lapointe domine avec une indiscutable autorité une distribution où personne ne démérite » Monique Barichella – Altamusica

« Le baryton québécois Jean-François Lapointe, qui lui donne la réplique en Marc-Antoine, évolue sur les mêmes sommets, avec une superbe autorité tant vocale que scénique. Son chant est de bout en bout captivant grâce à son timbre mordant, sa diction racée, son intense musicalité et son formidable sens des couleurs et des nuances. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

« Indubbiamente Jean-François Lapointe domina il cast. Conferisce una dimensione veramente particolare a Marco Antonio; una bella andatura, una bella prestanza, vivo, energico, in preda ai dubbi, si mette alla prova con le sue debolezze anche se non sempre le comprende. (…) Ogni nota viene cantata con precisione e suona calda, nessuna debolezza in tutti i registri; gli acuti sono potenti ed gli attacchi sono netti senza durezza. La dizione rifinita conferisce al suo personaggio una grande credibilità. È indiscutibilmente per Marco Antonio che Jules Massenet ha scritto le più belle melodie. » Jocelyne de Nicola – GBOpera

« En Marc-Antoine, Jean-François Lapointe a été remarquable de densité vocale et physique et de présence théâtrale ; il a rendu évident que cet ouvrage aurait dû s’intituler « Marc-Antoine » tant le livret rend la reine d’Égypte passive et tant le fil de sa vie suit les décisions du triumvir. » Frank Langlois – ResMusica

« Its hero, Marc Antoine was impersonated by handsome Canadian (Quebec) baritone Jean François Lapointe who sings well and seems most at home in giddy moments. » Michael Milenski – Opera Today

 

Alceste – Le Grand Prêtre

Opéra national de Paris, 2013

« Le grand prêtre d’Apollon (en soutane…) de Jean-François Lapointe confirme en revanche  l’excellence de cet artiste dont la qualité du chant marque chaque apparition. On se passionne pour ce chant et cette technique, qui dominent largement le premier acte et qui ravissent l’oreille: Lapointe est une valeur très sûre, notamment pour ce répertoire. Ne le manquez jamais. » Le Blog du Wanderer du Monde 

« Jean-François Lapointe est parfait (mais l’a-t-on jamais connu autrement?) » Christian Merlin – Le Figaro

 « Baritone Jean-François Lapointe provided another demonstration of French declamation as the High Priest » Stephen J. Mudge – Opera News

« On aura rarement vu un Grand Prêtre d’Apollon aussi tonnant et pourtant touchant que celui de Jean-François Lapointe, modèle de chant romantique plié au style gluckiste. » Jean-Charles Hoffelé – Concert Classic

« Magnifique d’autorité, de mordant, le Grand Prêtre de Jean-François Lapointe impressionne. » Michel Parouty – Opéra Magazine

 

Ciboulette – Duparquet

Opéra Comique, Paris, 2013

« Du créateur, Jean Périer, qui venait de Pelléas et de Florestan dans Véronique, Jean-François Lapointe a accompli le parcours. Sa voix chaude, son impeccable déclamation, sa musicalité viennent à bout du redoutable « C’est tout ce qui me reste d’elle » où Duparquet, le Rodolphe des Scènes de la vie de bohème devenu fonctionnaire, évoque Mimi « aussi blanche que la neige ». » Patrice Henriot – Opéra Magazine

« Grand format pour le rôle de Duparquet (le contrôleur des Halles qui tire les ficelles de l’intrigue), Jean-François Lapointe, voix assurée, raffinée, profonde, d’une subtilité constante, sait alterner amertume, mélancolie, fantaisie avec une aisance de tous les instants (la scène de la lettre à l’acte II : « C’est tout ce qui me reste d’elle » où il apparaît en Rodolphe vieilli de La Bohème offre un rare moment d’émotion). » Michel Le Naour – ConcertClassic

« Jean-François Lapointe’s Duparquet brings the house down as the story’s mover and shaker. » Francis Carlin – Financial Times

« On admire surtout le Duparquet émouvant et de belle école de Jean-François Lapointe » Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra

 

Le Comte Ory – Raimbaud

Opéra de Marseille, 2012

« Jean-François Lapointe ne fait qu’une bouchée de Raimbaud, dont le grand récit du II est un bonheur d’expression vocale et scénique. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

« Jean-François Lapointe, en Raimbaud, fait montre d’une grande cohésion dans tous les registres, d’une superbe musicalité et d’une ampleur vocale impressionnante. » Emmanuel Andrieu – ConcertoNet

« Jean-François Lapointe est sans reproche en Raimbaud » Maurice Salles – Forum Opéra

Grand Théâtre de Genève, 2011

« The best singing of the evening came from […] Jean-François Lapointe as Raimbaud. […] Lapointe sang his magnificent Act II aria stylishly, in good French with fine baritone tone and some welcome dramatic attack. » Stephen J. Mudge – Opera News

« Jean-François Lapointe, Raimbaud vaillant au timbre séduisant » Sylvie Bonier – Tribune de Genève

« Jean-François Lapointe s’impose facilement en Raimbaud grâce à sa faconde communicative, apportant de surcroît un soin exemplaire aux moindres détails du texte. » Emmanuel Andrieu – ClassiqueInfo

 

Iphigénie en Tauride – Oreste

Dutch National Opera, Amsterdam, 2011

«  Issu d’une tout autre école de chant, Jean-François Lapointe nous renvoie à l’époque où un Robert Massard chantait Oreste, avec une voix puissante et timbrée, pour un personnage très convaincant. » Laurent Bury – Forum Opéra

« Jean-François Lapointe, as her brother, Oreste, gives a performance pitched larger than the others, but he never breaks the classical scale. » William R. Braun – Opera News

 

Eugène Onéguine – Onéguine

Opéra de Québec, 2011

« Nous avons eu droit à un Onéguine de luxe avec le baryton Jean-François Lapointe, un rôle extrêmement exigeant, décidément fait à sa mesure. Il sait équilibrer les zones d’ombres du personnage qu’on ne peut résumer à un simple désœuvré, vide d’émotions, en mal de vivre. Le baryton québécois réussit à s’infiltrer dans les veines du héros pouchkinien, dans un savant mélange de violence contenu et de rage au cœur. Il réussit à nous convaincre de toute la complexité du personnage, jusqu’à la victimisation du héros et le prix à payer au nom de la liberté. Une performance extraordinaire qui en fait un des meilleurs Onéguine du moment. » Jacques Hétu – ResMusica

 

Les Huguenots – Comte de Nevers

Théâtre royal de la Monnaie, Brussels, 2011

« Jean-François Lapointe, (…) diction exemplaire et fort impact vocal et scénique. Le Nevers de Lapointe est doté d’un timbre assez clair, faisant penser à ses grands aïeux barytons français tels que Blanc ou Massard : la noblesse est chez lui innée et sa droiture ne fait aucun doute. Tour à tour quelque peu hautain, joueur, amoureux ou sombre, il compose un personnage complexe et sympathique au milieu de ses coreligionnaires catholiques. » Pierre Philippe – ClassiqueInfo

« Jean-François Lapointe is an eloquent Nevers » Francis Carlin – Financial Times

« Jean-François Lapointe ne manque pas d’impressionner dans le rôle du Comte de Nevers grâce à un style impeccable. » Sébastien Foucart – ConcertoNet

« Jean-François Lapointe incarne un Comte de Nevers de grand style et à la ligne parfaite » Michel Le Naour – ConcertClassic

« Jean-François Lapointe pour un comte de Nevers très classe » Caroline Alexander – WebThéâtre

 

Don Giovanni – Title role

Opéra de Marseille, 2011

« Le seul chanteur expérimenté du plateau est Jean-François Lapointe, qui n’en est pas à son premier Don Giovanni. Le rôle sied parfaitement au baryton canadien ; il en a la présence scénique et l’élégance, jouant à merveille le séducteur comme le sadique, le jovial comme le révolté. La voix porte bien, avec un nuancier expressif très complet. » Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

 

Didon et Enée – Enée

Opéra de Lausanne, 2010

« C’est le bel Æneas de Jean-François Lapointe qui capte l’attention et récolte les faveurs de l’auditoire. Le timbre du baryton canadien accroche, séduit et sait se faire suave. Un comble dans ce rôle de prince presque antipathique ! » Cyril Mazin – Opéra Magazine

« Musicalement, on retient avant tout le magnifique Enée de Jean-François Lapointe, exemplaire de noblesse et de raffinement » Claudio Poloni – ConcertoNet

 

Les Troyens – Chorèbe

Dutch National Opera, Amsterdam, 2010

« On n’oubliera pas […] Jean-François Lapointe, exemplaire de style, de diction et de présence en Chorèbe. » Christian Wasselin – Opéra Magazine



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