Christophe Gay – Press review

Coup de roulis (Messager) – Kermao

Théâtre impérial de Compiègne, Atelier lyrique de Tourcoing, Théâtre de l’Athénée, 2023

« Christophe Gay est un séduisant aspirant, même avec sa banane néo-Elvis, auquel ne résiste pas la délicieuse Clarisse Dalles » Laurent Bury – Classica

« Le mérite en revient aussi aux interprètes, sans exception. Des premiers aux seconds rôles, chœur des cinq matelots inclus, tous remplissent les mêmes conditions de diction, de musicalité, de présence scénique, d’évidence vocale. […] Christophe Gay, Kermao à l’insolente jeunesse – un jeune premier baryton, ce n’est pas si courant ; l’emploi est d’ordinaire réservé aux ténors – » Christophe Rizoud – Forum Opéra

« Le jeune homme (Kermao) est joué par Christophe Gay, tombeur surpris par ses propres sentiments, à la voix musclée disposant d’une belle aisance d’un bout à l’autre de sa tessiture. » Emmanuel Caclin – Ôlyrix

« Le Kermao au cheveu élancé de Christophe Gay rivalise de charme avec le Gerville beau parleur de Philippe Brocard. Au baryton svelte et souple du premier, affirmant qu’« en amour, il n’est pas de grade, l’important c’est d’avoir vingt ans » (finale du I et tube de l’ouvrage), répondent le métal et la noblesse du second, soupirant au II sur les tourments de « la quarantaine ». » François Laurent – Diapason Mag

« Christophe Gay est un Kermao au timbre enveloppant » Laurent Bury – Concert Classic

« la musique de Messager expose une facilité d’écriture dont la maturité permet de beaux airs, notamment chez le lieutenant Kermao lyrique de Christophe Gay (En amour il n’est pas de grade !) » Vincent Guillemin – ResMusica

« Les deux rivaux masculins sont bien campés par le Kermao de Christophe Gay et le Gerville de Philippe Brocard. » Bernard Crétel – Résonances lyriques

« Son rival en amour, c’est l’aspirant Kermao, incarné par un Christophe Gay bellâtre obsédé par sa coupe de cheveux, que l’amour transformera et qui déploie un délicat ramage. » Pierre Flinois – L’Avant-Scène Opéra

« On distingue aussi l’excellent Lieutenant Kermao de Christophe Gay » Olivier Brunel – ConcertoNet

 

La Princesse de Trébizonde – Cabriolo

Opera Rara, 2022

« Christophe Gay commanded the stage both dramatically and vocally as Cabriolo (the owner of the circus) » Colin Clarke – Seen and Heard International

« It’s a bit of a shame that Offenbach confines the other characters, on the whole, to the big ensembles, though it was still possible to pick out the rustic charm of Christophe Gay’s Cabriolo (the circus paterfamilias) » Matthew Rye – Bachtrack

 

Les Mamelles de Tirésias – Presto

Glyndebourne festival, 2022

« Les duellistes, messieurs Presto et Lacouf, sont interprétés par Christophe Gay et François Piolino dans des costumes jaune et vert éclatants. Le premier offre une voix vive et élégante, habilement menée, tandis que le second fait briller son ténor dans un volume excédant celui de ses confrères. » Mark Everist – Ôlyrix

Opéra National de Lyon & Opéra Comique, 2011

« Christophe Gay et Loïc Félix, vêtus en jumeaux, incarnent avec brio Presto et Lacouf » Bruno Villien – Opéra Magazine

« Formidable numéro de duettiste de Presto et Lacouf, parfaits Christophe Gay et Loïc Felix. » Jean-Charles Hoffelé – Concert Classic

« Impeccables et impayables Presto et Lacouf de Christophe Gay et Loïc Felix. » Didier Van Moere – ConcertoNet

 

Ariadne auf Naxos – Harlekin / Der Perrückenmacher

Opéra de Limoges, 2022

« Christophe Gay incarne avec malice le Perruquier et un Arlequin suspendu d’une voix assurée au timbre léger. Sa voix mature émet des aigus appuyés par un phrasé vif. » Damien Dutilleul – Olyrix

« Les comédiens Brighella (le ténor Paul Schweinester par ailleurs très juste et charismatique maître de danse au prologue), Scaramouche (le ténor Léo Vermot Desroches très à son aise) et Arlequin (superbe timbre de baryton de Christophe Gay) apportent la fraîcheur et la respiration voulues par le mécène. » Steeve Boscadin – ResMusica

« Francophone est en revanche le reste de la bande des comiques : Arlequin soyeux de Christophe Gay, Scaramouche bondissant de Léo Vermot-Desroches et Truffaldin caverneux à souhait de Nicolas Brooymans. » Laurent Bury – Concertclassic

 

Robert le cochon et les kidnappeurs – Mercibocou le loup

Opéra Comique, 2022

« Le baryton Christophe Gay complète en loup la distribution, lui aussi avec une prononciation impeccable du texte, qu’il parle ou qu’il chante, en plus de trouver un médium plein […]. » Vincent Guillemin – Resmusica

« Mercibocou est en effet un “p’tit loup” qui, prisonnier, appelle sa maman. Son “ahou” à la lune est ici un pleur. Christophe Gay sait lui dessiner ce caractère mais tout en montrant que la nature peut revenir au galop : sous le pelage du phrasé, un timbre corsé montre parfois les crocs. » Ôlyrix – Olyrix

 

 

Carmen – Dancaïre

Opéra National du Rhin (Strasbourg), 2021

« Le Dancaïre et le Remendado (Christophe Gay et Raphaël Brémard) sont irrésistibles : la direction d’acteurs leur réserve une charge humoristique bienvenue. Les voix, idéalement assorties, sont claires, sonores, animées d’une vivacité commune. » Yvan Beuvard – Forum Opéra

Glyndebourne Festival, 2015

« Loic Felix and Christophe Gay were outstanding as the smugglers. » Opera Notes

« [Stephanie D’Oustrac] is joined by her compatriots Christophe Gay and Loïc Félix as a vibrant pair of smugglers, and whenever the three of them are onstage energy levels tingle » Mark Valencia, What’s on stage

Opéra National de Lyon, 2012

« Et une mention spéciale à Christophe Gay, Dancaïre-travelo-assassin, qui éclate littéralement les cadres de son jeu coupant et de sa grande voix de baryton sombre et svelte où les mots claquent comme des balles » Jean-Charles Hoffelé, Concertclassic

 

Iphigénie en Tauride – Un Scythe / Un Ministre

Opéra national de Paris, 2021

« De leur côté Marianne Croux, Jeanne Ireland et Christophe Gay incarnent sans difficultés leurs petits rôles […]. Le baryton parvient à distinguer en quelques instants ses deux personnages » CJM – Olyrix

« Des trois bons comprimari, on distinguera, tout particulièrement, le très percutant Christophe Gay. » François Lehel – Opéra Magazine

 

Barbe-Bleue (Offenbach) – Popolani

Opéra national de Lyon, 2018

« Christophe Gay détaille les couplets de Popolani d’une voix claire et bien timbrée, il campe un alchimiste à la fois inquiétant, drôle et humaniste. » Stéphane Lelièvre – Olyrix

« Excellent Christophe Gay » Nicolas Blanmont – La Libre

« Le baryton Christophe Gay, qui avait été un remarquable Raoul de Gardefeu dans La Vie parisienne en 2016, incarne ici Popolani avec beaucoup de verve et lui prête une voix ample et sonore, au timbre flatteur, à la prononciation impeccable. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

« Christophe Gay est un savoureux Popolani, l’alchimiste, expression nette et ligne parfaite » Philippe Venturini – Les Echos

 

La Traviata – Marchese d’Obigny

Opéra national de Paris, 2018

« Douphol, Flora et le Marquis savent se suivre en quelques ralentis, ils combinent leurs voix dans une montée progressive et éclatante qui illustre l’aurore se levant dans le ciel et marquant la fin de la fête. Ils sont respectivement incarnés par Igor Gnidii bien en place, Virginie Verrez à la superbe portée vocale dès le début de ses interventions, enfin Christophe Gay qui porte tout aussi bien qu’Annina (Cornelia Oncioiu) sur ses aigus puissants. » Céline Wadoux – Ôlyrix

« On notera également les très belles prestations de Virginie Verrez en Flora Bervoix, […] ou encore Christophe Gay en Marquis d’Obigny. » Audrey Bouctot – Forum Oper

 

Récital et concert

Opéra national de Lorraine, 2018

« La lune blanche toute en légèreté musicale et optimisme du texte, offre une belle descente sur « bien-aimée », avant que le rythme ne s’accélère sur J’ai presque peur en vérité. La crainte des paroles s’apaise sur le dernier vers, « Que je vous aime, que je t’aime ! », dont Christophe Gay tient le dernier mot et véhicule la chaleur du sentiment. Les graves sont solides sur la « pâle étoile » d’Avant que tu ne t’en ailles, suivis d’une belle montée sur le « thym » du dernier vers de la strophe. Le « soleil d’or » final offre un vibrato chaleureux. (…)

Francis Poulenc. Un cygne « avance sur l’eau », par le chemin du piano, onde délicate, et par les aigus veloutés de Christophe Gay qui transmet par ces nuances la majesté de l’oiseau. Lui succède, bien plus sombre, le bouleversant Tombeau dans un parc. Les aigus se font bien enveloppants pour le « tendre enfant » qui repose, les graves suivants rappellent la tonalité du poème, la « dalle » sous laquelle repose l’enfant, la dernière syllabe de « tombe » (le verbe cette fois), descendue et émouvante, longuement tenue. Le clocher chante réjouit, léger dans ses tonalités et hardi dans le détachement des syllabes, les « Valaisannes » offrant un aigu final bien tenu. » Céline Wadoux – Ôlyrix

 

Le Roi Carotte (Offenbach) – Truck

Opéra de Lille, 2018

«De leurs côtés, les barytons Boris Grappe (Pipertrunck) et Christophe Gay (Truck) font un bel étalage de leurs étonnants dons de comédiens, le premier en personnage poisseux d’ambitions politiques, le deuxième en « grand nécromancien de la couronne » ! » Emmanuel Andrieu – Opera Online

« Nous goûtons aussi aux prestations de ses complices Truck et Pipertrunck, fort bien tenus par Christophe Gay et Boris Grappe» Sébastien Foucart – ConcertoNet.com

« Les autres interprètes, dont les apparitions sont moins fréquentes ou plus discrètes, ne déméritent pas, en particulier Christophe Gay en Truck et Boris Grappe en Pipertrunck» Caroline Mounier-Vehier – Ôlyrix

«Christophe Gay (Truck) et Boris Grappe (Pipertrunck) assurent bien leur partie.» Florent Coudeyrat – Classiquenews.com

 

Madama Butterfly – Yamadori

Théâtre des Champs-Élysées, 2017

«Yamadori impressionne par la houppe de Christophe Gay et plaît par son sérieux musical. » Charles Arden – Ôlyrix

« Christophe Gay un Yamadori cherchant à séduire avec une crête impressionnante et une bonne voix, aussi » Gérard Mannoni – Altamusica

« Christophe Gay (Yamadori) échappe à la cocasserie et au grotesque habituels pour développer un chant plein de réserve et d’humilité » Patrice Imbaud – ResMusica

Chorégies d’Orange, 2016

« Une même justesse, et projection assurée chez Christophe Gay, Yamadori. » Francis Pabst – La Provence

« Christophe Gay […] complétant idéalement la distribution » Michel Egea – Destimed

 

Rigoletto – Marullo

Opéra national de Paris, 2017

« La distribution est dominée par les voix masculines : on remarque dans les rôles secondaires les excellents Julien Dran et Christophe Gay respectivement Borsa et Marullo. » Christian Peter – Forum Opéra

« Tous les rôles secondaires sont particulièrement bien tenus, des excellents Julien Dran et Christophe Gay en Borsa et Marullo » Steeve Boscardin – ResMusica

« Tout aussi sonore que le bondissant Marullo de Christophe Gay » Charles Arden – Ôlyrix

 

La Vie Parisienne – Gardefeu / Bobinet

Opéra de Lausanne, 2016

« […] face au baryton dégourdi de Christophe Gay en Bobinet » Le Temps

« Les personnages passent, font leur numéro, s’éclipsent, réapparaissent sans jamais perdurer […]. A ce jeu-là, certains réussissent très bien à sortir leur épingle du jeu, tel le ténor Philippe Talbot […] ou son comère en astuces Bobinet (Christophe Gay). » Matthieu Chenal – 24 Heures

« Christophe Gay einen Bobinet ohne Fehl und Tadel »
Christophe Gay est un Bobinet irréprochable
Marcel Paolino – Der Neue Merker

« Face à elle ne déméritent aucunement les deux fieffés lascars, le Raoul de Gardefeu de Philippe Talbot, magnifique ténor lyrique, et le Bobinet de Christophe Gay. »
Paul-André Demierre – Crescendo Magazine

« Physique avantageux de jeune premier et voix bien timbrée, le Bobinet de Christophe Gay a la gouaille et la séduction du Parisien tel qu’on se l’imagine. » Claudio Poloni – ConcertoNet

« Heureusement, les protagonistes ne ménagent pas leur vitalité. Ainsi, Philippe Talbot (Raoul de Gardefeu) et Christophe Gay (Bobinet), un ténor aux aigus fort jolis et un baryton qui doit prendre garde à la projection vocale d’un instrument bien sonore mènent le début de l’intrigue avec entrain. » Jacques Schmitt – ResMusica

Angers Nantes Opéra, 2011

« En Bobinet et Gardefeu, Marc Mauillon et Christophe Gay forment un duo de jeunes coqs, aussi fringants qu’humoristiques dans « Repeuplons les salons du faubourg Saint-Germain ». » Bruno Villien, Opéra Magazine

« D’énergie, Christophe Gay n’en manque pas, et son numéro d’acteur en Raoul de Gardefeu est un des bonheurs de la soirée. » Emmanuel Andrieu, Concertonet

 

Hamlet – Horatio

Opéra de Marseille, 2016

« Samy Camps, Christophe Gay et Jean-Marie Delpas, respectivement Marcellus, Horatio et Polonius seront remarqués malgré des rôles assez courts. » Jocelyne De Nicola – GBOpera

« Superbe duo Marcellus/Horatio (respectivement Samy Camps et Christophe Gay). Les deux chanteurs très complices campent des acolytes d’Hamlet particulièrement attachants. » Sébastien Herbecq – Bachtrack

« remarquable Horatio de Christophe Gay » Maurice Salles – Forum Opéra

« Samy Camps (Marcellus) et Christophe Gay (Horatio) ne manquent pas ni de charme ni de sensibilité » Patrick di Maria – La Marseillaise

 

Lakmé – Frédérick

Opéra Grand-Avignon, 2016

« Julie Boulianne respecte toutes les règles du style français, cet art de la finesse et de la délicatesse, qualités que l’on retrouve chez tous les comprimari. Christophe Gay est ainsi parfaitement à sa place en Frédéric. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

« Christophe Gay, Frédéric assuré » Michel Egea – Destimed

« Le baryton Christophe Gay clôt avec brio ce groupe d’anglais, parfaitement à la hauteur des attentes, aussi importantes soient-elles ici. » Elodie Martinez – Toute la Culture

« Frédéric alerte et jovial, Christophe Gay fait entendre sa parfaite diction de la langue française autant que le naturel de son émission. Il réussit à donner de la prestance à son personnage » Fabrice Malkani – Forum Opéra

 

Opéra de Toulon, 2014

« Christophe Gay est un superbe Frédérick à la justesse imparable. » Serge Alexandre, arts-spectacles.com

« Christophe Gay, est un beau et élégant Frédérick à la superbe voix et allure, qui semble chez lui sur scène. » Benito Pelegrin, La Revue Marseillaise du Théâtre

« Christophe Gay […] est un Frédérick à l’aise et en bonne forme vocale. Sa voix de baryton, bien placée, lui permet de faire ressortir ses phrases musicales avec une bonne projection et une belle diction. Investi dans son rôle, il fait ici une belle prestation. » Jocelyne De Nicola, GBOpera

« Excellent baryton d’« opéra-comique », Christophe Gay est à sa place en Frédéric » Richad Martet – Opéra Magazine

 

Manon – Brétigny

Opéra de Marseille, 2015

« Christophe Gay est un irréprochable Brétigny. » Catherine Scholler – Opéra Magazine

 

Mimi – Marcel

Théâtre des Bouffes du Nord, 2014

« Le Marcel enthousiasmant de jeunesse et d’élégance de Christophe Gay, courtise en permanence les difficultés de la double partition sans y succomber. » Pedro Octavio Diaz, Classiquenews

“A noter aussi la superbe prestation de Christophe Gay, artiste complet, charismatique à l’aise dans tous les domaines du jeu, du chant. Le personnage masculin le plus impressionnant qui prend la lumière, qui a une voix adéquate et une si belle énergie généreuse et sensible. A suivre vraiment” Frédéric Vignale, Lemague

 

La Lettre des Sables – Karl vieux

Opéra National de Bordeaux, 2014

« Christophe Gay dans le rôle du Karl Vieux, […]est exemplaire. Sa caractérisation du personnage mystérieux est saisissante. Il se montre maître de la diction et sa prosodie et son art du texte ravi l’auditoire. […]sa partition est particulièrement exigeante, notamment dans l’aigu et le suraigu. Il s’en sort magistralement. » Sabino Pena-Arci, Classiquenews

« Le baryton Christophe Gay apporte au Karl vieilli une diction impeccable et un timbre d’une belle intensité dramatique. » Caroline Alexander, Webtheatre

 

Fortunio – Landry

Opéra de Rennes, 2014

« Christophe Gay s’avère lui idéal en Landry un peu garnement, et négocie adroitement ses moyens pour une incarnation dans le pur esprit de l’opérette français. » Gilles Charlassier, Concertonet

« Franck Leguérinel et Christophe Gay ne déparent pas dans cette galerie masculine et pirouettent sans forcer le trait. Servis par des dictions particulièrement convaincantes, ils jouent, l’un le barbon, l’autre le zazou, avec autant d’humour que de simplicité. » Tania Bracq, ForumOpera

 

Opéra de Limoges, 2013

« C’est Landry, son cousin, chanté et joué par le dynamique baryton Christophe Gay qui conquiert la jeune génération du public en faisant swinguer Messager à la façon des jerks et madisons des sixties. » Caroline Alexander, Webthea

 

Don Giovanni – Rôle-titre

Saint-Céré, 2013

« Dans le rôle-titre, le baryton français Dans le rôle-titre, le baryton français Christophe Gay s’impose avec une belle autorité vocale, tout en offrant de superbes demi-teintes dans la fameuse sérénade « Deh vieni ». s’impose avec une belle autorité vocale, tout en offrant de superbes demi-teintes dans la fameuse sérénade « Deh vieni ». » Emmanuel Andrieu, Classiqueinfo

« Le Don Juan de Christophe Gay est d’une incroyable présence scénique marchant à la mort la fleur au poignard. » Jacques Doucelin, Concertclassic.com

« Christophe Gay se glisse dans l’itinéraire de cette figure insaisissable et tourbillonnante, par un jeu débordant d’énergie et de contrastes. Sa voix est riche de couleurs changeantes et belles, et la sérénade est un pur moment de grâce. Torse nu dans une lumière crépusculaire, il offre un chant d’une grande pureté, parfois proche du murmure, pour l’une des plus belles pages de Mozart, restituée ici dans une troublante sensualité. » Christophe Gervot, Fragil

« Christophe Gay : aussi bondissant qu’en Papageno voici quatre ans, c’est un DonGiovanni très à l’aise sur scène, chantant avec une justesse irréprochable, une parfaite clarté d’émission et une grande finesse –beau mezza voce dans la sérénade du second acte («Deh, vieni»). » Simon Corley, Concertonet

 

Platée – Cithéron / Satyre

Oper Stuttgart, 2013

« Christophe Gay brilliert als König Citheron ebenso wie als “Un Satyre” im Prolog » Alexander Walther, Livekritik.de

 

L’Etoile – Hérisson

Opéra de Nancy, 2012

« Les autres rôles s’avèrent parfaitement tenus : (…) Christophe Gay, solide Hérisson de Porc-Epic » José Pons, Opéra Magazine

 

Die Zauberflöte – Papageno

Saint-Céré, 2009

« Christophe Gay, véritable bête de scène, offre, tant vocalement que physiquement, un portrait saisissant du joyeux oiseleur Papageno. Faisant des planches son univers, il occupe l’espace à chacune de ses interventions, dans une esthétique faisant souvent penser à la commedia dell’arte. » Nicolas Grienenberger, Classiquenews.com

« Un Papageno des grands soirs, dont les plumes valent le ramage et font un malheur sur le plateau » Jacques Doucelin, Opéra Magazine

« l’engagement scénique et la justesse expressive de Christophe Gay étant plus que remarquables. » David Christoffel, Resmusica

« Christophe Gay est totalement extraverti en Papageno, d’un investissement scénique total et sincère. » Christophe Gervot, Fragil



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